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Les sorties en salles quasi simultanées de La Cache et du Routard, les ultimes films avec Michel Blanc nous ont donné envie de revenir sur la carrière de l’acteur et réalisateur français disparu l’année dernière.
L’officier procède alors avec méthode à sa palpation, devant les yeux consternés et gênés de son amie.
Grand prix au festival de Clermont-Ferrand.
Grand prix au festival de Winterthur.
Dernier épisode de la trilogie marseillaise de Marcel Pagnol - Fanny, abandonnée par Marius, épouse Panisse qui adopte Césariot, l’enfant de l’amour, et l’élève comme son fils. Aujourd’hui, Césariot est adulte et Panisse se meurt. Fanny révèle la vérité à son fils qui décide alors de partir à la recherche de Marius, son père…
Autour de trois beaux portraits de femmes blessées (Sandrine Kiberlain, Nicole Garcia et Mathilde Seigner), Claude Miller orchestre un chassé-croisé aux ressorts inattendus.
Après plusieurs années passées à New York, Betty, jeune romancière couronnée de succès, rentre vivre en région parisienne avec Joseph, son fils de 4 ans. Alors qu’elle héberge pour quelque temps sa mère, Margot, dont les troubles psychiatriques entravent douloureusement leur relation, Joseph perd brutalement la vie dans un accident. Pour tenter d’alléger la peine de sa fille, accablée par le chagrin et la solitude, Margot lui ramène un jour un petit garçon du même âge que celui qu’elle vient de perdre, pioché à la sortie de l’école… De l’autre côté de la ville, la jeune mère de l’enfant enlevé, Carole, semble vivre ce drame avec un étonnant détachement.
Variations sur la maternité
Adapté d’un roman de la prolifique Britannique Ruth Rendell, le douzième long métrage de Claude Miller assume avec malice les tours improbables de son scénario, oscillant entre drame, comédie douce-amère et thriller psychologique. Cet inclassable chassé-croisé n’en offre pas moins trois poignants portraits de femmes abîmées par la vie, variations sur l’amour maternel dans ses nuances, ses ambivalences et ses tabous, toutes magistralement interprétées : Betty (Sandrine Kiberlain), mère fusionnelle et fragile accablée par le deuil ; l’égocentrique Margot (Nicole Garcia), qui, faute de savoir exprimer la tendresse, maquille un rapt d’enfant en geste d’amour ; et Carole (Mathilde Seigner), serveuse hédoniste embarrassée par sa progéniture, pour qui cette disparation fait presque l’effet d’une délivrance. Autour de ce trio évoluent de savoureux seconds rôles, comme celui d’Alex, faussaire, gigolo et arnaqueur à la petite semaine, incarné par Édouard Baer dans un plaisant contre-emploi.
Comment s’est-elle imposée au cœur de la confrontation commerciale et géopolitique entre Pékin et Washington ? À l'approche de la décision sur l'avenir de Tiktok aux États-Unis, cette plongée dans les arcanes de la plate-forme révèle la guerre des données que se livrent les États.
Épisode 1 - Naissance d’un géant chinois
En 2012, Zhang Yiming, un brillant ingénieur de Pékin, crée sa start-up, Bytedance, avec l’ambition d’égaler les leaders de la Silicon Valley. À cette époque, la Chine, intégrée au commerce mondialisé, mise sur l’innovation, associée à une certaine forme de libéralisme économique. Profitant de ce contexte, Zhang se lance sur le marché de la presse en ligne avec l’application Toutiao ("Les titres du jour"), qui rencontre un succès fulgurant. Puis, en 2016, ce sera au tour de Douyin, une plate-forme de partage de vidéos dont la réplique mondiale, Tiktok, basée sur le même algorithme révolutionnaire, déferle sur la planète l’année suivante. Entre-temps, le Parti communiste chinois (PCC) a pris le contrôle de Bytedance et d'autres entreprises de la tech, sommées de mettre à disposition leurs données et applications. L’objectif est double pour Xi Jinping : asseoir son pouvoir, en plaçant ces sociétés au cœur du système de surveillance et de répression du PCC, et contester l’hégémonie numérique et économique des États-Unis.
Retrouver l'épisode 2 en cliquant ici.
Chacha et Marc, qui bouclent leur Tour de France des mini-golfs, tentent de répondre aux questions naïves et maladroites d’Hadrien tandis que Gautier, venu ici pour trouver l’amour, regrette d’avoir laissé son calepin pour noter les scores au petit Alain, 11 ans.
