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Ceux qui aiment ses personnages longilignes au grand nez et à l'humour cynique ont de quoi se réjouir, le Voutch nouveau est arrivé. On y retrouve ses thèmes chers : le couple toujours mis à mal - cet homme au restaurant, disant à sa compagne : «Vraiment, Chloé, votre réaction me surprend beaucoup : d'après maman, je suis l'homme idéal.» -, notre société de consommation, mais aussi l'art qui se prend au sérieux - cette femme horrifiée disant à sa femme de ménage : «Surtout, ne me dites pas, Teresa, que vous avez nettoyé le four avec ma sublime éponge postmoderne numérotée Stefanini De Lorca !»... Album après album, le succès de Voutch ne se dément pas. On peut même parler aujourd'hui de Voutchmania. Voutch, qui a débuté dans le dessin d'humour après une carrière de créatif dans la pub, a imposé rapidement son style incisif et élégant, sa vision grinçante de notre monde. Chacune de ses nouveautés est un événement. Voutch a déjà publié, au cherche midi, Le Grand Tourbillon de la vie (1998), Le Pire n'est même pas certain (1999), L'Amour triomphe toujours (2000) Personne n'est tout blanc (2002) et Chaque jour est une fête (2004). H a également publié cette année un agenda 2007 Les envoûtants mystères de l'amour. Ses dessins paraissent dans Psychologies, Le Point, Madame Figaro.@ Babelio
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A Boston, une lutte sans merci oppose la police à la pègre irlandaise. Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec 'un bleu' issu des bas quartiers, Billy Costigan. Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en 'sous-marin' et informe Costello des opérations qui se trament contre lui. Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité. Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau...
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Dans un monde rayé en noir en blanc et rempli d'interdits, un zébron décide de refaire le monde. Des couleurs apparaissent sur son pelage. Avec sa cousine, il va semer la couleur et la vie.
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Deux trois gouttes de lotion et votre vie bascule… du jour au lendemain  !Georges n'est pas un élève populaire. Au contraire. C'est un solitaire, dont la grande passion est de jouer à des jeux de rôles avec un autre garçon qui n'est même pas son ami. Mais le jour où le grand-père de Georges lui offre une vieille lotion toute moisie, sa vie change. Soudain, toutes les filles du collège semblent s'intéresser à lui… ce qui n'a pas que des avantages  !
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L'éditeur se souvient comment, pour lui remonter le moral, l'écrivain S. Tesson lui a proposé de se lancer dans une ascension mont Blanc, en dépit de son vertige. Il décrit sa préparation physique et leur aventure jusqu'au sommet. Prix du livre numérique 2017 (prix des lecteurs).
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Tome :
1
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Elisabeth est la fille du gouverneur et de fait elle ne voit pas beaucoup ses parents. Heureusement, elle a une deuxième vie, celle de la pirate Lili Crochette. Avec son coéquipier, le colibri monsieur Mouche, elle affronte Viggo Barbelongue l'ennemi juré de son père. ©Electre 2024
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À l’heure où Donald Trump menace de mettre en oeuvre ses visées expansionnistes, Pierre Haski nous propose une plongée passionnante dans l'épopée militaire de l’Amérique, nation née dans la guerre avant de s’imposer tardivement en "gendarme du monde" – un rôle désormais contesté.

