Aller au contenu principal

4 résultat(s) trouvé(s)

Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !

Nouveauté
Disponible
Nouveauté
Film VODNon disponible
Eté 1939. Alors que plane déjà l'ombre de la guerre, Jean, Eva et leur fille Marie, une famille originaire de Paris, partent comme chaque année passer des vacances chez Mamie, la grand-mère qui tient une petite auberge dans une bourgade de l'Aubrac, dans le Massif central. Marie retrouve sa grand-mère, à qui la lie une tendre complicité. Son cœur adolescent se met soudain à battre pour le nouveau médecin du village, Alexandre, qui, de son côté, lui préfère Eva. Mamie, qui comprend son trouble, trouve les mots qui consolent et lui conseille de ne rien voir de l'idylle qui se noue, tandis que son père vaque aux travaux des champs...
Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible
Un retraité de la fonction publique vit seul avec son chien dans l'Italie d'après-guerre. Endetté et incapable de payer son loyer, il doit se séparer des biens les plus chers à son cœur. Dernier film de la tétralogie néoréaliste de Vittorio de Sica, "Umberto D." compte parmi les chefs d’œuvre du maître italien.
Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

Touché par la grâce, "À nos amours" de Maurice Pialat marque en 1983 l'éclosion d'une actrice et la rencontre d'un film d'auteur avec son public.

Cinquième long métrage de Maurice Pialat, À nos amours raconte une époque, celle de la fin la libération sexuelle, et, en filigrane, une rencontre, celle de Sandrine Bonnaire, alors âgée de 15 ans, et du réalisateur, qui joue aussi le rôle de son père. Leur relation, chaste mais très forte, est au centre du film. Encore dans les rondeurs de l'adolescence, l'apprentie comédienne illumine chaque plan et joue d'instinct, ce qui enchante Pialat qui n'aime pas les acteurs "qui pensent".

L'huile sur le feu
Nourri de témoignages denses et de séquences clés, ce documentaire évoque cet éblouissement et un tournage "apaisé", même si le réalisateur continue néanmoins à jeter de l'huile sur le feu quand les choses ronronnent. Exemple : la scène de la réception dans laquelle Pialat – son personnage est censé être mort – fait irruption au milieu des convives, pour mieux capter leur effarement. Le réalisateur David Thompson a retrouvé les principaux protagonistes de cette aventure, à commencer par Sandrine Bonnaire, qui explique avec émotion à quel point la rencontre de Pialat a changé sa vie. Leurs témoignages permettent de mieux saisir les méthodes de travail du réalisateur qui, s'il accueillait favorablement l'imprévu, n'était pas adepte de l'improvisation totale. Tous restent marqués par cette collaboration et ce film qui apportera au réalisateur la reconnaissance qu'il attendait. Parmi eux, citons Arlette Langmann, ancienne compagne de Pialat et scénariste, Florence Quentin, première assistante, le directeur de la photo Jacques Loiseleux, l'acteur et critique Jacques Fieschi, Dominique Besnehard, chargé du casting. Sur l'insistance de Pialat, il s'attribuera l'un des rôles clés, celui du frère, dans lequel il sera remarquable.

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques