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La sortie en salles cette semaine de The Insider avec notamment Cate Blanchett, nous a donné envie de revenir sur la carrière prestigieuse de l’actrice australo-américaine en 10 petites madeleines.
Très vite, sa soif de vérité va la mener au tueur qui guette sa prochaine proie. Thriller intense et glaçant, la série "Fatal Crossing – Les filles du ferry" est adaptée du best-seller de Lone Theils.
Épisode 1
Correspondante pour un grand journal danois à Londres, la journaliste Nora Sand se retrouve au cœur d’un scandale. Accusée d’avoir eu une liaison avec l’une de ses sources dans une affaire politiquement explosive, elle retourne au Danemark et se met au vert chez son père le temps que les choses se calment. Mais lorsqu’elle entend parler d’une affaire de disparition non résolue remontant aux années 1980, son instinct journalistique reprend le dessus. À cette époque, deux jeunes filles, Lisbeth et Lulu, se sont "évaporées" d’un ferry qui faisait la liaison entre le Danemark et l’Angleterre. Ont-elles été assassinées ou enlevées ? Nora commence à enquêter. Alors qu’elle renoue avec un passé rempli de sombres secrets, Sofia, une autre adolescente, disparaît à son tour. Malgré le danger qu’elle pressent autour de cette affaire, Nora est déterminée à découvrir la vérité.
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Aujourd’hui, avec un narratif de "puissance de paix", la Chine de Xi Jinping affirme ne pas faire la guerre mais défendre la paix dans le monde, et rester neutre dans les conflits des autres pays.
Finis les sujets sensibles comme le Tibet ou Taïwan, finis les personnages LGBTQIA+... : retour sur les compromissions de l'usine à rêves.
Le tournant date de 1997. Cette année-là, la sortie en salle de trois films – Sept ans au Tibet de Jean-Jacques Annaud, Kundun de Martin Scorsese et Red Corner de Jon Avnet – suscite la réprobation du gouvernement chinois. Pékin dénonce la mauvaise image de la Chine véhiculée par ces productions, place les studios concernés sur une liste noire et menace d'exclure de son gigantesque marché les films qui ne lui conviendraient pas. À Hollywood, le message est reçu cinq sur cinq… En quelques années, l'usine à rêve se met au pas de la censure chinoise : finis certains sujets sensibles tels que le Tibet, le Dalaï-Lama ou Taïwan ; finis les thrillers avec de méchants Chinois ; finis les personnages LGBTQIA+… Les scénarios sont caviardés, les scènes coupées, principalement dans les versions chinoises, comme pour Iron Man 3 (2013), mais aussi parfois dans la version originale, à l’instar de Looper (2012). L'usine à rêves ne fait pas que s'autocensurer : elle laisse aussi tomber l'une de ses plus grandes stars, Richard Gere, parce que son engagement pour les droits humains et pour un Tibet libre déplaisait à Pékin… En 2020, l’association Pen America, qui lutte pour défendre la liberté d’expression aux États-Unis, a publié un rapport très complet sur la manière dont la censure chinoise a influencé la réalisation et la distribution de plusieurs films américains. Son auteur, James Tagger, témoigne dans ce documentaire aux côtés de plusieurs acteurs de l'industrie du cinéma – le journaliste spécialisé Erich Schwartzel, le producteur Chris Fenton, le scénariste Jeremy Passmore…
Seins nus pour mieux bronzer, elles fument et sirotent des cocktails. Des touristes se plaignent, sans succès, puis font intervenir le manager. Et tout dérape ! Thelma & Louise reloaded.
L'Impératrice investit le palais Bulles le temps d'un concert envoûtant aux accents rétrofuturistes.
