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Le réchauffement du climat dessine un avenir inquiétant pour la planète et les générations futures. Dans les années 1990, le sommet de Rio et le protocole de Kyoto ont défini plusieurs principes d'action : précaution, responsabilité et droit au développement.
L'An 2008 met en scène une collection d'archétypes de la mondialisation : le consommateur insouciant, la sociale dumper chinoise, le défricheur amazonien, le voleur de plaques d'égouts, la tuvaluane inondée, le surendetté américain, le trader inconséquent, la veuve écossaise, etc. Tous ces personnages, à la fois dérisoires et emblématiques, vont s'interpeller mutuellement, s'accuser des maux qu'ils subissent et s'excuser pour les dommages qu'ils provoquent.Des bureaux de La City aux usines du Guangdong, des marchés de Lagos aux villas de Beverly Hills, ce chassé-croisé picaresque va peu à peu dessiner la folle escalade de l'économie mondialisée.
Un polar nerveux et euphorisant, porté par la pulsation de la ville et l'énergie de son jeune acteur principal, Paco Boublard, primé à La Rochelle.
Belleville, l'arrière-cour populeuse, chaleureuse et cosmopolite de la capitale, qui jamais ne s'endort. Freddy, petite frappe au sang chaud, y fait ses armes sous les ordres du Polonais Jadzec, spécialisé dans le recel de marchandises illicites et le proxénétisme. Amoureux de Larna, qu'il rêve d'arracher au trottoir, Freddy se retrouve sous la coupe du plus gros parrain chinois du quartier. S'il veut revoir sa belle vivante, il devra exécuter un certain M. Zhu, étrange Zorro chinois débarqué à Paris sans bagages pour y retrouver une jeune compatriote fugueuse. Commence pour Freddy une longue nuit fiévreuse à jouer des poings, des flingues et du couteau dans le sillage d'une cible mouvante et émouvante. Car le souriant M. Zhu est de la trempe à vous changer un homme… et une vie.
Extérieur nuit
Tourné en décors réels sur un rythme frénétique, en partie caméra à l'épaule, le premier long métrage d'Arnaud Malherbe rend un hommage euphorisant au premier de ses personnages : le bouillonnant melting-pot bellevillois, avec ses bars et ses ruelles, ses entrepôts clandestins, ses tapins, ses tripots, et la vitalité de son peuple d'adoption, riche d'une palette infinie d'accents, mais pas toujours de papiers en règle. L'autre grand atout de ce polar en état de grâce, c'est son casting inspiré qui révèle une galerie de très bons acteurs, dont l'éblouissant Paco Boublard.
Sebastián, un petit délinquant récemment sorti de prison, veut travailler avec Regueira, un trafiquant de drogue. Constatant que le jeune homme a du cran, Regueira l'engage. Il gagne la confiance de son chef et améliore son apparence. Très vite, Sebastián se trouve au sommet – ou presque. Mais le jeune homme, pourtant malin et impitoyable, ignore qu'il n'est qu'un pion dans un jeu qui le dépasse.
Étude des mœurs centrée sur les fesses, ce film revisite notre histoire et notre iconographie, l’esprit leste et l’œil rivé sous la ceinture. Regard croisé d’un homme et d’une femme, Caroline Pochon et Allan Rothschild, coréalisateurs du film et passionnés d’histoire de l’art, "La face cachée des fesses" traque les représentations de notre arrière-train du musée du Louvre à celui des Beaux-Arts, de la rue aux ateliers de créateurs, pour y lire les fantasmes collectifs qu’elles cristallisent.
Vues par le prisme de l’histoire de l’art, la psychanalyse, la sociologie ou la sémiologie, les fesses révèlent les fondements de notre société, ses tabous, ses désirs et ses rapports de force. Une promenade aussi stimulante qu’émoustillante, riches d’interviews, d’extraits de films, de clips ou de pubs, de chansons coquines et de proverbes culottés.
Les bombes à sous-munitions restent une menace cachée qui tue et mutile les civils bien longtemps après les conflits. Pourtant elles sont été employées régulièrement lors des derniers conflits. A l'occasion du premier anniversaire du Traité qui les interdit, le Dessous des Cartes revient sur ces armes qui prolongent la guerre après la guerre.
Jadis clandestins et ignorés, les artistes chinois ont fini par se hisser au sommet du marché de l'art mondial. Ce film pénètre à l'intérieur de l'avant-garde artistique, mais aussi au coeur de la double identité des créateurs chinois, à la fois protagonistes du marché et proies de notre imaginaire occidental. Parmi les temps forts du film : 50 000 candidats planchent au concours d'entrée des Beaux-Arts de Hangzhou ; l'artiste franco-chinois Yan Pei-Ming s'attaque aux emblèmes de la Joconde et de l'Amérique d'Obama ; le promoteur immobilier Dai Zhikang construit le "Centre Pompidou de Shanghai" pour l'Expo universelle de 2010 ; le Suisse Uli Sigg dévoile sa collection privée dans la campagne de Bâle...Partout, le marché frétille et les artistes se fraient une voie entre deux vieux rêves : productivité et liberté.
Portrait dansé et tricoté du danseur-chorégraphe Israel Galvàn : il a 34 ans, il est de Séville, il rêvait d'être footballeur, ses parents étaient danseurs de flamenco. Il est devenu un danseur absolu, et un chorégraphe inouï. Israël Galvàn renverse, agrandit, époustoufle, laisse pantelant. Parfois, on le dirait habité par le souffle de Fred Astaire et de Glenn Gould. Ce film convoque sa parole, son corps, ses gestes, ses inspirations, ses complices, ses modèles, ses trouvailles. Disons une randonnée émerveillée dans l'invention d'un alphabet du corps. Un alphabet parfaitement inédit et parfaitement reconnaissable.
Juliette, 12 ans, timide et mal dans sa peau, a une passion pour sa prof de français. Elle rêve d'une relation privilégiée avec elle quand un jour, en se rendant en cachette chez sa professeur, elle voit sortir Antoine de chez elle. Juliette est meurtrie : chaque geste, chaque regard de Madame Solenska vers l'adolescent, vient dès lors alimenter ses soupçons... Le film a été soutenu par l'ACID lors de sa sortie en salle.