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Les Misérables est une adaptation cinématographique française du roman éponyme de Victor Hugo par Raymond Bernard, en trois films1 réalisés en 1933 et sortis en 1934.

 

Première partie : Une tempête sous un crâne

Deuxième partie : Les Thénardier

Troisième partie : Liberté, liberté chérie

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Vingt ans plus tôt, à l’endroit même où s’ébattent des estivants en short, un garçon déprimé tout juste sorti de sa fac de cinéma tournait dans le blizzard un premier film d’une étonnante maturité, d’une déchirante tristesse. S’il éclaire de façon comme toujours passionnante l’œuvre et son auteur, ce nouveau volet de la collection "Un film et son époque", en explorant les rues ensoleillées de Little Odessa, apporte aussi, de l’hiver à l’été, un contrepoint joyeux à la tragédie glacée qui a immortalisé pour toujours ce quartier de Brooklyn. Comme s’ils exorcisaient après coup la tension d’un tournage au budget resserré, effectué lors "du pire hiver qu’ait connu New York depuis longtemps" et mettant en scène tant de violence et de douleur, tous les protagonistes, James Gray en tête, semblent partager une forme d’allégresse rétrospective.

 

Saynètes avec accents 

Celui-ci, tout en évoquant en détail ses influences, ses intentions ou la manière dont son histoire personnelle a inspiré le scénario, émaille le récit de désopilantes saynètes avec accents (germanique pour Maximilian Schell, italien quand il croque ses mésaventures de pied-tendre à la Mostra de Venise). À son mélange d’autodérision et d’assurance répond la fierté des autres protagonistes, Tim Roth et Vanessa Redgave en tête, d’avoir participé à une aventure alors plus qu’hasardeuse, mais tout de suite entrée par la grande porte dans l’histoire du cinéma. Pour peindre l’atmosphère si particulière du quartier, l’acteur évoque ainsi drôlement la "petite vieille dame" féroce qui vint cracher sur ce qu’elle croyait être un cadavre, lors du tournage dans la rue d’une scène d’assassinat. Maximilian Schell, qui ne cessa de grommeler dans l’oreille du cinéaste lors de la première officielle à quel point il détestait le film, et qui vient de s’éteindre le 1er février, ne témoigne pas ici, pas plus qu’Edward Furlong, dont ce fut peut-être le plus beau rôle. Mais Paul Webster, le producteur, ou le chef-opérateur Tom Richmond, apportent sur le même mode guilleret de précieuses indications sur la genèse du film ou le déroulement du tournage. Pétillant d’humour et d’intelligence, ce récit polyphonique, à l’image du cinéaste, son principal narrateur, livre la source de l’émotion si forte transmise par le film, mais la tient constamment à distance.

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Jérôme est tombé amoureux d'une jeune femme et essaye à tout prix de la séduire. Jour après jour, il raconte l'évolution des opérations et de cette relation à son ami Patrick qui dispense ses conseils et vit par procuration les aventures de son cadet...

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Wanda, 15 ans, emménage avec sa famille dans une nouvelle maison près de Zürich. Dans cet environnement, elle doit faire face à des bouleversements : ses parents sont en pleine crise, ses camarades de classe sont peu chaleureux, les garçons la déroutent. Entourée de son frère et de sa sœur encore trop jeunes, elle doit se battre pour tout reprendre en main, sa vie, leurs vies.
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Pour Charles Trenet, tout semblait si facile, tout était léger, fugace, rêvé… "La mer", griffonnée en quelques minutes dans un train entre Narbonne et Carcassonne, fit le tour du monde et le transforma en milliardaire. Mais derrière l’insolente réussite, derrière le chapeau cloche et les yeux qui riboulent, derrière le génie poétique se cachait un autre Charles : un petit pensionnaire abandonné par sa mère, un homme secret, un "pédéraste" à une époque où l'homosexualité n’était pas tolérée. Alors, il se réfugiait dans le monde des rêves, avant d’être durement ramené à la réalité. C’est ce Charles Trenet-là que le film raconte, ce Trenet blessé, mystérieux, solitaire. Celui qui traversa le siècle sans jamais vouloir se livrer, par élégance, par désinvolture, par horreur d’avoir à se justifier. Car, sa vie durant, l'homme a été poursuivi par les ragots. Collabo pour les uns, pédophile pour les autres, Trenet n’a jamais daigné répondre. Il a souffert en silence et chanté sans relâche pour faire taire les grincheux. Karl Zéro et Daisy d’Errata font revivre ce vieux galopin sulfureux, poète dont le masque joyeux cachait mal les désespoirs, artiste solaire qui dédaignait toute forme de conventions, à travers des archives inédites et oubliées, et les témoignages de ses amis proches, parmi lesquels Charles Aznavour, Jean-Jacques Debout et Georges El Assidi.

