Jean-Paul Rondin, libraire dans le Quartier latin, est par ailleurs l'auteur d'ouvrages érudits sur le vieux Paris. Il s'inquiète de la disparition de sa fille, Marie-Hélène. Pressé de partir en vacances, le commissaire Lalatte lui assure qu'il s'agit d'une fugue. Deux agents se volatilisent sans qu'il s'en préoccupe davantage. Bientôt, vingt touristes disparaissent à leur tour en visitant les catacombes. Lalatte entrevoit avec crainte la perspective d'un incident diplomatique. Une inscription menaçante apparaît alors sur le car des touristes, sommant le ministre des Travaux publics d'arrêter de creuser des trous dans Paris. Dans une carrière désaffectée, Rondin constate l'existence d'une communauté souterraine...

A 13 ans, François découvre que son père n'est pas à l'hôpital comme le prétend sa mère, digne et cultivée, mais en prison. Il est en effet devenu un as du perçage de coffres-forts. A son retour, c'est la fête à la maison, égayée encore par la présence de Faucon, le fidèle complice qui vient s'installer dans la famille. La vie reprend son cours. Faucon et le père se remettent aux cambriolages, les "affaires" sont florissantes. François, qui a tout compris, voudrait suivre les deux hommes dans leurs sorties nocturnes, mais ses parents s'y opposent. Papa et maman tiennent à ce que leurs enfants soient bien élevés...

Suite à un enlèvement qui tourne mal, deux clans yakuza se lancent une guerre sans merci. Egawa, yakuza respecté à la retraite, se retrouve malgré lui entraîné dans un déchaînement de violence.

Takashi et Mitsuo sont braqueurs de banque. Ils préparent un dernier coup avant de s'enfuir au Brésil. Mais la police les guette, Takashi croise la belle Miki, et les choses ne tourneront pas comme prévu. Tourné dans la foulée du Cimetière de la morale, Kinji Fukasaku signe un grand film de braquage où les intrigues se rejoignent dans un final totalement déchainé. Le grand compositeur Toshiaki Tsushima signe ici certains de ses meilleurs thèmes. Un film totalement inédit en France