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Chacha et Marc, qui bouclent leur Tour de France des mini-golfs, tentent de répondre aux questions naïves et maladroites d’Hadrien tandis que Gautier, venu ici pour trouver l’amour, regrette d’avoir laissé son calepin pour noter les scores au petit Alain, 11 ans.
À chaque histoire sa “difficulté”, son “obstacle” au sens propre comme au sens figuré : Au fond du trou raconte les tranches de vie d’une douzaine de personnes qui se croisent cet après-midi-là et dont le point commun est d’avoir voulu se détendre un club de golf à la main. Leur autre point commun : avoir des difficultés avec le concept de détente.
Dans ce théâtre dérisoire, cette micro-société bariolée où l’on on vient avec l’obligation de s’amuser, il paraît impensable qu’un adulte puisse perdre son sang froid. En théorie. Mais qu’arrive-t-il pour celles et ceux qui n’arrivent pas à voir en “jeu” et “enjeu” des mots réellement différents ?

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Cruella d'Enfer est le seul de ses personnages avec lequel Glenn Close n'a pas sympathisé en secret. Mais elle s'est follement amusée dans le rôle, malgré les fourrures écrasantes et les escarpins impossibles de la spectaculaire méchante des 101, puis 102 dalmatiens. Comme le reste des centaines de costumes qu'elle a portés dans 43 autres films, l'actrice a obtenu par contrat le droit de les conserver. Peut-être parce que de ses premières années, passées en liberté dans la ferme de ses grands-parents, dans le Connecticut, elle garde le souvenir d'une fête annuelle : la représentation de Casse-Noisette, mis en scène à New York par l'un de ses oncles. En coulisses, elle découvre un soir l'habit du rôle-titre accroché sur un mur. "À partir de là, j’ai toujours eu le sentiment qu’on crée d’abord le costume et que l'acteur vient lui donner vie, mouvement et sens." Au travers de cette collection unique en son genre, ce portrait revisite son éclatante carrière au fil de ses incarnations les plus marquantes : la blouse d'infirmière de l'indestructible Jenny (dans Le monde selon Garp, son premier grand rôle au cinéma, en 1982), le manteau de cuir de la "bouilleuse de lapin" psychotique de Liaison fatale, les robes-armures et les corsets de la marquise de Merteuil (Les liaisons dangereuses, diffusé à l'antenne d'ARTE avant ce portrait), la livrée de la majordome irlandaise travestie par nécessité d’Albert Nobbs, dont elle a coécrit le rôle…

La rescapée 
C'est avec l'hommage débordant d'émotion à ses grands-mères et à sa mère, prononcé en 2019, lorsque The Wife lui vaut son troisième Golden Globe, que Catherine Ulmer Lopez ouvre ce documentaire. Croisant les extraits de ses films avec des entretiens d'archives – et une rencontre exclusive en forme de clin d'œil –, la réalisatrice met en regard la jubilation de l'actrice à se fondre dans ses rôles et sa franchise sans détours dans la vraie vie. Confiée à 7 ans avec ses frère et sœurs par leurs parents au mouvement évangélique du Réarmement moral, qu'elle dénonce comme une secte répressive, elle n'a cessé de lutter pour surmonter les inhibitions engendrées par cette longue réclusion. "Sauvée" par le théâtre, qu'elle découvre à 22 ans à l'université, elle a fait de ses traumatismes de jeunesse la source de son féminisme instinctif et de sa compassion pour ses personnages – de l'Alex de Liaison fatale, en qui elle voit une victime d'inceste, à la grand-mère white trash d'Une ode américaine (2020), adapté du livre autobiographique du désormais vice-président J. D. Vance, adversaire politique qu'elle combat aujourd’hui dans les manifs proavortement.

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Un documentaire à la fois instructif et décalé. 

"Le modèle patriarcal traditionnel est aujourd’hui dépassé", proclame le podcaster allemand Bernhard Vosicky au micro de son émission Papa Mia!?. Pour cet animateur et papa des temps modernes, les nouvelles générations masculines souhaitent s’impliquer dans la vie de leurs enfants et participer activement aux tâches parentales, à l’égal des mères. Mais en est-il vraiment ainsi ? Afin de mieux comprendre le changement sociétal qui se joue, de nombreux experts – psychologues, historiens, philosophes et psychanalystes – se plongent dans l’histoire de la figure paternelle. Comment ce modèle s’est-il façonné ? A-t-il vraiment changé en profondeur au XXIe siècle ? 

