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Petits creuseurs des mines d’or burkinabaises ou des mines de mica indiennes, mendiants touaregs dans les rues de Ouagadougou, gamins des décharges en République dominicaine, petites Mexicaines ouvrières agricoles dans les champs de tabac ou de piment aux États-Unis… : à travers ce documentaire éloquent, Hubert Dubois, déjà auteur de L’enfance enchaînée en 1992, reprend son enquête pour mesurer les progrès réalisés, mais aussi alerter sur leur fragilité, en particulier en temps de crise.
La cause des enfants
L’Indien Kailash Satyarthi, fondateur en 1980 d’une ONG qui libère les enfants réduits en esclavage pour les envoyer à l’école, est le fil conducteur de l’enquête, menée dans quatre pays et trois continents. Cet infatigable activiste parvient à mettre face à leurs responsabilités les grandes industries du tapis, de la chaussure de sport, du tabac, du cacao ou de la confection, les obligeant à faire le ménage dans leurs chaînes d’approvisionnement. Comme lui, à travers le monde, des hommes et des femmes fortement engagés pour la cause des enfants poursuivent le combat, parfois au péril de leur vie. Résultat : depuis une quinzaine d’années, le nombre de petits travailleurs a significativement baissé. 215 millions d’enfants restent néanmoins touchés par ce fléau, preuve que la mobilisation ne doit en aucun cas se relâcher.
Dans ce court - métrage d'animation, une apprentie sorcière donne à un garçon le cerveau d'un mouton et à son père, un berger, celui d'un loup-garou. Celui-ci va-t-il manger son propre fils ?... Primé au Festival de Tempere. Mention Spéciale au Festival d'Animation d'Annecy.
Dès 10 ans
Dans un appartement parisien, Théodore fait la rencontre d'Anna. Ensemble, ils décident d'aller errer la nuit dans les rues de la capitale, et d'entrer par effraction dans le parc des Buttes-Chaumont. Ils y reviendront inlassablement...
En 2005, le Bolchoï n'est plus que le fantôme de sa gloire passée : les façades sont couvertes de taches, les fondations craquent, les murs se lézardent, les ors sont ternis. Pendant six ans, architectes, ingénieurs et ouvriers sont mobilisés pour un gigantesque lifting que les médias russes ont appelé le "chantier du siècle". Ce documentaire exceptionnel fait revivre le Bolchoï de ses origines à nos jours, et montre combien les enjeux de sa restauration sont à la fois architecturaux, artistiques, sentimentaux et patriotiques. Autrefois vitrine de l'Union soviétique et fameux pour son conservatisme, le répertoire du Bolchoï connaît lui aussi un rajeunissement en accueillant des productions contemporaines. Entre mémoire et avenir de la création, le comédien Guillaume Gallienne nous guide dans cette grande histoire qui mêle images en 3D, animation, entretiens et archives.
Le Dessous des Cartes se penche sur les représentations de l’altérité et de la différence à travers l’exposition du Musée du Quai Branly "Exhibitions – L’invention du sauvage". Un voyage dans l’espace et le temps, en compagnie de la commissaire Nanette Jacomijn Snoep.
Vingt ans après la fin de l’URSS, Adieu Camarades ! raconte l'un des évènement majeur du 20e siècle: l'apogée et la chute du communisme.Extraits de films soviétiques, chansons dissidentes ou archives privées ressuscitent un monde perdu et explorent la face cachée du bloc de l’Est.
Le 28 novembre 1989, à Prague, alors que des milliers de manifestants occupent les rues, une banderole est hissée sur l'immeuble de l'ancienne télévision d'État : « Pologne 10 ans ; Hongrie 10 mois ; Allemagne de l'Est 10 semaines ; Tchécoslovaquie 10 jours ». Bientôt, à Bucarest, on ajoutera : « Roumanie 10 heures ». Ce timing, c'est celui de la chute du Rideau de fer. C'est celui de la fin du communisme. C'est le timing de la plus formidable accélération de l'histoire qui n'ait jamais eu lieu.
Film documentaire porté par l'élan et le talent du cinéaste Tony Gatlif, Indignez-vous ! s'inscrit dans la lignée du livre mondialement célèbre de Stéphane Hessel. Il dresse le portrait d'un monde en dysfonctionnement, tout en faisant émerger des espérances et des voies nouvelles.
Urgence
“Il y a urgence. Le dérèglement du capitalisme financier précipite le monde et les peuples dans la crise de plus en plus dure pour des millions de gens, réduits au chômage et plongés dans la misère. Ces sombres temps dans lesquels nous vivons peuvent déboucher sur pire encore, un déferlement de violence xénophobe et raciste, une guerre de civilisation, dressant des peuples contre d’autres peuples au nom de Dieu, de l’incompatibilité des cultures, ou tout simplement de la haine de l’autre. Contre cette issue terrible le cinéma, comme la littérature, la musique et les autres arts, doit se battre. Il lui faut réagir vite, mais sans rien abandonner de ses vertus ni de sa singularité. (...) Aujourd’hui le cinéma a plus que jamais vocation et nécessité de se confronter avec l’actuel. Les progrès accomplis dans le régime de l’enregistrement rendent la tache plus aisée. Malraux disait que l’art était l’antidestin. Le cinéma peut et doit être cet antidestin qui prend aujourd'hui la figure du marché. C’est une question d’éthique et de volonté. Là où il y a volonté, là est le chemin.” (Tony Gatlif).
Ancien résistant, co-rédacteur de la déclaration universelle des Droits de l'Homme de 1948. L'intellectuel aux multiples casquettes est décédé à l'âge de 95 ans, laissant derrière lui un nom et des idées qui ont fait le tour du monde.