A partir de témoignages de rescapés, l'auteur propose huit récits de naufrages survenus entre le XVIIe et le XXe siècle. D'après les réactions variées des naufragés, des uns qui révèlent une ingéniosité héroïque aux autres qui se laissent guider par leurs plus bas instincts, il interroge la nature humaine et invite le lecteur à se projeter en pareille situation.

Lors d'une soirée, Eliott Holden, nouvelle recrue de l'équipe de football américain de l'université de Bomont, flirte avec le capitaine Darek Prescott. En couple avec une fille, celui-ci fait comprendre à Eliott que ce qui s'est passé était une erreur. Mais entre piques assassines, querelles sur le terrain et tension dans l'équipe, leur relation explosive pourrait cacher une attirance réciproque.

« C'est le genre d'attraction qu'on ne vit qu'une seule fois, celle qui prend complètement le contrôle. ».

Dieu est contre le progrès ! Dieu est contre la démocratie ! Dieu, c'est la violence et l'intolérance ! Dieu est un homme ! Et puis même, Dieu est mort ! Autant d'idées reçues qui ont la vie dure. Autant d'idées reçues battues en brèche dans cet essai fulgurant. Si les religions ne cessent de s'inviter dans le débat public, on les connaît finalement bien mal. Il fallait Stéphane Encel pour défaire tous les stéréotypes et déconstruire tous les clichés qui étouffent trop souvent la compréhension du fait religieux. C'est en historien qu'il apporte la nuance nécessaire, restitue le temps long, souligne les points communs et les divergences pour mieux dissiper les malentendus et montrer ce que les religions ont à dire face aux défis contemporains, aux crises d'identité, à la peur du futur. Voici l'indispensable manuel à mettre entre toutes les mains. Des questions simples, des réponses courtes. Un livre pour tous. Historien des religions, enseignant, essayiste, Stéphane Encel est également président de la commission Histoire, Mémoire et Droits de l'homme de la LICRA. Il oeuvre pour un dialogue permanent entre les grands acteurs de la société civile, dont les religions, et pour la connaissance du fait religieux. Il a publié de nombreux ouvrages dont L'antisémitisme en 100 questions, et récemment Le monde selon Orwell. Avez-vous bien lu 1984 ? aux Éditions du Cerf.

Saviez-vous que Dieu jouait au ballon avec Moïse ? Que le prophète Muhammad enjoignait à ses fidèles de se récréer par le jeu, entre les prières ? Que saint Paul de Tarse s'est adonné à la pratique du marathon ? À l'occasion des Jeux olympiques 2024 à Paris, Benjamin Pichery convoque trois auteurs issus des trois grandes religions abrahamiques pour s'interroger sur la pratique sportive dans la religion : Marc-Alain Ouaknin pour le judaïsme, Emmanuel Falque pour le christianisme, enfin, Ghaleb Bencheikh pour l'islam. Quelle place prend donc le sport ? Ils ont relevé ce défi avec talent en retraçant une généalogie des corps au travers des monothéismes. Trois auteurs, trois nouvelles approches. Il ne manquait plus que le regard théologique sur cette question déjà traitée par les prismes philosophique, anthropologique, sociologique et historique. Le livre pour combler ce manque avec éloquence et profondeur dans une approche inédite. Islamologue, Ghaleb Bencheikh est président de la Fondation de l'islam de France. Professeur à la Faculté de philosophie de l'Institut catholique de Paris, Emmanuel Falque est spécialiste de philosophie médiévale et contemporaine. Philosophe et écrivain, Marc-Alain Ouaknin est professeur à l'Université Bar-Ilan (Israël). Réalisateur et éditeur, directeur de collection à l'INSEP, Benjamin Pichery a dirigé et coordonné cet ouvrage avec le philosophe François L'Yvonnet. Sous la direction de Benjamin Pichery Entretiens conduits par François L'Yvonnet

Au cours de son année de 6e, Lucrèce est confrontée à un voyage scolaire à Londres, à l'accueil d'une correspondante anglaise, à la première dispute avec Pauline et à une improbable journée des métiers au collège. Mais il y a également des choses qui ne changent pas, comme la gentillesse de Georges, les angoisses de sa mère, l'amitié des Lines ou les extravagances de Scarlett.

Quelques années après un premier film intitulé "Je ne sais pas si c'est tout le monde", Vincent Delerm prolonge cette expérience dans un deuxième opus avec cette nouvelle exploration documentaire et sensible des sentiments, en s'attaquant cette fois au plus vibrant d'entre tous : le sentiment amoureux. Vincent Delerm opère seul et empoigne sa caméra pour s'en aller sonder des femmes et des hommes, anonymes, artistes, connaissances ou amis, au printemps ou à l'hiver de leurs vies, tous dissemblables mais tous à l'unisson lorsqu'il s'agit d'évoquer avec délicatesse, émotion ou humour leurs rapports aux doux vertiges de l'amour...

Sur l'île d'Hokkaido, au nord du Japon, l'hiver est la saison du hockey pour les garçons. Takuya, lui, se tient en retrait car il ne peut cacher qu'il est davantage subjugué par Sakura, une adolescente qui vient tout juste d'arriver de Tokyo, et qui répète des enchaînements de patinage artistique. Il tente maladroitement de l'imiter si bien que le coach de Sakura, touché par ses efforts, décide de les entrainer en duo en vue d'une compétition prochaine. A mesure que l'hiver avance, une harmonie s'installe entre eux malgré des caractères diamétralement opposés. Mais les premières neiges fondent et le printemps arrive, inéluctable...