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DVDNon disponible
A la lecture du testament de leur mère, Jeanne et Simon Marwan se voient remettre deux enveloppes : l'une destinée à un père qu'ils croyaient mort et l'autre à un frère dont ils ignoraient l'existence. Jeanne voit dans cet énigmatique legs la clé du silence de sa mère, enfermée dans un mutisme inexpliqué les dernières semaines précédant sa mort. Elle décide immédiatement de partir au Moyen Orient exhumer le passé de cette famille dont elle ne sait presque rien. Simon, lui, n'a que faire des caprices posthumes de cette mère qui s'est toujours montrée distante. Mais son amour pour sa soeur jumelle le poussera bientôt à rejoindre Jeanne et à sillonner avec elle le pays de leurs ancêtres sur la piste d'une mère bien loin de celle qu'ils ont connue.
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JeuNon disponible
Note Principe du jeu : Une boite complète dans laquelle l'enfant va trouver des gobelets à empiler, une maison en tissu pour découvrir les formes, les couleurs et les textures. Le baby spinner se colle à plat ou à la verticale grâce à la ventouse, et il va pouvoir faire tourner les oiseaux.
De plus, il y a 5 animaux magnétiques qui s'ouvrent en laissant apparaître un bébé de la forme géométrique du parent.
Enfin, l'enfant va pouvoir jouer dans le bain : le pingouin peut monter sur chacun des 3 animaux bouées et cracher de l'eau par pression. La tortue chante lorsqu'elle est dans l'eau, et peut s'accrocher comme un train aux 2 autres animaux !
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Nouveauté
Tome :
35
Bande dessinéeNon disponible
Rayon-de-Miel, l'ourson que Yakari a sauvé des eaux de la Rivière de l'oubli, retrouve son ami le papoose. Sa mère, très possessive, consent à le laisser partir à condition qu'il revienne rapidement sinon elle risque de se laisser dépérir. Rayon-de-Miel tarde cependant à revenir car il a été capturé par Arc-Tendu, le chasseur fou.
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Bande dessinéeNon disponible
Dans Enfances (septembre 2011), Sempé s'attardait avec douceur et mélancolie sur le bonheur de l'insouciance. Avec son nouvel album Bourrasques et accalmies, il passe à l'âge "adulte" et le grand enfant qu'il est s'amuse à en croquer les contradictions. Entre bourrasques et accalmies donc, on retrouve, éclatante, la poésie de Sempé, ce rire nécessaire qui invite nos esprits (trop) sérieux à poser un regard différent sur le monde, les hommes et soi-même. Une véritable thérapie comme le dit Sempé : "Quand je me suis mis à dessiner, c'était peut-être une sorte de thérapie, j'ai eu envie de dessiner des gens heureux. De faire du dessin humoristique avec des gens heureux. Ce qui est de la folie. Mais c'est mon caractère". Cent-vingt petites scènes savoureuses content ces éclaircies pendant la tempête quand chacun tente de maintenir le cap ou de le garder.@Babelio
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La Belle Époque a la passion du style. Des villes comme Paris s’ouvrent à la flânerie et au commerce, dont les grands magasins sont le triomphe. Les lieux de villégiature, que l’on rallie désormais en train, en paquebot ou même en automobile, inventent le tourisme. Des produits de beauté industriels font leur apparition. De nouvelles marques partent à la conquête de marchés internationaux : L'Oréal, Guerlain, Nivéa… La haute couture, elle, s’internationalise, communique par la publicité, se représente au théâtre, dans la littérature, la peinture, le cinéma… Personne ne se doute du gouffre à venir. Films amateurs, actualités, photos, documents, trésors d’archives, ce film nous plonge dans l’extraordinaire inventivité de ces années 1910.

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Intelligence, émotion, profondeur : à l’image de l’œuvre sur laquelle ils font retour séparément, Asghar Farhadi et ses acteurs semblent toujours unis par un élan collectif d’une exceptionnelle qualité face à la caméra d’Auberi Edler. Et deux ans après le tournage, leur engagement envers ce film phénomène, qui a raflé la plupart des plus grandes récompenses du cinéma mondial et remporté en Iran un immense succès populaire, reste palpable. Fracture sociale, répression du soulèvement populaire de 2009, libertés conquises de haute lutte par les femmes … : Asghar Farhadi n’élude pas les questions politiques, insistant sur l’importance, pour lui, de continuer à tourner dans son pays, même si cela implique de se plier aux contraintes liées à la censure. En écho, l’un des acteurs souligne combien Une séparation colle étroitement à la réalité iranienne, suggérant que c’est peut-être cet ancrage "local" qui en fait une œuvre universelle. Le documentaire livre également de précieuses indications sur la méthode de travail du cinéaste, notamment sur sa direction d’acteurs. Outre des images tournées dans les rues de Téhéran, des archives du "printemps iranien" et de sa répression, et de nombreux extraits du film ou de son making of, un entretien avec une spécialiste du cinéma iranien, Agnès Devictor, étaie cette passionnante analyse à plusieurs voix.

 

Mais si justes que soient les mots de chacun des protagonistes, c’est une séquence filmée sur le plateau d’Une séparation, à la fin du tournage, qui transmet avec le plus d’éloquence la vérité du film : la jeune Termeh, seule devant le juge, doit décider avec lequel de ses parents divorcés elle souhaite désormais vivre. Sarina, la fille du cinéaste, alors âgée de 13 ans, qui interprète l’adolescente, demande à jouer la scène sans répétition. Les larmes roulent sur ses joues tandis qu’elle affronte ce choix si douloureux - qui ne sera pas révélé au spectateur. Et face à cette toute jeune fille qui confie s’être alors "sentie actrice pour la première fois", deux hommes se mettent aussi à pleurer : le chef opérateur aux cheveux blancs, qui se précipite hors de la pièce dès que le "Coupez !" du cinéaste retentit ; et Asghar Farhadi lui-même, qui enfouit sa tête dans ses mains pour cacher son émotion. Une séquence que la réalisatrice s’abstient finement de commenter, et qui restitue de façon saisissante la densité humaine de ce grand film.

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Capitale du Reich et symbole de la division de l’Allemagne pendant la guerre froide, Berlin porte les traces de ce passé douloureux. Quelle attitude adopter face à ce patrimoine embarrassant ? Ce premier volet se penche sur le lien entre mémoire et urbanisme à travers l’exemple de cette ville.

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Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, Jimmy Picard, un Indien Blackfoot ayant combattu en France, est admis à l’hôpital militaire de Topeka, au Kansas, un établissement spécialisé dans les maladies du cerveau. Jimmy Picard souffre de nombreux troubles : vertiges, cécité temporaire, perte d’audition... En l’absence de causes physiologiques, le diagnostic qui s’impose est la schizophrénie. La direction de l’hôpital décide toutefois de prendre l’avis d’un ethnologue et psychanalyste français, spécialiste des cultures amérindiennes, Georges Devereux.

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Après la chute du Mur, Berlin a dû relever de nombreux défis : devenir la capitale unifiée de l'Allemagne, en accueillir les institutions et poursuivre son développement économique pour rattraper les villes de l’ouest du pays. Dans ce second volet, Le dessous des cartes retrace le chemin parcouru par Berlin depuis la réunification.

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