On ne naît pas père... 
Après Le mythe de la mère parfaite (2022), la réalisatrice autrichienne Marion Priglinger s’attaque à la figure du père avec une cohorte de spécialistes, dont l’historien André Rauch. Dans son ouvrage Pères d’hier, pères d’aujourd’hui (2007), celui-ci se demande, puisqu’on ne naît pas père, comment on le devient. De l’Antiquité à nos jours, en passant par quelques révolutions et deux guerres mondiales, l’autorité patriarcale n’aurait cessé de décliner, jusqu’à la contre-culture des années 1960 et aux mouvements féministes, puis au mouvement #MeToo, qui rebattent les cartes de la masculinité. A-t-on pour autant rompu pour de bon avec le modèle familial traditionnel ? Interrogeant en parallèle l’histoire de l’art – gravures, tableaux, sculptures et photos –, ce portrait du pater familias à travers les âges apporte des réponses aussi instructives que nuancées.

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La scène de sexe est-elle en voie d’extinction, ou de réinvention ? En compagnie de professionnels du cinéma et de chercheurs, décryptage d’une tendance qui en dit long sur l’évolution du secteur et de nos sociétés.

Après trois décennies régies par le code de censure Hays (1934-1966) – que certains réalisateurs contournèrent avec beaucoup d’inventivité –, le cinéma américain renoue avec la nudité et la sexualité à la fin des années 1960, qui voit la mise en place d’un système de classification des films par âge. Tandis qu’à l’étranger des créateurs vont explorer nos tabous dans des œuvres radicales (Salo ou les 120 journées de Sodome de Pier Paolo Pasolini, L’empire des sens de Nagisa Oshima, Romance de Catherine Breillat…), Hollywood réduit le plus souvent les femmes à des objets de désir, cédant aux assauts des hommes. Dans les années 1990, les scènes de sexe deviennent l’élément central d’un nouveau genre : le thriller érotique, imprégné du sentiment d’angoisse provoqué par l’épidémie de sida, qui alimente le jeune marché des VHS tout en cartonnant dans les salles, à l’instar de Basic Instinct. Mais le tournage des séquences charnelles s’accompagne fréquemment de comportements déplacés. Après l’émergence de #MeToo, certains pays imposent une coordination d’intimité quand le scénario comporte une dimension érotique. Alors que certains cinéastes dénoncent une entrave à leur liberté, les productions hollywoodiennes, de leur côté, se détournent de la sensualité... Comment expliquer ce vent de pudeur ?

Double mouvement
En quête de rentabilité, les studios cherchent à toucher un public familial mais aussi international, en façonnant des œuvres adaptables à tous les marchés. Mais si l’érotisme se fait plus rare, il n’a pas disparu pour autant des écrans. Répondant aux aspirations de la jeune génération, des séries produites pour les plates-formes de streaming et des films indépendants s’écartent des normes dominantes et du lissage numérique pour montrer des corps et des sexualités dans toute leur diversité. Remontant aux origines du septième art, ce documentaire retrace l’évolution de son rapport à la volupté et éclaire le double mouvement à l’œuvre aujourd’hui en donnant la parole à des chercheurs et des professionnels : les cinéastes Ben Lewin et Catherine Breillat, la productrice Judi Levine ou encore la coordinatrice d’intimité Ita O’Brien et le réalisateur Dominic Leclerc, qui ont travaillé ensemble sur la série plébiscitée Sex Education.

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Mais des fragilités économiques, sociales et démographiques accentuent les tensions locales et les inégalités avec l'Hexagone. Retour sur des territoires divers et complexes aux défis multiples.

Rassemblant plus de 2,8 millions d’habitants, ces territoires sont riches en ressources naturelles et constituent un atout de taille pour l’influence française dans le monde. Les départements et collectivités d’Outre-mer sont confrontés à des défis multiples : chômage élevé, dépendance économique à l'Hexagone, inflation. Si la Guyane est marquée par une explosion démographique liée à l’immigration, la Martinique et la Guadeloupe subissent quant à elles un vieillissement accéléré de leur population. Des territoires divers et complexes, à explorer avec nos cartes.

