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Dans les années 1980, à Melbourne, l'ascension de deux journalistes sur le point de devenir des stars de l'info. La série australienne The Newsreader dévoile les coulisses d’un journal télévisé tout en portant un regard acéré sur la société australienne de l'époque.
Épisode 1
Melbourne, janvier 1986, dans les coulisses de l’émission News at Six : le jeune reporter Dale Jennings rêve d’occuper le devant de la scène, tandis que Helen Norville, coprésentatrice des informations du soir, souffre de la présence paternaliste de son partenaire Geoff Walters, un journaliste de la vieille école. Lorsque le directeur de l’émission demande à Dale de faire équipe avec Helen pour contenir ses ambitions, le jeune homme accepte dans l’espoir d’accéder à une promotion. Leur relation se transforme en une alliance fragile à la faveur de la tragique nouvelle de la semaine, l’explosion de la navette spatiale Challenger…
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Ascenseur spatial, champignons zombies ou chèvres atomiques, tout s'éclaire en quelques minutes. Sous la plume de Marion Montaigne et avec la voix de François Morel, les quatre saisons de cette série animée démystifient la science avec un humour ravageur.
Épisode 1 - The taille is the limit
Godzilla, King Kong, qui sont plus grands que le plus grand des dinosaures, pourraient-ils exister en vrai et détruire le monde ? Pour le professeur Moustache, il n’y a pas de question stupide ! Dix ans après sa première saison, la série d’animation scientifico-trash adaptée des bandes dessinées de Marion Montaigne revient avec une quatrième salve d'épisodes inédits.
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Du Mali au Niger, du Burkina Faso à la Centrafrique, les troupes françaises sont désormais priées de partir. Quelle place la France peut-elle encore espérer tenir sur ce continent stratégique ? Et quel avenir pour les liens tissés au fil des décennies ?
Dans ce numéro du Dessous des cartes, nous remontons le fil d’une relation longue et complexe entre la France et ses anciennes colonies africaines. Une relation post-coloniale, marquée par la "Françafrique", aujourd’hui remise en cause par une nouvelle génération de dirigeants en France comme en Afrique, mais aussi par l’émergence de nouvelles puissances, la Russie et la Chine notamment.
Ils passent dix jours dans la ville assiégée. Une expérience déchirante retracée par Anastasiia Falileieva. Prix du meilleur film d'animation au festival de Clermont-Ferrand 2025.
Et aussi incroyable que cela puisse paraître, nous n'avions encore jamais consacré un sujet à l'acteur dans Blow Up. Voici ces deux anomalies réparées pour la venue sur la Croisette de Denzel Washington pour présenter Highest 2 Lowest de Spike Lee.
Les américaines Ancestry ou 23andMe, l’israélienne MyHeritage… Depuis une vingtaine d’années, une kyrielle de start-up surfent sur la révolution du séquençage du génome pour proposer au grand public des kits de tests ADN personnels, disponibles en quelques clics sur Internet. Près de 50 millions de personnes dans le monde ont déjà succombé à leur promesse : découvrir, grâce à des gouttes de salive, les secrets que recèleraient nos gènes. Un marché aujourd’hui gigantesque, dont le chiffre d’affaires s’élève à 2 milliards de dollars par an. Si nombre d’utilisateurs, notamment aux États-Unis, y voient un simple moyen de connaître l’origine géographique de leurs ancêtres, de retrouver de lointains cousins ou d’identifier leur vulnérabilité génétique à telle ou telle pathologie, ces technologies – et le business qu’elles sous-tendent – posent des questions vertigineuses. Les résultats de ces tests sont-ils fiables ? Et surtout, que devient la précieuse manne de données génétiques et personnelles collectées par les entreprises ?
ADN monétisé
Cette enquête le montre : derrière un habile discours marketing se cache un business opaque, scientifiquement et éthiquement hasardeux. Réalisés à la chaîne, les tests ADN à vocation médicale mènent à de fréquents faux positifs – à l’image de cet utilisateur auquel on a diagnostiqué à tort deux mutations gravissimes – et laissent dubitatifs les généticiens. Mais le danger majeur concerne l’inquiétante absence de protection des données personnelles, potentiellement revendues au bon vouloir des entreprises. En Nouvelle-Zélande, les assurances santé privées exigent désormais de leurs clients la divulgation des résultats des analyses, ouvrant la voie à une véritable discrimination génétique… Avec sa loi bioéthique, la France est aujourd’hui l’un des rares pays au monde à interdire ces tests "récréatifs" sur son territoire. S'appuyant sur des éclairages d’experts, chercheurs et avocats – mais aussi sur les édifiants témoignages de clients de ces entreprises –, ce documentaire révèle les dessous d'un marché florissant, s'interroge sur le futur de la médecine et souligne la fragilité de notre vie privée à l'ère numérique.
À l'été 2000, le sous-marin nucléaire K-141 Koursk appareille pour de grandes manœuvres en mer de Barents. Les hommes d'équipage, qui accumulent les arriérés de solde, n'ont guère d'espoir de toucher la prime promise pour leurs tirs d'essai, qui visent, entre autres démonstrations de force, à prouver aux Russes que l'armée garde toute sa puissance, comme le président Poutine, récemment élu, le leur a garanti. Mikhail Averine vient d'abandonner sa montre de sous-marinier au magasin d'État pour offrir à l'un de ses jeunes camarades des noces à peu près dignes. Mais il quitte Tanya, sa femme enceinte, et leur petit garçon sans état d'âme, heureux de retrouver la vie à bord et les 188 hommes de son équipage que les difficultés de l'heure rendent encore plus solidaires. Le 12 août, dès le début de l'exercice, une double explosion de grande ampleur dans la chambre de tir détruit une partie du sous-marin, qui sombre dans les fonds glacés. Le temps presse pour entreprendre le sauvetage des 23 hommes encore vivants et piégés dans l'épave du sous-marin...
