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L'occupation et la libération de la France, de 1940 à 1944, vues à travers les films et les clichés amateurs de Français et d'Allemands, témoins de ces années de guerre.Racontée à hauteur d'homme par ceux qui l'on vécue - en dépassant les regards stéréotypés que chaque camp a longtemps porté sur l'autre -, cette histoire sera racontée par les films et photos de famille retrouvés de part et d'autre de la frontière et commentés par les protagonistes eux-mêmes.
Comment les français, la population française (et non l'Etat français) se sont-ils comportés avec l'occupant ? Comment les soldats allemands ont-ils vécu ces 4 années au contact des français ?
Un travail inédit mené sous le double regard des conseillers historiques Pierre Laborie et Stefan Martens.
Personnalité excentrique et brutale, petit-fils de samouraï, théoricien de la "guerre finale", germaniste, bouddhiste, fasciste mais aussi photographe, dessinateur, caméraman, le général Kanji Ishiwara avait un talent certain pour théâtraliser sa propre vie. Il a ainsi lui-même photographié et filmé son quotidien, dans l'armée et dans sa famille, nous permettant de voir le monde de cette époque à travers ses yeux – le regard d'un homme qui, à partir des années 1920, a tout fait pour mener son pays sur le chemin de la confrontation avec l'Amérique et ses alliés… C'est lui qui, au début des années 1930, prit la tête de l'armée japonaise lors de l'invasion de la Mandchourie. Un nouvel éclairage sur la guerre du Pacifique.
D'ici à 2050, la consommation mondiale de viande devrait doubler. Or, jusqu'à quel point peut-on développer un élevage intensif, gourmand en eau et en énergie, producteur de gaz à effet de serre et sans égard pour la souffrance des animaux ? Dès 1932, Winston Churchill, pourtant fin gourmet, dénonçait ce gaspillage et rêvait d'un moyen de "fabriquer des ailes et des cuisses sans élever tout un poulet". Le 17 avril 2013, une équipe du chercheur hollandais Mark Post exauçait ce vœu à sa façon en créant le premier hamburger à base de viande in vitro. Prix de ce premier petit morceau de viande au goût plutôt satisfaisant : 300 000 euros. Ce coût pourrait évidemment baisser si l'on développait cette fabrication à l'échelle industrielle.
STEAKS-ÉPROUVETTE
Aux États-Unis, la start-up de Gabor Forgacs fabrique elle aussi un morceau de viande de synthèse en utilisant une imprimante 3D fonctionnant avec de l'encre biologique. Les deux équipes mènent leurs travaux grâce aux subsides de riches mécènes, mais la recherche publique s’y intéresse, car elle espère ainsi trouver une solution pour nourrir l'ensemble de la planète. Mais le consommateur acceptera-t-il de troquer son filet mignon contre un équivalent artificiel ? Et quel serait l'impact sur l'environnement d'une viande de synthèse produite en masse ? Menée aux quatre coins du globe auprès de scientifiques, d'ingénieurs, d'éleveurs, d'un responsable d'association de défense des animaux et de consommateurs, cette remarquable enquête offre un copieux tour d'horizon des recherches autour de la viande et de ses alternatives. Le film aborde avec limpidité des notions complexes : par exemple, la fabrication du steak in vitro expliquée à l'aide d'interviews, d'infographies, de gros plans et d'images prises au microscope. Le film pointe aussi les risques d'une trop grande consommation de viande et examine d'autres pistes que celle de du steak de synthèse comme celle des insectes, riches en protéines et déjà appréciés dans certaines parties du monde.
Rose a donné 20 euros de pourboire à la serveuse. Rose a oublié de se laver les cheveux. Rose ne trouve plus de partenaire de bridge. Rose a marqué son code de carte bleue sur son porte-carte. Rose trouve que ses filles s’inquiètent trop à son sujet. Rose n’est plus invitée nulle part. Rose mange des aliments de luxe périmés. Rose n’a pas du tout envie de finir folle. Rose a oublié le nom de sa maladie. Rose veut qu’on lui foute la paix : elle est autonome. Elle a plutôt la pêche, Rose. Mais qu’est-ce qui lui reste de la vie ?
Chassés de leur habitat naturel, des millions d'oppossums insolents se sont déplacés au coeur des villes australiennes. Et cette espèce invasive est prête à tout pour y rester.
Le film se concentre sur la vie de Mumsy, une imposante femelle qui vit avec une soixantaine d'autres opossums dans le minuscule square Curtain, au centre de Melbourne. L'opossum étant une espèce protégée en Australie, les moyens de lutte sont restreints.
L’Australie est une jeune nation, constituée il y a seulement deux cent cinquante ans. Le dessous des cartes explore la mémoire double du pays : celle des immigrants européens et celle des premiers occupants, les Aborigènes
En 2001, pendant la dernière journée du G8 de Gênes, quelques instants avant minuit, plus de 300 officiers prennent d'assaut l'école Diaz, à la recherche des militants du Black Bloc. Dans l'établissement, se trouvent 90 activistes, dont la plupart sont des étudiants européens accompagnés de quelques journalistes étrangers, qui s'apprêtent à passer la nuit à même le sol de l'école. Alors que les forces de l'ordre font irruption, les jeunes manifestants lèvent les mains pour se rendre. Imperturbables et implacables, les policiers se livrent à des exactions préméditées d'une violence inouïe, frappant indifféremment jeunes et vieux, hommes et femmes.