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Le 17 juillet 1959 disparaissait Billie Holiday, à l’âge de 44 ans. Plus de cinquante ans après sa disparition, sa voix continue de nous bouleverser. Comme le dira son amie Carmen McRae, "chanter fut le seul espace dans lequel elle pouvait exprimer ce qu’elle aurait aimé être tout le temps". Cet espace, Frank Cassenti l'a recréé en studio, où se retrouvent quelques-unes des grandes voix d’aujourd’hui, mais aussi de demain, pour lui rendre hommage. Le film procède comme un long travelling entre le passé et le présent où se décrypte à travers voix, textes et images, la vie d’une chanteuse qui a fasciné des générations. Avec la participation de Patricia Barber, Leena Conquest et Dave Burrel, La Velle, Cécile Mc Lorin et Jacky Terrasson, Sandra N’Kaké, Sarah Quintana, Hal Singer et Archie Shepp, et avec les photographies de Jean-Pierre Leloir.
Un petit village perdu en Ecosse voit débarquer une animatrice d'émission télévisée et son fiancé issu du village, s'ensuit plusieurs scènes burlesques et absurdes, prétextes à la rencontre avec des personnages loufoques. "Contre vents et marées" est un film qui expérimente une narration où chaque personnage joue une version fictive de lui-même. Les scènes ont été écrites et tournées en plusieures étapes sur une année. L'idée était de créer une narration au fur et à mesure et de façon intuitive à partir de ce qui avait été tourné pécédemment. L'intention était de faire en sorte que les spectateurs participent le plus possible au processus de narration. Chaque scène était tournée en continuité et les participants ne devaient ni manifester ni suggérer aucune émotion.
Belleville, 1975. Madame Rosa, ancienne "respectueuse" (prostituée) et rescapée d'Auschwitz, a ouvert à Paris "une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers", autrement dit une maison clandestine où les filles de la rue abandonnent plus ou moins leurs rejetons. Débrouillard et sensible, Momo, l'un de ses pensionnaires, l'aide dans ses tâches quotidiennes. Dans ce film, il raconte son amour pour cette maman, la seule qu'il lui reste.Après avoir triomphé pendant trois ans au théâtre dans le rôle de Mme Rosa (qui lui a valu le Molière de la meilleure comédienne en 2008), Myriam Boyer a réalisé elle-même cette adaptation de La vie devant soi. Du roman de Romain Gary (publié sous le nom d'Émile Ajar), Prix Goncourt 1975, elle a tiré un très joli conte. "Je voulais moins raconter Mme Rosa, que remettre au coeur du film l'esprit du roman et cette histoire de Belleville, imprégnée de tolérance. C'est un milieu que j'aime et que je crois savoir raconter, puisque j'en viens. S'il est souvent un peu vu d'en haut, je veux, quant à moi, le prendre de l'intérieur et des tripes. J'ai habité Belleville dans ces années-là et c'était vraiment comme ça, un mélange harmonieux. Personne, alors, ne songeait à parler d'intégration. Mais le plus terrible, c'est que trente ans après, les mêmes questions demeurent. Pour moi, La vie devant soi est une fable extraordinaire sur l'humanité, la vieillesse, la maladie et la mort. Romain Gary n'essaie pas de donner de réponses, mais il a l'âge de s'interroger, comme Mme Rosa".
Le 19 octobre 2007, le Président George W. Bush se fait assassiner sous les yeux effarés de la foule. Le film retrace l'horreur de cette situation fictive et la traque du meurtrier par le FBI à la manière d'un document TV .
Jérôme, arrivé depuis peu en ville, trouve un sac. Il donne rendez-vous à son propriétaire afin de le lui restituer et fait la connaissance de Jean.
Lors de la rencontre entre les deux individus, une étrange envie, consciente ou non, s'immisce dans la tête de Jerôme, il veut devenir Jean. Il va alors tenter de se rapprocher de la compagne de ce dernier, Laura...
Immersion dans l'univers enchanteur des petits bonshommes et des grandes amitiés.
Dans la banlieue de Tokyo, sous le plancher d’une vieille maison perdue au coeur d’un immense jardin, la minuscule Arrietty vit en secret avec sa famille. Ce sont des Chapardeurs. Arrietty connaît les règles : on n’emprunte que ce dont on a besoin, en tellement petite quantité que les habitants de la maison ne s’en aperçoivent pas. Plus important encore, on se méfie du chat, des rats, et interdiction absolue d’être vus par les humains sous peine d’être obligés de déménager et de perdre cet univers miniature fascinant fait d’objets détournés. Arrietty sait tout cela. Pourtant, lorsqu’un jeune garçon, Sho, arrive à la maison pour se reposer avant une grave opération, elle sent que tout sera différent. Entre la jeune fille et celui qu’elle voit comme un géant, commence une aventure et une amitié que personne ne pourra oublier…
À partir de 6 ans