Veuillez noter : Ce site Web comprend un système d'accessibilité. Appuyez sur Ctrl-F11 pour adapter le site Web aux malvoyants qui utilisent un lecteur d'écran ; Appuyez sur Ctrl-F10 pour ouvrir un menu d'accessibilité.
Aller au contenu principal

35 résultat(s) trouvé(s)

Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !

Nouveauté
VinyleNon disponible
Non disponible
Nouveauté
Film VODNon disponible

Élevée dans une famille catholique de Bay City (Michigan), une ville proche de la frontière du Canada, la jeune Madonna Louise Ciccone est déterminée à devenir une star : à 20 ans, passionnée par la danse, elle emménage à New York avec 20 dollars en poche et gagne sa vie en posant nue pour des photographes. Lorsqu’elle décide de se tourner vers la musique, sa carrière décolle rapidement.  Son esprit d’entrepreneuse la pousse très tôt à contrôler son image, suprêmement sophistiquée. Adorée par ses fans pour son courage et sa sincérité, la reine de la pop provoque sans modération, aussi bien dans ses clips et ses concerts que dans son livre Sex, paru en 1992. Parallèlement, la star revendique puiser son inspiration dans la scène queer, comme dans son titre "Vogue", et s’attire les foudres du Vatican à de nombreuses reprises – notamment avec le clip de "Like a Prayer", dans lequel elle embrasse un Christ noir, et lors de son concert à Rome en 2006, où elle apparaît "crucifiée" sur scène.
 
Material Girl
À travers des extraits de concerts et d’interviews – menées notamment par la journaliste Christiane Rebmann, qui l’a régulièrement rencontrée sur plusieurs décennies –, Oliver Schwabe retrace la carrière de Madonna, soulignant la cohérence avec laquelle l’artiste a modelé son image. À 66 ans, la chanteuse apparaît toujours aussi déterminée à rester elle-même et désireuse de s’exprimer à travers de nouveaux univers sonores, sans rien trahir de son identité rebelle, ni de son soutien à la communauté LGBTQIA+, au féminisme ou à la lutte contre le racisme.

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

À l’occasion de la réouverture de la bastide familiale aixoise où Paul Cézanne créa une grande partie de son oeuvre, ce documentaire revisite la trajectoire du maître, qui puisa dans sa Provence natale son inspiration avant-gardiste.

L’œuvre de Paul Cézanne est indissociable de la cité où il vit le jour, Aix-en-Provence. C’est ici que se trouve la bastide du Jas de Bouffan, propriété de sa famille de 1859 à 1899. Plus qu’un lieu de résidence, cette maison fut pour le peintre, incompris de son vivant, un laboratoire de création où il expérimenta motifs et techniques pour s’imposer comme l’un des pères de la modernité. En marge de la réouverture de la bastide – devenue un musée consacré au maître – après de longs travaux, et de l’exposition "Cézanne au Jas de Bouffan", présentée du 28 juin au 12 octobre 2025 au musée Granet d’Aix-en-Provence, ce documentaire explore le lien qu’entretint l’artiste avec ce refuge familial.

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

Signé Walter Salles, un mélo multirécompensé, qui s’arme de tendresse face à la dureté du réel.

Dans la gare centrale de Rio, Mme Dora, enseignante retraitée, tient une échoppe d’écrivain public. Son cœur desséché n’a que mépris pour les âmes simples qui viennent se confier à sa plume, et elle regarde avec indifférence les tragédies apportées par le fracas de la mégalopole. Josué, 9 ans, n’a jamais connu son père, mais sa mère espère toujours son retour et lui envoie des lettres que transcrit Dora. Quand la jeune mère est fauchée sous les yeux de son fils par un autobus, l’enfant, brutalement devenu seul au monde, se tourne vers la seule personne qu’il connaisse... 

Cœur battant  
Avant de saisir à bras-le-corps un mythe latino-américain planétaire, en s’emparant de la jeunesse du "Che" (Carnets de voyage, 2004), Walter Salles, dont le dernier film Je suis toujours là revient sur les heures noires de la dictature au Brésil, faisait résonner le cœur battant de son peuple avec ce premier succès international en forme de road-movie. L’effervescente et éreintante gare centrale du titre, où se croisent des millions de visages et d’histoires, constitue la métaphore du pays tout entier, dans sa diversité, sa splendeur et sa misère, sa foi vibrante aussi, et, au-delà, tend un miroir à l’humanité. Les séquences haletantes qui ouvrent le film, avant l’échappée de Josué et de Dora vers le nord, disent avec concision toute la brutalité de la grande ville contemporaine, où les pauvres et les faibles, tentés par ses mirages, sont broyés dans l’indifférence générale. Comme pour tout mélo digne du genre, c’est parce qu’il touche juste que Walter Salles arrache des larmes, amères puis reconnaissantes. Restauré en 2018 à l'occasion de ses 20 ans, Central do Brasil s’appuie aussi sur l’alchimie de ses deux interprètes, Vinícius de Oliveira, enfant des rues dont le réalisateur a d’abord croisé dans une gare de Rio l'irrésistible regard grave, et Fernanda Montenegro, qui insuffle ce qu’il faut d’humour caustique au miracle de sa renaissance morale pour la rendre crédible.

