Une aventure inspirée du monde merveilleux des contes où il est question de Mme Beauté et de princesse. Avec des paillettes sur la couverture.

S'il arrive à tout le monde de ne pas dire la vérité, monsieur Mensonge, lui, n'est jamais honnête. Un jour, cette mauvaise habitude se retourne contre lui.

Au milieu de l’océan, un gardien de phare veille sur les navires de passage. Les jours passent et se ressemblent, obéissant à un immuable rituel : remplir la lampe d’huile, couper la mèche, astiquer la lentille, remonter le mécanisme de la lampe. Chaque événement est méticuleusement répertorié dans le journal de bord. Mais parfois, la routine est brisée par la tempête, le passage d’une baleine, le périlleux sauvetage de naufragés, l’arrivée du navire de ravitaillement ou de l’épouse tant attendue. Au côté du gardien, celle-ci veille sur le phare et sur la vie qui doucement grandit en elle. Un album qui célèbre une vie simple et retirée, rythmée par le passage des éléments et des saisons, par d’héroïques sauvetages ou par la magie de l’arrivée d’un enfant.

Billy pourrait être cow-boy, comme son père et son grand-père avant lui. Pourtant, il n'est pas très à l'aise avec ce destin qui l'attend. Un matin, il part à la découverte du monde, au hasard des chemins, et finit par trouver ce qu'il souhaite faire. Une histoire suivie des notes de voyage et de l'album des merveilles du héros.

Thanatopractrice, l'auteure raconte son parcours et partage les moments de compassion et de réflexion qui jalonnent son quotidien. Elle explore également les angoisses et projections liées à la mort et, à travers certaines histoires de défunts qu'elle a pris en charge, invite à réfléchir sur le sens de la vie.

Un plaidoyer pour la jeunesse française qui doit, dans sa pluralité, retrouver ses capacités politiques et prendre place dans l'espace public afin de participer activement à l'élaboration de son avenir.

Ouvrière anarcho-syndicaliste et figure du féminisme catalan, l'auteure invite les femmes prolétaires à s'unir et à s'organiser pour renverser le capitalisme, le patriarcat et le clergé afin que se mette en place l'anarchie.

La voz de la mujer, publié à Buenos Aires en 1896, est le premier journal anarchiste féministe. Ses rédactrices, rejetant toutes les formes d'oppression (religieuse, capitaliste ou patriarcale), donnent aux femmes prolétaires des outils théoriques et pratiques afin qu'elles puissent s'émanciper.