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Profitez de 2 films pour 1 crédit seulement et découvrez « Ponyo sur la falaise » et « Les souvenirs de Marnie », deux grands films des Studios Ghibli pour tous les âges, dont les aventures se passent près de la mer.
Ponyo sur la falaise
Le petit Sosuke, cinq ans, habite un village construit au sommet d'une falaise qui surplombe la Mer Intérieure. Un beau matin, alors qu'il joue sur la plage en contrebas, il découvre une petite fille poisson rouge nommée Ponyo, piégée dans un pot de confiture. Sosuke la sauve, et décide de la garder avec lui dans un seau. Ponyo est aussi fascinée par Sosuke que ce dernier l'est par elle.
À partir de 4 ans
Les souvenirs de Manie
Adolescente solitaire, Anna a perdu ses parents très jeune, et vit en ville avec ses parents adoptifs. Lorsque son asthme s’aggrave, sa mère adoptive l’envoie chez des parents, les Oiwa, qui vivent près de la mer dans un petit village au nord d’Hokkaïdo. Pour Anna, c’est le début d’un été d’aventures qui commence par sa découverte d’une grande demeure construite au coeur des marais, non loin du village. Même si elle semble avoir quelque chose de familier pour elle, La Maison des Marais, comme l’appellent les villageois, est inhabitée depuis bien longtemps. Et c’est là-bas qu’elle va faire la rencontre d’une étrange et mystérieuse fille : Marnie…
À partir de 11 ans
Ron Howard met en scène le duel sans merci qui opposa deux pilotes de Formule 1 de génie, James Hunt et Niki Lauda.
1970. James Hunt, pilote impulsif, play-boy allergique à la discipline mais diablement rapide, concourt en Formule 3 et rêve d'accéder au graal de la course automobile, la F1. Lorsqu'il ne se met pas en danger mortel sur les circuits, comme le font alors tous ses pairs, il mène une vie d'excès. Un jour, un nouveau concurrent se présente sur la grille de départ. Concentré, d'une sobriété et d’une rigueur extrêmes dans son approche de la course, l'Autrichien Niki Lauda ne laisse rien au hasard. Les deux as du bitume, animaux l'un à sang chaud, l'autre à sang froid, entretiennent un lien ambigu, entre respect, incompréhension et rivalité acharnée, qui culmine le 1er août 1976, sur le circuit allemand du Nürburgring, surnommé "le cimetière", où ils s'affrontent pour le titre de champion du monde en Formule 1. Là, captif dans l'épave de sa voiture en feu après une sortie de route, Niki Lauda passe plus d'une minute à une température de 425 degrés, avant d'être finalement secouru et hospitalisé. L'accident le laisse grand brûlé, défiguré à vie, mais ne l'empêche pas, déjouant tous les pronostics et les conseils de ses médecins, de reprendre le volant en Formule 1, quarante-deux jours seulement après l’accident. Pas question de laisser Hunt lui voler la coupe.
Hunt ou Lauda ? Dans les années 1970, la rivalité qui oppose ces deux champions de la Formule 1, véritables gladiateurs modernes aux tempéraments opposés, déchaîne les passions dans un contexte où, chaque année, des pilotes se tuent au volant. Le réalisateur Ron Howard (Apollo 13, Un homme d'exception) fait de ce monde qui tutoie le danger une parabole de l’enivrement nihiliste des seventies, perpétuellement relancé par la proximité de la mort. À l'image d'une course automobile, il mène son film à tombeau ouvert, avec une intensité dramatique qui scotche le spectateur à son siège, sublimée par l'interprétation brillante de Daniel Brühl et Chris Hemsworth.