À chaque histoire sa “difficulté”, son “obstacle” au sens propre comme au sens figuré : Au fond du trou raconte les tranches de vie d’une douzaine de personnes qui se croisent cet après-midi-là et dont le point commun est d’avoir voulu se détendre un club de golf à la main. Leur autre point commun : avoir des difficultés avec le concept de détente.
Dans ce théâtre dérisoire, cette micro-société bariolée où l’on on vient avec l’obligation de s’amuser, il paraît impensable qu’un adulte puisse perdre son sang froid. En théorie. Mais qu’arrive-t-il pour celles et ceux qui n’arrivent pas à voir en “jeu” et “enjeu” des mots réellement différents ?
Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.
En plein synode à ce sujet convoqué par le pape François, considéré comme progressiste, état des lieux d’une institution profondément divisée entre volonté de réforme et résistances conservatrices.
Élu en 2013, le pape François prend la tête d’une institution fragilisée, en proie à l’érosion de la pratique et aux nombreux scandales d’abus sexuels commis en son sein. Le nouveau souverain pontife – dont le nom, choisi en référence à François d’Assise, le saint des pauvres et des exclus, sonne comme une promesse – ambitionne de retisser le lien avec les 1,4 milliard de fidèles catholiques à travers la planète et de projeter l’Église dans le XXIe siècle, en revoyant en profondeur sa doctrine et son fonctionnement. En octobre 2023, dans la foulée du "chemin synodal" allemand lancé deux ans plus tôt, qui a débouché sur une série de propositions de réformes, le jésuite argentin convoque à Rome cardinaux, évêques, prêtres et laïcs du monde entier pour discuter de plusieurs sujets : la répartition du pouvoir entre le Vatican et les églises locales, la place des femmes dans l’Église catholique ou encore la bénédiction des couples de même sexe. Pour la première fois, les femmes y ont le droit de vote et les émissaires venus du Sud y occupent une place de choix, reflet de leur poids dans la communauté catholique mondiale. Mais l’assemblée se tient dans une atmosphère de divisions, une guerre interne opposant progressistes et conservateurs depuis une décennie. Deux mois à peine après le début du synode, la déclaration Fiducia supplicans, qui ouvre la possibilité de bénir les couples homosexuels, va ainsi provoquer la fronde de l’Église d’Afrique…
Révolution impossible ?
François parviendra-t-il à imposer un changement d’époque au Vatican sans faire imploser l’Église catholique ? Quel héritage laissera-t-il ? Tourné en Allemagne, en Italie, aux États-Unis et en République démocratique du Congo, ce documentaire donne la parole à des femmes qui militent pour l’égalité et le droit à prêcher – dont la théologienne Gisela Forster, excommuniée après avoir été ordonnée prêtre par un évêque en 2002 –, à des hauts représentants du clergé opposés à toute ouverture (l’archevêque américain Timothy Broglio, le cardinal allemand Gerhard Ludwig Müller, son homologue congolais Fridolin Ambongo…) et à des journalistes spécialistes du Vatican. Ces voix offrent un aperçu éclairant des luttes intestines qui déchirent l’Église catholique et des immenses défis qu’elle devra surmonter pour enrayer son déclin.
Le 15 janvier 2004, le chalutier Bugaled Breizh sombrait dans la Manche en trente-sept secondes. Comment a-t-il pu couler si rapidement ? La belle-sœur d’un pêcheur disparu n’accepte pas les explications des autorités. Série inspirée d’une histoire vraie, "37 secondes" raconte le combat pour la vérité mené par les familles des victimes. Avec Nina Meurisse et Mathieu Demy. - Sacrée meilleure série française au festival "Séries Mania" 2025.
Épisode 1
Le 15 janvier 2004, le chalutier breton Bugaled Breizh chavire brutalement au large des côtes anglaises. Des secours sont aussitôt dépêchés sur place, en vain : deux marins sont retrouvés noyés, trois autres sont portés disparus. Familles et proches endurent la tragédie sans comprendre. En l’absence d’incident notable, comment le bateau a-t-il pu couler si rapidement ? Le procureur chargé du dossier conclut à une collision avec un cargo, mais Marie Madec, la belle-sœur d’un pêcheur disparu, n’accepte pas ces explications. D’autant que les autorités persistent à ignorer qu’un sous-marin a été vu dans la zone du naufrage… Au nom des victimes et de leurs familles, elle demande à un avocat, maître Costil, de leur venir en aide.