Compte à rebours
Que s'est-il passé à bord du Koursk ? Les offres de secours britanniques et norvégiennes, que la Russie mit quatre jours à accepter, auraient-elles changé la donne ? Vingt-cinq ans après, les causes exactes de l'explosion demeurent inexpliquées, mais l'incurie des autorités russes ne fait aucun doute. Autour du personnage fictif d'Averine et des siens, Thomas Vinterberg, ex-cinéaste du Dogme 95 efficacement converti au film à gros budget, retrace avec intensité cette tragédie qui tint le monde en haleine sept jours durant. Même si l'issue est connue, le compte à rebours n'en est pas moins terrible. Le film déroule en parallèle les derniers moments des survivants dans le noir et le froid, et la bataille désespérée de leurs familles restées à terre pour contraindre l'armée à envoyer des secours et à leur dévoiler la vérité, ainsi que les efforts d'un haut gradé anglais (Colin Firth) pour faire accepter l'aide de son vaisseau. Tandis que Poutine, vingt-quatre heures après l'"incident" rapporté avec six heures de retard par la marine, jugeait bon de prolonger ses vacances en Crimée, la colère et la détresse des proches sont évoquées de façon saisissante. L'expression de leur rage apparaît cependant d'une étonnante liberté comparée au présent. Même si, comme le rappelle également le scénario, basé sur l'enquête de Robert Moore, les militaires n'hésitèrent pas, pour la faire taire, à droguer devant des caméras de télévision une mère folle de douleur – la plupart des victimes étaient de très jeunes appelés.
Catherine et Oracio sont conseillers immobiliers à l’agence Wahou !, en banlieue parisienne. Deux biens, en particulier, occupent leurs journées de travail : une coquette villa bourgeoise du XIXe siècle – à la cote quelque peu entamée par le train passant au fond du jardin –, dont les propriétaires, un couple de retraités, se séparent à contrecœur, et un petit T3 flambant neuf en bordure de route, en plein "triangle d’or" de Bougival. Les visites et les potentiels clients se succèdent avec plus ou moins de bonheur...
Tendresse et facétie
Sur une trame modeste à dessein grâce à l’astuce théâtrale d’une double unité de lieu, Bruno Podalydès investit avec succès le genre de la comédie à sketches, avec toute la tendresse et la facétie qu’on lui connaît. Au fil des visites, c’est un défilé tantôt burlesque, tantôt mélancolique d’une galerie de personnages, interprétés avec une joie évidente par une ribambelle de stars, incarnant mille manières d’habiter le monde. Face au duo d’agents immobiliers un peu dépassés (Karin Viard et Bruno Podalydès himself), il y a la bande excentrique de musiciens (menés par Agnès Jaoui) qui fait tourner la visite en scène de ménage collective ; le jeune couple de cyclistes à la symétrie millimétrée ; l’infirmière au bord du burn-out (Florence Muller) ou le client difficile (Denis Podalydès, irrésistible, dans un rôle quasi muet). Un cachet fou !
À travers des archives saisissantes et les récits bouleversants de témoins des événements, cette série offre une plongée dans l’histoire contemporaine de six pays emblématiques, soumis, comme le reste du continent, aux desseins des États-Unis.
Épisode 1 - Coup
Au Brésil, en 1964, l’armée, soutenue par les États-Unis, renverse le président démocratiquement élu João Goulart. Une nouvelle forme de dictature émerge en Amérique latine. Les opposants trouvent refuge au Chili, où Salvador Allende tente d’instaurer légalement un régime socialiste. Le 11 septembre 1973, il meurt lors du coup d’État militaire mené par le général Pinochet. Le nouvel homme fort du pays s’allie avec les dictateurs de la région pour lancer l'opération "Condor". Les opposants aux juntes sont traqués où qu’ils soient, sous le regard complaisant de Richard Nixon. Mais lorsque, en septembre 1976, les services secrets chiliens tuent à Washington un ancien ministre d’Allende, le nouveau président Jimmy Carter refuse de collaborer avec ces régimes autoritaires. En 1977, il redonne au Panamá le contrôle de son canal et, deux ans plus tard, laisse les rebelles sandinistes triompher au Nicaragua. Mais l’élection de Ronald Reagan en 1980 annonce une nouvelle ère.
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Retour tout en muscles sur l’art du culturisme et son absorption progressive par le consumérisme.
Si Arnold Schwarzenegger a popularisé le bodybuilding dans le monde, l’histoire de cette discipline spectaculaire commence bien avant ses films. Dès le XIXe siècle, des hommes et des femmes à la force surhumaine impressionnent le public des cirques itinérants. Mais au tournant du siècle suivant, les performances de culturistes comme Eugen Sandow changent la donne : leurs corps deviennent source d’inspiration et bientôt, certains y voient un modèle très lucratif Pour qui peut se l’offrir, des maîtres culturistes comme Jack LaLanne ou Joseph Pilates développent des cours, fabriquent des machines et ouvrent des studios pour partager – et monnayer – leur savoir. Le corps musclé devient un idéal censément atteignable par tous…