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Nouveauté
Bande dessinéeNon disponible
Dans un monde conformiste, il n'y a pas de place pour les rêveurs. Au collège, «  Le boutonneux  » ne brille pas par son bulletin de notes. Au contraire, il fait même partie des pires cancres  ! Il rêve d'ouvrir un magasin de jeux vidéo, mais en attendant, il est convoqué chez le conseiller d'orientation, tout comme Mims. Rebelle au style punk, Mims dévore les mangas et n'a que faire du système. Leur avenir à tous deux se joue pourtant en cette année décisive… S'ils échouent leurs parents risquent bien de les tuer  ! Tandis que la pression commence à peser sur les épaules des adolescents, des événements de plus en plus étranges surviennent… Leurs parents mutent jusqu'à prendre une apparence monstrueuse  ! Si les adolescents n'améliorent pas leurs notes, leurs parents peuvent-ils vraiment les supprimer  ? Alors que notre loser héroïque se rapproche de Mims et se découvre une passion pour le dessin, une amitié sincère naît entre eux. Mais bientôt la situation va échapper à tout contrôle. Le programme imaginé par l'école pour remettre ces «  nuls  » dans le droit chemin montre des défaillances. Les ados s'épuisent dans une course au mérite qui devient une course pour la survie. C'est le début d'une spirale infernale dans un monde conformiste qui laisse bien peu de place à l'imagination… Récit moderne à l'ambiance horrifique, L'enfantôme s'inscrit dans une trilogie thématique de l'auteur autour de l'enfance et du passage à l'âge adulte. Avec cette œuvre, Jim Bishop démontre toute sa puissance créatrice après Lettres perdues et Mon ami Pierrot. Hommage au manga mais aussi à notre âme d'enfant, ce roman graphique intime, d'une grande sensibilité, marque le basculement de l'enfance à l'âge adulte et met en lumière les difficultés à s'intégrer, les dérives d'un système mais aussi la confiance en nous et les amitiés lumineuses. Un album saisissant qui vous hante longtemps après la dernière page…
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Nouveauté
CDDisponible
Gabi Hartmann, c'est l'univers atypique d'une artiste qui brouille les styles entre pop, folk, jazz, soul et world. Elle chante ce qui l'inspire dans plusieurs langues, en échappant aux catégories. Elle a su imposer son style bien à elle, mais aussi son émotion ambiguë : une voix au timbre chaud et clair, à la fois douce, mélancolique et apaisante. Son premier album éponyme, sorti en 2023, a été écouté plus de vingt millions fois et vendu à plus de 15 000 exemplaires (la meilleure vente Jazz/World en France de l'année) et lui a valu de gagner le Gold Disk Award de la meilleure nouvelle artiste internationale au Japon, ainsi que de belles distinctions dans la presse française et mondiale, et enchaine plusieurs dates à guichets fermés (aux Francofolies de la Rochelle, à la Seine Musicale et à la Cigale). Aujourd'hui, Gabi nous revient avec son deuxième album intitulé La femme aux yeux de sel. Cet album s'ouvre avec une comptine qui raconte l'histoire d'une femme du nom de Salinda, habitante d'une île rêvée, dont les yeux de sel fondent à chaque larme versée. Pour soigner ses yeux, elle part en voyage à la recherche des secrets du sel. L'album serait-il le petit miroir de ce conte ? Gabi s'y découvre et grandit à travers les chansons, apprenant à se connaître en questionnant à la fois le monde qui l'entoure et son monde intérieur, tout comme ses expériences de vie de femme. Elle raconte surtout ses émotions : la joie de ses voyages et la difficulté à s'ouvrir aux autres, la mélancolie qui la guette, la colère face à un monde malade, la souffrance, l'angoisse, puis l'émerveillement de la nature qui la soigne. Elle puise ses inspirations auprès de femmes artistes : Salinda est inspirée de la Rumba des îles extraite du film de Marguerite Duras India Song, (composée et arrangée avec Oan Kim). Elle rend hommage à la musique d'Amérique Latine et notamment aux voix féminines telles que celles de Mercedes Sosa, mais aussi de la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba qui l'inspire depuis des années. Enfin, cet album est le fruit de belles collaborations à la fois anciennes (Oan Kim et Jesse Harris) et nouvelles : on peut entendre la flûtiste syrienne Naïssam Jalal sur le morceau Le lever de Soleil, questionnant l'état du monde. Ce morceau, comme Love High et Ton monde secret, a été composé et réalisé avec le saxophoniste et compositeur Laurent Bardainne (qui a collaboré avec Camélia Jordana, Jeanne Added et November Ultra). On peut également reconnaître la création de Baptiste Trotignon, avec qui elle compose le morceau Mélancolie, magnifié par l'émotion et l'élégance des arrangements de cordes du compositeur brésilien Maycon Ananias. Avec sa mélancolie latente et son univers riche en couleurs et en rythmes, Gabi rend peu à peu poreuses les frontières entre les époques et les styles pour y écrire un monde onirique bien à elle. C'est le secret de ce disque personnel aux multiples facettes, exigeant et accessible dans le même souffle.
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