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

Mêlant historiographie récente, archives et animation, ce documentaire remarquable les replace au coeur des événements, en retraçant les parcours de plusieurs d’entre elles, telles Pauline Léon, Olympe de Gouges ou encore Théroigne de Méricourt.

Danton, Robespierre, Marat, Mirabeau… La Révolution a ses héros, et tous sont des hommes. Des femmes de tous horizons ont pourtant pris part aux événements, en première ligne des insurrections comme des débats politiques qui ont jalonné cette période de basculement. La très populaire marchande de la Halle Reine Audu, la dramaturge humaniste Olympe de Gouges, l’amazone belge Théroigne de Méricourt, la journaliste républicaine Louise-Félicité de Keralio, la soldate émérite Catherine Pochetat ou la chocolatière militante Pauline Léon, fondatrice d’un club féminin avec sa comparse comédienne Claire Lacombe, se sont ainsi illustrées, chacune à leur manière, pendant ces temps agités, avant d’être impitoyablement rayées de l’histoire.

Invisibilisation
Aujourd’hui, ces figures longtemps oubliées reprennent peu à peu leur place dans le grand récit national grâce au travail d’une nouvelle génération d’historiens. Nourri de leurs découvertes et de précieuses archives (iconographie, documents officiels, coupures de presse…), ce documentaire au souffle épique fait revivre leurs destins en animation, et les inscrit dans la chronologie tumultueuse des premières années de la Révolution. De l’Assemblée au champ de bataille, des marchés aux clubs et salons, cette fresque met en lumière le rôle essentiel des femmes dans ce moment fondateur, mais aussi le processus d’effacement dont elles ont été victimes. Car si la Révolution leur offre de nouveaux droits – notamment celui de divorcer –, les femmes qui occupent le terrain politique vont faire l’objet d’attaques misogynes d’une violence inouïe, avant d’être implacablement bâillonnées à partir de 1793. Quelques années plus tard, le Code Napoléon (1804) inscrira dans le marbre juridique la sujétion civique de leur sexe, étouffant les revendications féministes des pionnières pendant plus d’un siècle et demi. Racontée par Romane Bohringer, une vibrante page d’histoire au féminin, tissée d’idéaux, de faits d’armes et de tragédies. 

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

Cent ans après sa disparition, ce documentaire fait revivre l'auteur des "Gymnopédies" à travers ses écrits autobiographiques, de savoureuses archives et les interventions d'artistes amoureux de son oeuvre inclassable.    

Deux pianos à queue sans cordes empilés l'un sur l'autre, des montagnes de linge sale, des paquets de lettres non ouvertes… Le désordre indescriptible de son petit appartement d'Arcueil, dans lequel ses amis pénétrèrent pour la première fois au lendemain de sa mort, le 1er juillet 1925, dit tout de la misère tragique, dissimulée aux regards, dans laquelle Erik Satie finit sa vie, à 59 ans. Mais s'il fut mal aimé de ses contemporains en raison de son goût avant-gardiste pour l'extravagance et le minimalisme, le pianiste et compositeur, né à Honfleur en 1866, a laissé derrière lui une production jalonnée de pièces phares : Gymnopédies et Gnossiennes, œuvres de jeunesse écrites dans la foulée de son installation montmartroise ; Vexations, fruit amer de sa rupture avec Suzanne Valadon, dont le motif à exécuter 840 fois a influencé la musique répétitive ; Trois morceaux en forme de poire, réponse espiègle à son ami Debussy qui lui recommanda un jour de "plus songer à la forme" ; sans oublier le ballet surréaliste Parade, conçu avec Picasso et Cocteau, et hué à sa création, qui lui valut d'être attaqué en justice par le critique Jean Poueigh, traité de "cul, mais un cul sans musique" dans une carte postale devenue mythique.

Clown triste  
"Je me suis toujours efforcé de dérouter les suiveurs par la forme et par le fond à chaque nouvelle œuvre." À l'occasion du centenaire de sa disparition, Gregory Monro fait revivre Erik Satie, génie facétieux et tourmenté qui refusa obstinément de se fondre dans les canons de l'époque. S'appuyant sur ses écrits autobiographiques, gorgés d'humour et de désespoir, et les anecdotes en archives, souvent savoureuses, de ses compagnons de route (Jean Cocteau, les compositeurs Georges Auric et Jean Wiéner…), ce film sensible déroule le fil de sa vie et de ses expérimentations en compagnie de fervents admirateurs – musicologue, critique, mais aussi artistes, parmi lesquels les pianistes Alice Sara Ott et Nicolas Horvath, la harpiste Kety Fusco ou le compositeur électro Thylacine. Lesquels se penchent sur ses partitions, constellées de dessins fantasques et d'indications énigmatiques ("Enfouissez le son"), et les interprètent avec passion. Ponctué d'interludes poétiques, un portrait à la fois érudit et enlevé, qui témoigne de l'influence profonde de Satie sur les générations suivantes, jusque dans la pop culture.  