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Le grand-père de Kirikou nous accueille dans sa grotte bleue, pour de nouvelles confidences. Il restait encore de beaux souvenirs de l’enfance de Kirikou à évoquer : les moments où il a aidé les hommes et les femmes de son village et d’ailleurs… Il nous raconte alors comment Kirikou, grâce à sa bravoure et son intelligence, est venu au secours de la femme forte, dont le toit de la case avait été détruit par Karaba. Il nous apprend par quelle astuce le petit héros a retrouvé le vieux grincheux, qui s’était égaré dans la savane, puis comment une griotte menacée par la sorcière a finalement pu transmettre son savoir aux habitants du village. On découvre aussi le secret d’un mystérieux monstre bleu, et enfin, grâce à une flûte liée à la famille de notre héros petit et vaillant, le pouvoir magique de la musique.
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Paris, Gare du Nord, tout peut y arriver, même des trains. On aimerait y rester, mais il faut se dépêcher... Comme des milliers de vies qui s’y croisent, Ismaël, Mathilde, Sacha et Joan vont s’y rencontrer. Chaque jour, Ismaël est ébloui, fasciné, épuisé par ce lieu. C’est sur le quai du RER qu’il voit Mathilde pour la première fois. Peu à peu, ils tombent amoureux. Ils croisent Sacha et Joan. Sacha est à la recherche de sa fille disparue, Joan passe sa vie dans cette gare entre Lille, Londres et Paris. La gare est comme une bulle que tous traversent, Français, immigrés, émigrés, voyageurs, fantômes... C’est un carrefour où chaque vie passe vite et disparait.

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6 mai 2012, deuxième tour des élections présidentielles. Lætitia, journaliste télé, doit couvrir l’événement au cœur de la foule, rue de Solférino. C’est également le jour où Vincent, son ex, débarque, sûr de son droit de visite, pour revoir ses deux petites filles. C'est parti pour la bataille !
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Le rire, ils le fabriquent, le distillent et s’en nourrissent. Mais qui sont-ils ? D’où vient leur talent ? Comment se développe-t-il ? Quelles sont leurs techniques et leurs recettes ? À la manière d’un roman à plusieurs voix, ce documentaire réjouissant nous dévoile toutes les ficelles du métier de comique à travers les témoignages de Gad Elmaleh, Eddie Izzard, Jérôme Deschamps, Margaret Cho, Jos Houben et Harald Schmidt.

 

Tous ces grands humoristes d’aujourd’hui ont accepté de se prêter au jeu de la confession devant la caméra de Thierry Thomas. Entre digressions sérieuses et inévitables facéties, extraits de shows et hommages à Charlot, ils racontent leur expérience intime et leur apprentissage du savoir-vivre par le rire. Rarement interrogés sur leur art, tant ils sont confondus avec leur masque, ces comédiens et comédiennes expliquent ici comment ils occupent l’espace d’une scène, rebondissent d’un sujet à l’autre, recyclent un gag raté, dansent et s’épuisent avec toujours un même objectif : faire rire. Alors que Gad Elmaleh se rappelle la première fois où il est monté sur scène, l’actrice californienne Margaret Cho joue la provoc en dévoilant sa vie privée et Eddie Izzard en rajoute une louche dans le travestissement des sentiments. Quant au Belge Jos Houben, son don de la formule traduit l’essence même du métier : "Le rire, c’est le déséquilibre".

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Juliette n’était pas sûre de vouloir venir habiter dans cette banlieue résidentielle de la région parisienne. Les femmes ici ont toutes la quarantaine, des enfants à élever, des maisons à entretenir et des maris qui rentrent tard le soir. Elle est maintenant certaine de ne pas vouloir devenir comme elles. Aujourd’hui, Juliette attend une réponse pour un poste important dans une maison d’édition. Un poste qui forcément changerait sa vie de tous les jours.
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