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Réalisé par Wolfgang Staudte en 1946, un grand classique du cinéma allemand d’après-guerre et l'une des premières productions de la Defa.

Berlin, 1945. Susanne Wallner, une jeune photographe rescapée des camps de concentration, rentre chez elle. Son appartement est occupé par Hans Mertens, un ancien soldat qui noie ses souvenirs dans l’alcool. Susanne s’installe avec lui et l’aide à se reconstruire. Un jour, l’ancien commandant de Mertens, qui, en 1942, a fait assassiner des civils sur le front russe, réapparaît. Il dirige désormais une entreprise prospère qui recycle les vieux casques. Mertens décide que Brückner doit expier ses péchés…

Réalisme froid
Premier film allemand de l’après-guerre, Les assassins sont parmi nous est projeté le 15 octobre 1946 à Berlin. Il répond parfaitement aux visées didactiques et critiques de la Deutsche Film AG (Defa), le studio de la RDA créé la même année, pour lequel il représente une production majeure. La Defa lance à cette occasion sa première star, Hildegard Knef. Le cinéaste Wolfgang Staudte y affirme son style, cultivant un réalisme sobre et froid, ponctué de séquences brèves et de contrastes qui font apparaître le monde comme totalement désorienté. Traitant en profondeur la question des crimes de guerre, de la culpabilité et de la conscience, Staudte a obtenu un succès extraordinaire avec ce film.

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Elle devient accro à son téléphone et addict à un homme toxique. Va-t-elle finir comme un produit en promotion au rayon frais d'un petit supermarché ?

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Le 15 janvier 2004, le chalutier Bugaled Breizh sombrait dans la Manche en trente-sept secondes. Comment a-t-il pu couler si rapidement ? La belle-sœur d’un pêcheur disparu n’accepte pas les explications des autorités. Série inspirée d’une histoire vraie, "37 secondes" raconte le combat pour la vérité mené par les familles des victimes. Avec Nina Meurisse et Mathieu Demy. - Sacrée meilleure série française au festival "Séries Mania" 2025. 

Épisode 1

Le 15 janvier 2004, le chalutier breton Bugaled Breizh chavire brutalement au large des côtes anglaises. Des secours sont aussitôt dépêchés sur place, en vain : deux marins sont retrouvés noyés, trois autres sont portés disparus. Familles et proches endurent la tragédie sans comprendre. En l’absence d’incident notable, comment le bateau a-t-il pu couler si rapidement ? Le procureur chargé du dossier conclut à une collision avec un cargo, mais Marie Madec, la belle-sœur d’un pêcheur disparu, n’accepte pas ces explications. D’autant que les autorités persistent à ignorer qu’un sous-marin a été vu dans la zone du naufrage… Au nom des victimes et de leurs familles, elle demande à un avocat, maître Costil, de leur venir en aide.

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Signée Philippe de Broca, une comédie douce-amère sur l'égoïsme masculin (incarné par Jean Rochefort), sublimée par ses actrices (Nicole Garcia, Annie Girardot, Danielle Darrieux) et le talent du dialoguiste Michel Audiard.

Édouard Choiseul est partout chez lui. Charmeur aussi égocentrique qu'extravagant, ce pianiste renommé musarde de concerts en soirées parisiennes et collectionne les femmes, promettant monts et merveilles à celles qu'il abandonne invariablement. Deux fois marié, trois fois père, il entretient de bons rapports avec son ex-femme qui a eu l'intelligence de l'oublier, et néglige celle qui vit à ses côtés, lui laissant les enfants à charge et affabulant à souhait pour couvrir ses escapades. Mais le charmant numéro d'Édouard a vieilli, comme lui, et il ne trompe plus grand monde...

Épaisseur lucide
Sous la douceur fantasque des comédies des années 1970, Philippe de Broca jette une lumière cruelle sur les conséquences de l'égoïsme masculin. Lorsque la farce devient amère, abandonné par toutes les femmes qu'il a dupées, Édouard Choiseul (Jean Rochefort), après avoir joyeusement cabotiné, sombre dans un pathétisme glaçant. Quant aux dialogues de Michel Audiard, ils donnent au film toute son épaisseur lucide, comme lorsque Annie Girardot déclare à son ancien mari : "Tu es comme un coup de vent qui passe sur l'eau : tu laisses des rides."

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