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Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.
Amours, corruption et politique dans un quartier cosmopolite du Caire. Le célèbre auteur de "Gare centrale" et "Alexandrie pourquoi ?" signe un mélo à l'ancienne pour dénoncer les éternels abimes de l'âme humaine et les aberrations d'un pays flamboyant qu'il aime plus que tout, l'Egypte.
L'arrivée d'internet dans une famille bien perturbée fait exploser un peu plus les limites. Tourné en DV, le premier film d'une photographe et plasticienne renommée, n'ayant peur ni de la laideur, ni de la beauté, ni de la provocation.
Grâce à son dynamisme et aux grandes réformes de 1991, l’Inde est devenue l’une des locomotives de l’économie mondiale, surfant avec succès sur la cyber-révolution.
Dans des centres d’appels où il est interdit de parler une autre langue que l’anglais, les coolies hightech travaillent à distance et à moindre coût pour des entreprises britanniques ou américaines. Maintenance informatique, gestion des ressources humaines… ils gèrent de plus en plus de tâches. Attirés par ce renouveau, les “cerveaux” commencent à revenir d’exil. Mais ce boom économique demeure fragile et ne profite pour l’instant qu’à une minorité d’Indiens. La classe moyenne supérieure ne représente que 40 millions de foyers dans un environnement majoritairement rural où un tiers des habitants vit avec un dollar par jour… Ce pays qui sera le plus peuplé du monde en 2025, avec environ 1,4 milliard d’habitants, arrivera-t-il à répartir également les fruits de la croissance ?
C'est le moteur de recherche le plus utilisé et la réussite économique la plus fulgurante au monde. En compilant les données diffusées par le biais d'Internet, auxquelles il donne accès gratuitement,
Google a conquis le Web en moins de huit ans. Son histoire est déjà entrée dans la légende : en 1998, Sergey Brin et Larry Page, 24 ans à peine, abandonnent leurs études à l'université de Stanford et créent leur entreprise dans un hangar. Rien d'extraordinaire à une époque où la bulle Internet gonfle de jour en jour. Mais, alors que les autres start-up misent sur les portails et les services, les deux complices inventent un puissant moteur de recherche basé sur les algorithmes et des liens sponsorisés pour ne pas polluer leur page d'accueil, d'un blanc immaculé. Leur démarche se veut éthique et anticonformiste, leur management basé sur la créativité et le refus des lois de Wall Street. Il n'empêche : leur modèle de société n'est-il pas, finalement, fortement capitaliste ?
Par ailleurs, la culture du secret cultivée par l'entreprise inquiète. Nombreux sont ceux qui craignent les dérives dans le domaine de la propriété intellectuelle et des libertés individuelles, notamment depuis l'arrivée de Google en Chine. Peut-on croire, comme le clame son slogan, que Google "ne fait pas le mal" ?