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D'après le livre d'Artur London. A Prague, en 1951, un homme est persécuté par le système malgré son passé irréprochable. Sa femme le désavoue en public et il finit par avouer n'importe quoi avant d'être réhabilité, alors que les chars russes entrent dans la ville.
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Autour de trois beaux portraits de femmes blessées (Sandrine Kiberlain, Nicole Garcia et Mathilde Seigner), Claude Miller orchestre un chassé-croisé aux ressorts inattendus.

Après plusieurs années passées à New York, Betty, jeune romancière couronnée de succès, rentre vivre en région parisienne avec Joseph, son fils de 4 ans. Alors qu’elle héberge pour quelque temps sa mère, Margot, dont les troubles psychiatriques entravent douloureusement leur relation, Joseph perd brutalement la vie dans un accident. Pour tenter d’alléger la peine de sa fille, accablée par le chagrin et la solitude, Margot lui ramène un jour un petit garçon du même âge que celui qu’elle vient de perdre, pioché à la sortie de l’école… De l’autre côté de la ville, la jeune mère de l’enfant enlevé, Carole, semble vivre ce drame avec un étonnant détachement.
 
Variations sur la maternité
Adapté d’un roman de la prolifique Britannique Ruth Rendell, le douzième long métrage de Claude Miller assume avec malice les tours improbables de son scénario, oscillant entre drame, comédie douce-amère et thriller psychologique. Cet inclassable chassé-croisé n’en offre pas moins trois poignants portraits de femmes abîmées par la vie, variations sur l’amour maternel dans ses nuances, ses ambivalences et ses tabous, toutes magistralement interprétées : Betty (Sandrine Kiberlain), mère fusionnelle et fragile accablée par le deuil ; l’égocentrique Margot (Nicole Garcia), qui, faute de savoir exprimer la tendresse, maquille un rapt d’enfant en geste d’amour ; et Carole (Mathilde Seigner), serveuse hédoniste embarrassée par sa progéniture, pour qui cette disparation fait presque l’effet d’une délivrance. Autour de ce trio évoluent de savoureux seconds rôles, comme celui d’Alex, faussaire, gigolo et arnaqueur à la petite semaine, incarné par Édouard Baer dans un plaisant contre-emploi.

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Comment s’est-elle imposée au cœur de la confrontation commerciale et géopolitique entre Pékin et Washington ? À l'approche de la décision sur l'avenir de Tiktok aux États-Unis, cette plongée dans les arcanes de la plate-forme révèle la guerre des données que se livrent les États. 

Épisode 1 - Naissance d’un géant chinois

En 2012, Zhang Yiming, un brillant ingénieur de Pékin, crée sa start-up, Bytedance, avec l’ambition d’égaler les leaders de la Silicon Valley. À cette époque, la Chine, intégrée au commerce mondialisé, mise sur l’innovation, associée à une certaine forme de libéralisme économique. Profitant de ce contexte, Zhang se lance sur le marché de la presse en ligne avec l’application Toutiao ("Les titres du jour"), qui rencontre un succès fulgurant. Puis, en 2016, ce sera au tour de Douyin, une plate-forme de partage de vidéos dont la réplique mondiale, Tiktok, basée sur le même algorithme révolutionnaire, déferle sur la planète l’année suivante. Entre-temps, le Parti communiste chinois (PCC) a pris le contrôle de Bytedance et d'autres entreprises de la tech, sommées de mettre à disposition leurs données et applications. L’objectif est double pour Xi Jinping : asseoir son pouvoir, en plaçant ces sociétés au cœur du système de surveillance et de répression du PCC, et contester l’hégémonie numérique et économique des États-Unis.

Retrouver l'épisode 2 en cliquant ici.

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Chacha et Marc, qui bouclent leur Tour de France des mini-golfs, tentent de répondre aux questions naïves et maladroites d’Hadrien tandis que Gautier, venu ici pour trouver l’amour, regrette d’avoir laissé son calepin pour noter les scores au petit Alain, 11 ans.
À chaque histoire sa “difficulté”, son “obstacle” au sens propre comme au sens figuré : Au fond du trou raconte les tranches de vie d’une douzaine de personnes qui se croisent cet après-midi-là et dont le point commun est d’avoir voulu se détendre un club de golf à la main. Leur autre point commun : avoir des difficultés avec le concept de détente.
Dans ce théâtre dérisoire, cette micro-société bariolée où l’on on vient avec l’obligation de s’amuser, il paraît impensable qu’un adulte puisse perdre son sang froid. En théorie. Mais qu’arrive-t-il pour celles et ceux qui n’arrivent pas à voir en “jeu” et “enjeu” des mots réellement différents ?