Les États-Unis, qui aiment se dire pacifiques, ont pourtant presque toujours été en guerre en deux cent cinquante ans d’existence, et continuent de déployer des centaines de milliers de soldats sur tous les continents. D’abord ravagés par des conflits intérieurs – la révolution, la guerre de Sécession, les guerres indiennes –, les États-Unis dépassent leurs frontières en combattant l’Espagne aux Philippines à la fin du XIXe siècle. L’Amérique des pères fondateurs, attachés à la conscription, s’est pourtant longtemps méfiée de l’armée de métier, craignant qu’elle ne se retourne contre le peuple. L’envoi de troupes en Europe en 1917 amorce son nouveau rôle de puissance internationale. En 1941, au lendemain de Pearl Harbour, l’engagement des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale impose durablement l’hégémonie du pays grâce à une industrie de l’armement tournant à plein régime, qui dope son économie, et une propagande relayée par le cinéma hollywoodien, qui nourrit le mythe. Car, sûr d’avoir sauvé le monde de la peste brune – sentiment conforté en 1945 par le choix de New York pour le siège des Nations unies –, le "gendarme du monde" ne remet pas même en cause l’horreur d’Hiroshima. Si sa doctrine de dissuasion nucléaire est bientôt mise à mal par des États, comme l’URSS ou la Chine, qui se dotent à leur tour de l’arme atomique, son leadership s’affirme aussi à travers l’Otan et des centaines de bases militaires, notamment dans les territoires des ex-ennemis vaincus (du Japon à l’Allemagne) ou aux Philippines, face aux ambitions de Pékin. Mais le traumatisme du Viêtnam, avec ses millions de morts, abîme son image de justicier du "monde libre", instillant le doute sur sa légitimité. Son impérialisme ne cessera plus dès lors d’être dénoncé, la contestation de sa mission militaire se renforçant encore après le 11-Septembre avec les "guerres sans fin" en Afghanistan et en Irak. Aujourd’hui comme hier, l’Amérique reste traversée par deux courants antagonistes : l’un jugeant son omniprésence militaire nécessaire, l’autre plaidant pour son repli. Alors que resurgissent des conflits "classiques", du Proche-Orient à l’Ukraine, sans qu’elle intervienne, quel rôle son armée va-t-elle jouer dans la vision de Donald Trump ?

Leçons du passé
Comment la guerre et les engagements militaires de l’Amérique ont-ils façonné sa psyché au fil des générations et imposé sa suprématie depuis 1945 ? À l’heure où celui qui a été (ré)élu comme un "président de la paix" fragilise les alliances et menace les équilibres géopolitiques, ce documentaire, nourri d’analyses d’une trentaine d’experts internationaux – militaires, politiques, historiens –, plonge au cœur de l’histoire des États-Unis pour s’interroger sur les défis qui attendent cette nation fracturée dans un monde devenu multipolaire. À travers les leçons du passé, Pierre Haski éclaire les paradoxes de cette superpuissance militaire et leurs conséquences sur la démocratie et la société civile, en mettant en perspective des choix stratégiques déterminants pour l’avenir du pays et de la planète.

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Éternel amoureux du verbe, Manoel de Oliveira confère à la parole une puissance quasi divine. Avec Chiara Mastroianni, Antoine Chappey et Françoise Fabian.

Affaiblie par une relation douloureuse avec M. de Guise, qu’elle soupçonne de la désirer plus que de l’aimer, Catherine de Chartres suit les conseils de sa mère et épouse un riche médecin, Jacques de Clèves. Habitués aux mondanités et férus de spectacles, les nouveaux époux assistent à une représentation intimiste du musicien portugais Pedro Abrunhosa, qui devient un proche et dont Catherine va vite s’éprendre. Tourmentée, elle se confie régulièrement à une amie chère, devenue religieuse…

Désir à réprimer

Si Manoel de Oliveira a réalisé, dans les années 1970, une série de films qu’il a lui-même intitulée "tétralogie des amours frustrées", La lettre pourrait sans aucun doute s’y inscrire tant son mécanisme narratif se nourrit entièrement de l’insatisfaction de l’héroïne incarnée par Chiara Mastroianni. Or, et c’est certainement ce qui amuse ici le cinéaste, le XVIIe siècle de La princesse de Clèves dont il s’inspire est bien loin : les mœurs ont changé et la modernité, à l’aube du XXIe siècle, est venue percuter les derniers remparts érigés par la haute bourgeoisie. Point de raison donc de se tourmenter pour un désir difficile à réprimer… à moins de craindre qu’un monde ancien, et un certain confort, ne s’écroulent. Dans les cadres composés où sont enserrées Mlle de Chartres, sa mère et sa cour se racontent les règles d’un autre temps qu’elles s’imposent encore, au profit d’une soi-disant vertu garante de leur bonne réputation. Quelle grande friction suscite alors l’arrivée du célèbre compositeur portugais Pedro Abrunhosa, dont les musiques sensuelles, fiévreuses, charrient une liberté aux antipodes des vies prostrées, comme empruntées, des "monsieur et madame de". Même l’Église, qu’incarne la confidente de Catherine devenue religieuse – Leonor Silveira, figure centrale du cinéma d’Oliveira –, enjoint l’héroïne à cesser de se flageller. "C’est mon calvaire", dira celle-ci, en une forme de prophétie autoréalisatrice, la parole ayant ici le don de faire éclore la joie comme de mener au tombeau

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