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible
Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

Au cœur du chaos politique, elle vit sa propre révolution, naviguant entre amour et identité, prise dans la tourmente des événements qui s’intensifient et des pertes qui la mettent à l’épreuve.

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

Le premier film, sanglant et déjanté, de Quentin Tarantino, qui annonce toutes ses oeuvres à venir.

Joe Cabot embauche six truands affublés de surnoms de couleur pour commettre un braquage. Mais le coup échoue suite à un guet-apens de la police. L’un des braqueurs, Mr. Orange, est grièvement blessé, tandis que deux autres ont péri dans l’attaque. Mr. White emmène l’éclopé à l’entrepôt où ils doivent se partager le butin. Bientôt rejoints par Mr. Pink, qui a réussi à emporter des diamants, les survivants s’interrogent : qui a prévenu la police ? L’un d’eux les a-t-il trahis ? Pourquoi Mr. Blonde a-t-il ouvert le feu comme un fou ?

Polar réinventé
Dès le début, le style Tarantino est à l’œuvre. Pour préparer leur casse, les gangsters dissertent de longues minutes sur "Like a Virgin" de Madonna et s’écharpent sur le fait de donner ou non un pourboire à la serveuse. Loin des clichés du polar, le cinéaste américain réinvente le genre avec ses propres références. Dialogues ciselés, culture populaire omniprésente, acteurs charismatiques, tout y est. Tarantino affirme aussi déjà son appétence à filmer la violence extrême, qui jalonnera chacun de ses films, avec la fameuse scène de l’oreille, accompagnée par la magnifique bande-son de la radio fictive très seventies K-Billy. Dans ce premier long métrage déjanté, le réalisateur fait du huis clos son décor principal avant de le dynamiter à coups de flash-back qui déroutent le spectateur, parfois en avance sur les personnages, parfois pris à contre-pied. Dans la peau de ces truands que l’on n’arrive pas à détester, Tim Roth, parfait dans sa lente agonie, et Harvey Keitel, en vieux malfrat qui se découvre une conscience, se distinguent. Brillant, drôle et percutant, Reservoir Dogs, une révélation à sa sortie, se regarde avec toujours autant de bonheur.

Pour se connecter au site d'ARTE.tv cliquer ici.

Le film est interdit au - de 16 ans

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques
Nouveauté
Film VODNon disponible

À l'été 2000, le sous-marin nucléaire K-141 Koursk appareille pour de grandes manœuvres en mer de Barents. Les hommes d'équipage, qui accumulent les arriérés de solde, n'ont guère d'espoir de toucher la prime promise pour leurs tirs d'essai, qui visent, entre autres démonstrations de force, à prouver aux Russes que l'armée garde toute sa puissance, comme le président Poutine, récemment élu, le leur a garanti. Mikhail Averine vient d'abandonner sa montre de sous-marinier au magasin d'État pour offrir à l'un de ses jeunes camarades des noces à peu près dignes. Mais il quitte Tanya, sa femme enceinte, et leur petit garçon sans état d'âme, heureux de retrouver la vie à bord et les 188 hommes de son équipage que les difficultés de l'heure rendent encore plus solidaires. Le 12 août, dès le début de l'exercice, une double explosion de grande ampleur dans la chambre de tir détruit une partie du sous-marin, qui sombre dans les fonds glacés. Le temps presse pour entreprendre le sauvetage des 23 hommes encore vivants et piégés dans l'épave du sous-marin...

Compte à rebours
Que s'est-il passé à bord du Koursk ? Les offres de secours britanniques et norvégiennes, que la Russie mit quatre jours à accepter, auraient-elles changé la donne ? Vingt-cinq ans après, les causes exactes de l'explosion demeurent inexpliquées, mais l'incurie des autorités russes ne fait aucun doute. Autour du personnage fictif d'Averine et des siens, Thomas Vinterberg, ex-cinéaste du Dogme 95 efficacement converti au film à gros budget, retrace avec intensité cette tragédie qui tint le monde en haleine sept jours durant. Même si l'issue est connue, le compte à rebours n'en est pas moins terrible. Le film déroule en parallèle les derniers moments des survivants dans le noir et le froid, et la bataille désespérée de leurs familles restées à terre pour contraindre l'armée à envoyer des secours et à leur dévoiler la vérité, ainsi que les efforts d'un haut gradé anglais (Colin Firth) pour faire accepter l'aide de son vaisseau. Tandis que Poutine, vingt-quatre heures après l'"incident" rapporté avec six heures de retard par la marine, jugeait bon de prolonger ses vacances en Crimée, la colère et la détresse des proches sont évoquées de façon saisissante. L'expression de leur rage apparaît cependant d'une étonnante liberté comparée au présent. Même si, comme le rappelle également le scénario, basé sur l'enquête de Robert Moore, les militaires n'hésitèrent pas, pour la faire taire, à droguer devant des caméras de télévision une mère folle de douleur – la plupart des victimes étaient de très jeunes appelés.

Votre abonnement a expiré, veuillez le prolonger pour accéder aux ressources numériques