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Cruella d'Enfer est le seul de ses personnages avec lequel Glenn Close n'a pas sympathisé en secret. Mais elle s'est follement amusée dans le rôle, malgré les fourrures écrasantes et les escarpins impossibles de la spectaculaire méchante des 101, puis 102 dalmatiens. Comme le reste des centaines de costumes qu'elle a portés dans 43 autres films, l'actrice a obtenu par contrat le droit de les conserver. Peut-être parce que de ses premières années, passées en liberté dans la ferme de ses grands-parents, dans le Connecticut, elle garde le souvenir d'une fête annuelle : la représentation de Casse-Noisette, mis en scène à New York par l'un de ses oncles. En coulisses, elle découvre un soir l'habit du rôle-titre accroché sur un mur. "À partir de là, j’ai toujours eu le sentiment qu’on crée d’abord le costume et que l'acteur vient lui donner vie, mouvement et sens." Au travers de cette collection unique en son genre, ce portrait revisite son éclatante carrière au fil de ses incarnations les plus marquantes : la blouse d'infirmière de l'indestructible Jenny (dans Le monde selon Garp, son premier grand rôle au cinéma, en 1982), le manteau de cuir de la "bouilleuse de lapin" psychotique de Liaison fatale, les robes-armures et les corsets de la marquise de Merteuil (Les liaisons dangereuses, diffusé à l'antenne d'ARTE avant ce portrait), la livrée de la majordome irlandaise travestie par nécessité d’Albert Nobbs, dont elle a coécrit le rôle…

La rescapée 
C'est avec l'hommage débordant d'émotion à ses grands-mères et à sa mère, prononcé en 2019, lorsque The Wife lui vaut son troisième Golden Globe, que Catherine Ulmer Lopez ouvre ce documentaire. Croisant les extraits de ses films avec des entretiens d'archives – et une rencontre exclusive en forme de clin d'œil –, la réalisatrice met en regard la jubilation de l'actrice à se fondre dans ses rôles et sa franchise sans détours dans la vraie vie. Confiée à 7 ans avec ses frère et sœurs par leurs parents au mouvement évangélique du Réarmement moral, qu'elle dénonce comme une secte répressive, elle n'a cessé de lutter pour surmonter les inhibitions engendrées par cette longue réclusion. "Sauvée" par le théâtre, qu'elle découvre à 22 ans à l'université, elle a fait de ses traumatismes de jeunesse la source de son féminisme instinctif et de sa compassion pour ses personnages – de l'Alex de Liaison fatale, en qui elle voit une victime d'inceste, à la grand-mère white trash d'Une ode américaine (2020), adapté du livre autobiographique du désormais vice-président J. D. Vance, adversaire politique qu'elle combat aujourd’hui dans les manifs proavortement.

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Un documentaire à la fois instructif et décalé. 

"Le modèle patriarcal traditionnel est aujourd’hui dépassé", proclame le podcaster allemand Bernhard Vosicky au micro de son émission Papa Mia!?. Pour cet animateur et papa des temps modernes, les nouvelles générations masculines souhaitent s’impliquer dans la vie de leurs enfants et participer activement aux tâches parentales, à l’égal des mères. Mais en est-il vraiment ainsi ? Afin de mieux comprendre le changement sociétal qui se joue, de nombreux experts – psychologues, historiens, philosophes et psychanalystes – se plongent dans l’histoire de la figure paternelle. Comment ce modèle s’est-il façonné ? A-t-il vraiment changé en profondeur au XXIe siècle ? 

On ne naît pas père... 
Après Le mythe de la mère parfaite (2022), la réalisatrice autrichienne Marion Priglinger s’attaque à la figure du père avec une cohorte de spécialistes, dont l’historien André Rauch. Dans son ouvrage Pères d’hier, pères d’aujourd’hui (2007), celui-ci se demande, puisqu’on ne naît pas père, comment on le devient. De l’Antiquité à nos jours, en passant par quelques révolutions et deux guerres mondiales, l’autorité patriarcale n’aurait cessé de décliner, jusqu’à la contre-culture des années 1960 et aux mouvements féministes, puis au mouvement #MeToo, qui rebattent les cartes de la masculinité. A-t-on pour autant rompu pour de bon avec le modèle familial traditionnel ? Interrogeant en parallèle l’histoire de l’art – gravures, tableaux, sculptures et photos –, ce portrait du pater familias à travers les âges apporte des réponses aussi instructives que nuancées.

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La scène de sexe est-elle en voie d’extinction, ou de réinvention ? En compagnie de professionnels du cinéma et de chercheurs, décryptage d’une tendance qui en dit long sur l’évolution du secteur et de nos sociétés.

Après trois décennies régies par le code de censure Hays (1934-1966) – que certains réalisateurs contournèrent avec beaucoup d’inventivité –, le cinéma américain renoue avec la nudité et la sexualité à la fin des années 1960, qui voit la mise en place d’un système de classification des films par âge. Tandis qu’à l’étranger des créateurs vont explorer nos tabous dans des œuvres radicales (Salo ou les 120 journées de Sodome de Pier Paolo Pasolini, L’empire des sens de Nagisa Oshima, Romance de Catherine Breillat…), Hollywood réduit le plus souvent les femmes à des objets de désir, cédant aux assauts des hommes. Dans les années 1990, les scènes de sexe deviennent l’élément central d’un nouveau genre : le thriller érotique, imprégné du sentiment d’angoisse provoqué par l’épidémie de sida, qui alimente le jeune marché des VHS tout en cartonnant dans les salles, à l’instar de Basic Instinct. Mais le tournage des séquences charnelles s’accompagne fréquemment de comportements déplacés. Après l’émergence de #MeToo, certains pays imposent une coordination d’intimité quand le scénario comporte une dimension érotique. Alors que certains cinéastes dénoncent une entrave à leur liberté, les productions hollywoodiennes, de leur côté, se détournent de la sensualité... Comment expliquer ce vent de pudeur ?

