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Nouveauté
CDDisponible
Originaire de Guinée et partenaire de Ba Cissoko, le virtuose Sekou Kouyate est la révélation world de l'année en s'associant avec le guitariste slamer New Yorkais Joe Driscoll. Une fusion de musiques urbaine et africaine d'une énergie rare. Joe et Sekou figurent parmi les talents prometteurs du magazine Songlines.
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Nouveauté
Bande dessinéeNon disponible
Durant un an, l'auteur a voyagé à travers le monde à la rencontre d'hommes et de femmes qui se battent pour leurs droits. Les témoignages recueillis sur place lui ont inspiré ces treize reportages graphiques, illustrés par autant de dessinateurs différents.
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LivreNon disponible
Après le succès de Mes animaux et de Mon cirque Xavier Deneux poursuit son exploration du blanc et du noir avec cet imagier onirique sur le thème de la nuit et de l’imaginaire. De belles surprises graphiques autour de la lumière et des formes. Une illustration au trait poétique et délicat. Une petite merveille ! L’enfant ne verra pas les mêmes silhouettes en plein jour et dans l’obscurité. Caché sous la couette Il verra apparaître la Lune des lucioles des étoiles une fenêtre éclairée.
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Film VODNon disponible

Le parcours d’un journaliste de la presse à sensation dans la jungle romaine, faune bigarrée en agitation constante. Un film sensuel et désarçonnant, une œuvre totale dans laquelle Fellini concentre certaines de ses obsessions.

Marcello, chroniqueur mondain, sillonne Rome à la recherche du scandale et du sensationnel. Toujours entouré d’une nuée de paparazzi, il fréquente avec détachement les lieux où se presse la foule…

L'ambiguité
Comme l’a lui-même raconté Fellini, une image est à l’origine de La dolce vita : celle d’un style de robe qui était à la mode à la fin des années soixante. Un vêtement élégant mais coupé d’une façon qui dissimulait le corps féminin. Quelle créature se trouvait à l’intérieur ? Était-ce un être plein de vie et pur, comme son apparence pouvait le faire penser ? Ou bien un squelette rongé par le vice et la solitude ? Pour filmer la réalité, Fellini en filme l’idée, le rêve. Il le fait avec une ferveur et un investissement proches du sentiment religieux. Mais il ne se revendique d’aucune chapelle. Avec La dolce vita, il rompt les amarres qui l’attachent à l’école néoréaliste. Pour lui, les maîtres sont du côté de Jung et de Buñuel, du décryptage des pulsions contradictoires et de la surréalité qui en dit long sur le monde dans lequel nous vivons. Sans préjuger des mœurs observées, Fellini agit en moraliste. La décadence l’obsède, mais il ne la met pas sur le compte de son époque – et ne propose pas non plus de remède. En dépit d’Anita Ekberg, naïade inattendue de la fontaine de Trévi, et malgré l’agitation mondaine des fêtes qui se succèdent, le film tend à l’immobilité. "Je prends la température d’un monde malade ; mais si le mercure indique 40 °C au début du film, il en indique également 40 à la fin. Rien n’a changé." Les personnages répètent les mêmes actions, s’enferrent dans des modes de fonctionnement. À force d’en avoir trop vu, ils regardent sans voir, tel, à la fin du film, l’atroce poisson échoué sur le rivage qui contemple d’un œil morne l’immensité du ciel.

Palme d'or du Festival de Cannes 1960

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