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Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (... 12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Le programme proposé ici, d'une durée totale de 1h58, comprend les épisodes intitulés "On disait que c'était notre terre" (en deux parties). Dans la première (63 min), auprès de son camp de chasse, Marcel Jourdain et son beau-frère, Jean-Marie McKenzie, discutent du sens de la vie et de la mort dans la cosmologie algonquienne. Auparavant, sur la route menant à son camp, Marcel Jourdain, accompagné de ses filles, de sa femme et de sa parenté, se voit interdire l'accès par une barrière. Sa femme et ses fille créent un incident quand, par rétorsion, elles organisent un Sit In, bloquant ainsi la route aux camions. Dans la deuxième partie (55 min) : Au mois de janvier, Mathieu André, accompagné de deux de ses gendres, dans la taïga aux environs de Schefferville, est allé tuer un ours. Mathieu nous montre les traces qu'à laissées l'ours sur l'épinette située à proximité. On déblaie la neige et Mathieu se glisse dans la tanière. Mais l'ours ou l'ourse n'est pas là. Dans sa tente, près de chez lui, accompagné d'une de ses filles, à l'aide d'une peau dont il se couvre en mimant la bête, et avec des branches d'épinettes, d'un tambour, d'anciennes photos, il tient un grand discours fort imagé qui reflète la structure fondamentale de la pensée amérindienne.
Sous le titre "Carcajou et le péril blanc", Arthur Lamothe a signé une série de films documentaires (...12h à voir) sur les Amérindiens qui furent diffusés en France sous le titre global "Images d'un doux ethnocide". Dans le programme proposé ici, d'une durée totale de 2h16), deux épisodes ont été regroupés : "La Grande Rivière" (79 min) et "La "Rivière sèche (57 min.). Dans le premier, à l'embouchure de la Moisie, Mistapichu, les trois soeurs de Michel évoquent leur jeunesse, quand, avec leurs parents, elles partaient, à pied et en canot, pour leur territoire de chasse situé à 500 km au nord. Et les hivers où elles manquaient de nourriture. Et où leur père mourait. Le sage Innu, Mathieu André, à côté de Shefferville, indique les pistes indiennes qui se croisaient dans ces lieux. Puis dans le campement indien, installé l'été sur la rive de la Mistashipu, nous participons à la pêche au saumon, surveillés par les gardes-pêche et leurs acolytes. Cérémonies traditionnelles., religieuses, baptême, rêves chantés avec le teiukan, etc. Dans la deuxième partie, "La Rivière sèche" (57 min), dans une vieille chaloupe à moteur un couple d'Innus remontent la rivière asséchée. Avec quelques autres familles, ils ont quitté la réserve et vont s'installer en amont avec leurs enfants. Nous jouerons avec les enfants et nous ferons des pirouettes avec eux. Nous édifierons les tentes et nous installerons à l'intérieur un tapis fait de branches de sapin que nous sommes allés couper. Nous pêcherons la truite. Nous tuerons le porc-épic. Nous le ferons cuire et nous le mangerons. Nous invoquerons l'Esprit du froid à l'aide d'une poignée de branchages vers le ciel pour le conjurer... >> Durée totale du programme 2h16.
Fils d’Iraniens exilés en Allemagne, Parvis profite pleinement de la vie dans sa petite ville de Basse-Saxe. Cependant, il continue d’y être considéré comme un étranger, notamment par les hommes qu’il rencontre sur grindr. Après avoir été surpris en train de voler à l’étalage, il est condamné à des travaux d’intérêt général dans un centre pour réfugiés. Il y rencontre Amon et sa sœur Banafshe, qui ont fui l’Iran. Sans papiers et sans visa, ils risquent à tout moment l’expulsion…
Une plongée intime dans la vie et l’œuvre d’un compositeur qui a bravé le destin pour révolutionner la musique.
Né en 1770 à Bonn, Ludwig van Beethoven est initié à la musique dès ses 5 ans par son père chanteur. "Le nouveau Mozart", comme le présente son maître Christian Gottlob Neefe, est repéré par Haydn en 1790 grâce à sa cantate funèbre en l’honneur de l’empereur Joseph II. Deux ans plus tard, le jeune humaniste quitte la cour éclairée de Bonn, proche des idées révolutionnaires, pour se former à Vienne auprès de celui qu’il surnommera "Papa Haydn". Pianiste virtuose, Beethoven est contraint de se concentrer sur sa carrière de compositeur : en 1801, alors qu’il vient d’achever sa première symphonie et ses six premiers quatuors à cordes, le génie allemand est rattrapé par le "démon envieux" de la surdité. L’art et l’amour – pour Giulietta Guicciardi, à laquelle il dédie sa fameuse Sonate pour piano n° 14 "Clair de lune" – le sauvent du désespoir. Déterminé à "prendre le destin à la gorge", Beethoven, jusqu’à sa mort en 1827, n’aura de cesse d’innover : de la Neuvième symphonie à ses derniers quatuors à cordes en passant par sa Sonate "Hammerklavier", ses œuvres, habitées de sentiments extrêmes, révolutionnent à jamais la musique.
Force créatrice
Fondé sur la correspondance de Beethoven, ses carnets intimes et ses "cahiers de conversation" (qui lui permettaient de communiquer malgré son handicap), ce passionnant portrait, parsemé de poétiques illustrations et éclairé par des spécialistes tels que Daniel Barenboim, le quatuor Ébène ou l’historienne Élisabeth Brisson, livre un éclairage émouvant sur la trajectoire de ce génie tragique.