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Le dessous des cartes s'aventure en forêt et consacre deux émissions à son observation. Dans ce premier numéro, Jean-Christophe Victor évoque l’histoire de la forêt française et nous fait découvrir le patient travail d’inventaire. Suite au succès de l'Atlas junior du Dessous des cartes et du livre de Jean-Christophe Victor Itinéraires géopolitiques en grand format, ces deux ouvrages, coédités par ARTE Éditions et Tallandier, viennent de paraître dans une version compacte et actualisée, à prix réduit. La maquette de l'Atlas junior a été revisitée afin d'être plus accessible au public "jeune ado" auquel le livre est destiné.

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Au cœur de l'Amazonie, le géographe François-Michel Le Tourneau, membre du CNRS, part explorer une région hostile, aux confins du Brésil, du Surinam et de la Guyane française, tombée dans l’oubli depuis plus de quarante ans. Ici, près des sources du fleuve Jari, les moyens modernes destinés à recueillir des informations géographiques peinent à percer la couverture nuageuse permanente des monts Tumucumaque. Même les optiques haute définition des satellites ne fournissent que des images déformées par le relief tourmenté.

 

Mythique Eldorado

Située à la croisée d'anciennes routes de commerce des ethnies amérindiennes, cette région a pourtant fait l’objet de nombre de convoitises pendant trois cents ans. Aux XVIIIe et XIXe siècles, certains y ont cherché le mythique Eldorado décrit par les conquistadors. C'est sur les traces de ces grands explorateurs du passé qu'en août 2011, l’expédition Mapaoni entreprend de marcher, en suivant également le chemin emprunté en 1937, sous le régime nazi, par une expédition naturaliste allemande. Une remontée sur plus de 750 kilomètres du fleuve Jari, affluent méconnu de l'Amazone, jusqu'à la borne marquant la frontière entre les trois pays. L'objectif ? Cartographier la région. Avec vingt hommes et trois pirogues, la mission va tenir un mois en autonomie complète dans cette forêt tropicale réputée inaccessible.

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Près de la moitié des 80 millions d’Éthiopiens sont chrétiens. Ils considèrent que l’Église orthodoxe éthiopienne est la plus proche du christianisme des origines.

 

Dans la province du Tigré, dans le nord du pays, il existe un territoire reculé et dédié à la vie monastique, le Woldeba. Là-bas vivent environ un millier de moines et d’ermites qui mènent, à l’abri des regards et loin du monde profane, une vie d’abstinence, de jeûne et de prière. Pour ces religieux, mourir au Woldeba, c’est accéder directement au paradis.Alors qu'il n’existait aucun document filmé de cette région, François Le Cadre, chercheur au Centre des mondes africains, a pu s'y rendre pour observer les pratiques religieuses des moines et glaner des informations sur un homme très connu en Éthiopie, saint Samuel. Il a fondé au XIVe siècle le plus important monastère de cette "terre des moines". Son enseignement s’est inspiré de celui de saint Antoine, un des pères du désert.

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Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.

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