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1979. La révolution iranienne, la paix égypto-israélienne, le siège de la mosquée de La Mecque et l'invasion soviétique en l'Afghanistan : en une année, ces quatre évènements ont métamorphosé le Moyen-Orient. L’islam politique a conquis le pouvoir, affectant les sociétés de manière brutale. Un moment charnière dont les conséquences déstabilisent encore aujourd'hui le monde entier.

Épisode 1 - L’émergence des chefs religieux

Au cours des années 1970, le Moyen-Orient, pris dans un mouvement de modernisation et de sécularisation fulgurant, est devenu un champ de bataille idéologique opposant les leaders pro-occidentaux d’orientation libérale comme le shah d’Iran, Mohammad Reza Pahlavi, soutenu par les États-Unis, et les alliés de l’Union soviétique – baassistes en Syrie et en Irak, communistes au pouvoir en Afghanistan. La fin de la décennie voit s’y opérer un basculement radical. Si Jimmy Carter décrit l’Iran comme "un îlot de stabilité dans l’une des zones les plus agitées au monde", l’opposition politique grandit contre le régime autoritaire et corrompu, à gauche comme dans les milieux religieux. Devenu depuis son exil en France une figure de proue de la révolution naissante, l’ayatollah Khomeyni fait un retour triomphal à Téhéran en février 1979, après la fuite du Shah, et instaure un mois plus tard, par référendum, une république islamique dans le pays à majorité chiite. Les événements en Iran font des émules auprès de mouvements islamistes des pays voisins. En Égypte, le traité de paix signé le 26 mars avec Israël – premier en son genre dans le monde arabe – marque un tournant diplomatique, mais prépare également le terrain pour la montée de groupes extrémistes, comme le Jihad islamique. En Afghanistan, traditionalistes et islamistes exploitent, comme en Iran, les liens des dirigeants avec une puissance étrangère – en l’occurrence l’URSS – pour attiser la colère… 

Retrouver la seconde partie du documentaire en cliquant ici.

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L’un d’eux, Toni, regarde un couple plus âgé qui danse et s’interroge sur ses désirs. Mais Marvin, qui l’observe, le prend bientôt à partie…

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La sortie en salles cette semaine de The Insider avec notamment Cate Blanchett, nous a donné envie de revenir sur la carrière prestigieuse de l’actrice australo-américaine en 10 petites madeleines.

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Finis les sujets sensibles comme le Tibet ou Taïwan, finis les personnages LGBTQIA+... : retour sur les compromissions de l'usine à rêves.

Le tournant date de 1997. Cette année-là, la sortie en salle de trois films – Sept ans au Tibet de Jean-Jacques Annaud, Kundun de Martin Scorsese et Red Corner de Jon Avnet – suscite la réprobation du gouvernement chinois. Pékin dénonce la mauvaise image de la Chine véhiculée par ces productions, place les studios concernés sur une liste noire et menace d'exclure de son gigantesque marché les films qui ne lui conviendraient pas. À Hollywood, le message est reçu cinq sur cinq… En quelques années, l'usine à rêve se met au pas de la censure chinoise : finis certains sujets sensibles tels que le Tibet, le Dalaï-Lama ou Taïwan ; finis les thrillers avec de méchants Chinois ; finis les personnages LGBTQIA+… Les scénarios sont caviardés, les scènes coupées, principalement dans les versions chinoises, comme pour Iron Man 3 (2013), mais aussi parfois dans la version originale, à l’instar de Looper (2012). L'usine à rêves ne fait pas que s'autocensurer : elle laisse aussi tomber l'une de ses plus grandes stars, Richard Gere, parce que son engagement pour les droits humains et pour un Tibet libre déplaisait à Pékin… En 2020, l’association Pen America, qui lutte pour défendre la liberté d’expression aux États-Unis, a publié un rapport très complet sur la manière dont la censure chinoise a influencé la réalisation et la distribution de plusieurs films américains. Son auteur, James Tagger, témoigne dans ce documentaire aux côtés de plusieurs acteurs de l'industrie du cinéma – le journaliste spécialisé Erich Schwartzel, le producteur Chris Fenton, le scénariste Jeremy Passmore…

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Seins nus pour mieux bronzer, elles fument et sirotent des cocktails. Des touristes se plaignent, sans succès, puis font intervenir le manager. Et tout dérape ! Thelma & Louise reloaded.

