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L'An 2008 met en scène une collection d'archétypes de la mondialisation : le consommateur insouciant, la sociale dumper chinoise, le défricheur amazonien, le voleur de plaques d'égouts, la tuvaluane inondée, le surendetté américain, le trader inconséquent, la veuve écossaise, etc. Tous ces personnages, à la fois dérisoires et emblématiques, vont s'interpeller mutuellement, s'accuser des maux qu'ils subissent et s'excuser pour les dommages qu'ils provoquent.Des bureaux de La City aux usines du Guangdong, des marchés de Lagos aux villas de Beverly Hills, ce chassé-croisé picaresque va peu à peu dessiner la folle escalade de l'économie mondialisée.
Les bombes à sous-munitions restent une menace cachée qui tue et mutile les civils bien longtemps après les conflits. Pourtant elles sont été employées régulièrement lors des derniers conflits. A l'occasion du premier anniversaire du Traité qui les interdit, le Dessous des Cartes revient sur ces armes qui prolongent la guerre après la guerre.
Jadis clandestins et ignorés, les artistes chinois ont fini par se hisser au sommet du marché de l'art mondial. Ce film pénètre à l'intérieur de l'avant-garde artistique, mais aussi au coeur de la double identité des créateurs chinois, à la fois protagonistes du marché et proies de notre imaginaire occidental. Parmi les temps forts du film : 50 000 candidats planchent au concours d'entrée des Beaux-Arts de Hangzhou ; l'artiste franco-chinois Yan Pei-Ming s'attaque aux emblèmes de la Joconde et de l'Amérique d'Obama ; le promoteur immobilier Dai Zhikang construit le "Centre Pompidou de Shanghai" pour l'Expo universelle de 2010 ; le Suisse Uli Sigg dévoile sa collection privée dans la campagne de Bâle...Partout, le marché frétille et les artistes se fraient une voie entre deux vieux rêves : productivité et liberté.
Portrait dansé et tricoté du danseur-chorégraphe Israel Galvàn : il a 34 ans, il est de Séville, il rêvait d'être footballeur, ses parents étaient danseurs de flamenco. Il est devenu un danseur absolu, et un chorégraphe inouï. Israël Galvàn renverse, agrandit, époustoufle, laisse pantelant. Parfois, on le dirait habité par le souffle de Fred Astaire et de Glenn Gould. Ce film convoque sa parole, son corps, ses gestes, ses inspirations, ses complices, ses modèles, ses trouvailles. Disons une randonnée émerveillée dans l'invention d'un alphabet du corps. Un alphabet parfaitement inédit et parfaitement reconnaissable.
Venise, 3 janvier 1982. Sur le chemin qui mène à la prison de Rovigo, Sergio se remémore ses débuts dans la clandestinité, les débats fiévreux et engagés avec ses camarades, puis le passage à la lutte armée au sein de “Prima Linea”, l’une des principales cellules terroristes d’extrême-gauche. Et aussi de sa rencontre avec la femme qu'il aime et qu'il s'apprête à libérer par la force...