Double mouvement
En quête de rentabilité, les studios cherchent à toucher un public familial mais aussi international, en façonnant des œuvres adaptables à tous les marchés. Mais si l’érotisme se fait plus rare, il n’a pas disparu pour autant des écrans. Répondant aux aspirations de la jeune génération, des séries produites pour les plates-formes de streaming et des films indépendants s’écartent des normes dominantes et du lissage numérique pour montrer des corps et des sexualités dans toute leur diversité. Remontant aux origines du septième art, ce documentaire retrace l’évolution de son rapport à la volupté et éclaire le double mouvement à l’œuvre aujourd’hui en donnant la parole à des chercheurs et des professionnels : les cinéastes Ben Lewin et Catherine Breillat, la productrice Judi Levine ou encore la coordinatrice d’intimité Ita O’Brien et le réalisateur Dominic Leclerc, qui ont travaillé ensemble sur la série plébiscitée Sex Education.

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Alors que l'extrême droite progresse et que la question migratoire divise la population, il doit remilitariser le pays et gérer une économie défaillante. Comment maintenir la stabilité de l'Allemagne et affronter les défis qui redéfinissent le rôle du pays dans une Europe en pleine évolution ?

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Dirigé en 1978 par Philip Kaufman ("L’étoffe des héros"), Donald Sutherland mène l’enquête dans un remake sous haute tension du film de Don Siegel (1956).

Elizabeth ne reconnaît plus Geoffrey, son compagnon : physiquement, il est le même, mais lui, si prévenant et amoureux, ne manifeste plus depuis le réveil aucune sorte d’affect ou d’émotion. Persuadée qu’il se passe quelque chose d’inhabituel, elle convainc Matthew, son collègue du service de l’hygiène de San Francisco, de mener l’enquête avec elle…

Envahisseurs
En ville, de mystérieuses graines arrivées de l’espace prospèrent. D’abord fleurs odorantes, elles mutent bientôt en cosses génitrices qui produisent une réplique de chaque habitant, remplacé un à un par un double placide après avoir succombé au sommeil. Se distinguant davantage par ses créations sonores que par ses effets spéciaux, L’invasion des profanateurs trouve sa haute tension dans la course contre la montre du groupe d’amis qui tente de comprendre l’inexplicable phénomène et surtout d’empêcher le grand remplacement de notre espèce par des envahisseurs venus d’ailleurs. Deuxième des quatre adaptations – après celle en noir et blanc de Don Siegel (1956) et avant celles d’Abel Ferrara (1993) et d’Oliver Hirschbiegel (2007) – du roman de SF L’invasion des profanateurs (1955) de Jack Finney, le film de Philip Kaufman (L’étoffe des héros) offre un rôle en or à Donald Sutherland et à ses personnages féminins, campés par Brooke Adams (Dead Zone) et Veronica Cartwright (Alien, le huitième passager). Les extraterrestres sont là. Pourront-ils les arrêter ?

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En juillet 2000, le président américain Bill Clinton réunit autour de la table des négociations le Premier ministre israélien Ehud Barak et le premier président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat, en affichant un objectif ambitieux : mettre fin au conflit israélo-palestinien. Pourtant, malgré des propositions de part et d’autre, ce sommet de Camp David II ne débouche sur aucun accord, attisant même les tensions entre les deux parties, jusqu’à contribuer à déclencher la deuxième Intifada. Qu’a-t-il manqué à cette rencontre, alors que la précédente, vingt-deux ans plus tôt, avait abouti aux accords de Camp David et instauré une paix durable entre Israël et l'Égypte ? Quels ingrédients faut-il réunir pour parvenir à la réconciliation ? 
 
Succès et impasses 
Nourri de nombreuses images d’archives et de témoignages, ce documentaire s’intéresse aux dessous de négociations qui ont marqué l’histoire de la diplomatie de la fin du XXe et du début du XXIe siècle, avec des réussites variables : l’obtention d’une paix réelle mais fragile en Colombie et en Afrique du Sud, l’échec d’un processus de paix inclusif en Afghanistan et l’impasse du conflit israélo-palestinien. Comment mettre fin à la guerre et construire la paix ? De l’actuel président sud-africain Cyril Ramaphosa à la négociatrice afghane et militante des droits des femmes Fatima Gailani en passant par le prix Nobel de la paix et ancien président colombien Juan Manuel Santos, celles et ceux qui ont participé de près à une médiation politique partagent leur expérience de ces délicates négociations. 

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