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L'Impératrice investit le palais Bulles le temps d'un concert envoûtant aux accents rétrofuturistes.

Le groupe L'Impératrice et sa chanteuse Flore Benguigui ne pouvaient rêver plus bel écrin pour marquer la sortie de leur troisième album, Pulsar, le 7 juin dernier : conçu par l'"habitologue" hongrois Antti Lovag dans les années 1970, puis racheté par le couturier Pierre Cardin, le palais Bulles, dont les mille hublots surplombent la Méditerranée, forme le décor idéal d'un concert cosmique. Déambulant dans les espaces tout en rondeurs de la villa, ce film musical déroule le fil d'une journée, du petit déjeuner au coucher sous un ciel étoilé, entre saynètes du quotidien scandées par les mélodies chaloupées du groupe et sessions live mettant à l'honneur tubes incontournables ("Agitations tropicales", "Voodoo ?", "Anomalie bleue"…) et nouvelles compositions dansantes. Un voyage rétro à l'énergie joyeuse et raffinée.

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L’affaire s’amplifie sur les réseaux sociaux lorsque sa co-animatrice s’en mêle. C’est le début d’une descente aux enfers et d’une implacable vengeance. Minisérie de haut vol "Douglas Is Cancelled" est signée Steven Moffat ("Sherlock"). Avec Hugh Bonneville et Karen Gillan.

Épisode 1

Trésor national du petit écran, Douglas Bellowes informe depuis plus de dix ans les Britanniques lors de sa célèbre émission News at Six, coanimée avec Madeline Crow, une jeune journaliste pleine d'allant. Un soir après l'émission, leur producteur, Toby, prend Douglas à part pour l'alerter des suites d'un dérapage de ce dernier. Invité à un mariage, l'animateur, ivre, avait proféré une blague sexiste dont s'est plaint l'un des invités en postant un message bien senti sur les réseaux sociaux. Douglas déclare n'avoir aucun souvenir de ce moment de la soirée. Tandis que Madeline, prévenue, ne semble pas faire grand cas de l'affaire, chez lui, Douglas fait face à Sheila, sa femme, qui craint qu'on ne le manipule, et à sa fille, une adolescente militante survoltée.

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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En marge de l’exposition que lui consacre le Centre Pompidou, l’itinéraire romanesque d’une artiste éminemment moderne.

Rien ne la prédestinait à une vie d’artiste. Le destin de cette femme née en 1865 d'une blanchisseuse et d’un père inconnu, mère à 18 ans (du futur peintre Maurice Utrillo), aurait pu être tout tracé. Mais son histoire est un défi à la fatalité : celle d’une femme qui s’est affranchie des conventions, de son genre et de son milieu social, guidée par sa vocation de créatrice. Modèle dès l'âge de 15 ans, elle pose pour Renoir ou Toulouse-Lautrec. Erik Satie en tombe amoureux, mais la passion qui habite Suzanne Valadon est d’abord celle de son art : le dessin, la gravure, la peinture. À une époque où les femmes n’ont pas le droit d’intégrer l’école des Beaux-Arts, elle se forme en autodidacte, en observant les peintres pour lesquels elle pose. Cette surdouée à la volonté de fer voit bientôt son travail reconnu par Edgar Degas, qui deviendra son plus fervent collectionneur. Tout en veillant à ne s’attacher à aucun courant artistique, elle s’extrait des limites assignées aux femmes artistes. Première femme à peindre un homme nu de face ou à s’attaquer à de grands formats, Suzanne Valadon n’a eu peur ni des défis ni des scandales : dans son art comme dans sa vie, elle fut sans concession. Au fil des années, avec 450 toiles à son actif, elle devient célèbre en France et se fait également un nom sur la scène artistique internationale, jusqu’à sa mort en 1938.

Incroyable modernité
Tissé d’archives de la Belle Époque, de séquences en animation et d’entretiens, notamment avec Nathalie Ernoult, attachée de conservation au Musée national d’art moderne de Paris, ce portrait documentaire retrace l’itinéraire romanesque d’une artiste dont la vie, d’une incroyable modernité, a été parsemée de rencontres et d’amitiés avec les plus grands artistes de son temps. "Elle est finie mon œuvre, écrivit-elle, et la seule satisfaction qu’elle me procure est de n’avoir jamais trahi ni abdiqué rien de tout ce à quoi j’ai cru. Vous le verrez peut-être si un jour quelqu’un se soucie jamais de me rendre justice". C’est enfin fait.

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