Le groupe L'Impératrice et sa chanteuse Flore Benguigui ne pouvaient rêver plus bel écrin pour marquer la sortie de leur troisième album, Pulsar, le 7 juin dernier : conçu par l'"habitologue" hongrois Antti Lovag dans les années 1970, puis racheté par le couturier Pierre Cardin, le palais Bulles, dont les mille hublots surplombent la Méditerranée, forme le décor idéal d'un concert cosmique. Déambulant dans les espaces tout en rondeurs de la villa, ce film musical déroule le fil d'une journée, du petit déjeuner au coucher sous un ciel étoilé, entre saynètes du quotidien scandées par les mélodies chaloupées du groupe et sessions live mettant à l'honneur tubes incontournables ("Agitations tropicales", "Voodoo ?", "Anomalie bleue"…) et nouvelles compositions dansantes. Un voyage rétro à l'énergie joyeuse et raffinée.
L’affaire s’amplifie sur les réseaux sociaux lorsque sa co-animatrice s’en mêle. C’est le début d’une descente aux enfers et d’une implacable vengeance. Minisérie de haut vol "Douglas Is Cancelled" est signée Steven Moffat ("Sherlock"). Avec Hugh Bonneville et Karen Gillan.
Épisode 1
Trésor national du petit écran, Douglas Bellowes informe depuis plus de dix ans les Britanniques lors de sa célèbre émission News at Six, coanimée avec Madeline Crow, une jeune journaliste pleine d'allant. Un soir après l'émission, leur producteur, Toby, prend Douglas à part pour l'alerter des suites d'un dérapage de ce dernier. Invité à un mariage, l'animateur, ivre, avait proféré une blague sexiste dont s'est plaint l'un des invités en postant un message bien senti sur les réseaux sociaux. Douglas déclare n'avoir aucun souvenir de ce moment de la soirée. Tandis que Madeline, prévenue, ne semble pas faire grand cas de l'affaire, chez lui, Douglas fait face à Sheila, sa femme, qui craint qu'on ne le manipule, et à sa fille, une adolescente militante survoltée.
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En marge de l’exposition que lui consacre le Centre Pompidou, l’itinéraire romanesque d’une artiste éminemment moderne.
Rien ne la prédestinait à une vie d’artiste. Le destin de cette femme née en 1865 d'une blanchisseuse et d’un père inconnu, mère à 18 ans (du futur peintre Maurice Utrillo), aurait pu être tout tracé. Mais son histoire est un défi à la fatalité : celle d’une femme qui s’est affranchie des conventions, de son genre et de son milieu social, guidée par sa vocation de créatrice. Modèle dès l'âge de 15 ans, elle pose pour Renoir ou Toulouse-Lautrec. Erik Satie en tombe amoureux, mais la passion qui habite Suzanne Valadon est d’abord celle de son art : le dessin, la gravure, la peinture. À une époque où les femmes n’ont pas le droit d’intégrer l’école des Beaux-Arts, elle se forme en autodidacte, en observant les peintres pour lesquels elle pose. Cette surdouée à la volonté de fer voit bientôt son travail reconnu par Edgar Degas, qui deviendra son plus fervent collectionneur. Tout en veillant à ne s’attacher à aucun courant artistique, elle s’extrait des limites assignées aux femmes artistes. Première femme à peindre un homme nu de face ou à s’attaquer à de grands formats, Suzanne Valadon n’a eu peur ni des défis ni des scandales : dans son art comme dans sa vie, elle fut sans concession. Au fil des années, avec 450 toiles à son actif, elle devient célèbre en France et se fait également un nom sur la scène artistique internationale, jusqu’à sa mort en 1938.
Incroyable modernité
Tissé d’archives de la Belle Époque, de séquences en animation et d’entretiens, notamment avec Nathalie Ernoult, attachée de conservation au Musée national d’art moderne de Paris, ce portrait documentaire retrace l’itinéraire romanesque d’une artiste dont la vie, d’une incroyable modernité, a été parsemée de rencontres et d’amitiés avec les plus grands artistes de son temps. "Elle est finie mon œuvre, écrivit-elle, et la seule satisfaction qu’elle me procure est de n’avoir jamais trahi ni abdiqué rien de tout ce à quoi j’ai cru. Vous le verrez peut-être si un jour quelqu’un se soucie jamais de me rendre justice". C’est enfin fait.