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On sait aujourd'hui que le gigantesque site britannique de Stonehenge, l'un des plus importants de la fin du Néolithique, a été construit en plusieurs étapes, de 3000 à 1600 avant J.-C. environ. Les techniques employées pour son édification surpassent en ingéniosité celles utilisées durant la préhistoire. Mais une question demeure : comment des hommes de cette époque ont-ils pu transporter puis disposer les pierres géantes qui composent cet ensemble mégalithique ? De récentes enquêtes ouvrent de nouvelles perspectives sur sa construction et sa finalité.
Mené par l'archéologue Mike Parker Pearson de l'université de Sheffield, le projet Stonehenge Riverside s'efforce d'apporter du nouveau en explorant non seulement l'intérieur mais aussi les environs de ce site de la fin du Néolithique. Avec son équipe, il s'est lancé dans une entreprise de cartographie qui, grâce à des techniques de magnétométrie, a permis de mettre au jour les vestiges d'un monument cérémoniel à moins d'un kilomètre du cercle principal. Celui-ci serait contemporain de Stonehenge et aurait la même orientation. Une surprise de taille pour Mike Parker Pearson qui ne pensait pas trouver un jour "la petite sœur de Stonehenge". Aidé de ses collaborateurs, il a également réussi à définir la fin de "l'avenue Stonehenge", un sentier processionnel qui commence à l'extérieur du site, serpente pendant deux miles et s'interrompt près de la rivière Avon. Ce film s'intéresse également aux techniques de construction du site et notamment à la découverte de plusieurs méthodes simples, nécessitant peu de force, permettant de déplacer, tourner, soulever et dresser des blocs de pierre de plusieurs tonnes.
En 1841, Hans Stucky, un jeune meunier suisse, arrive à Venise pour tenter sa chance dans la cité des Doges. En quelques années, ce qui n'était qu'une modeste entreprise de minoterie se métamorphose en un empire commercial.
En 1880, son fils Giovanni emploie plus de quarante personnes et s’approvisionne en grain sur les rives de la mer Noire. Il achète des terrains marécageux aux alentours de Venise, les assèche et y fait cultiver du blé. Il lance également la construction d’un imposant moulin industriel – occupé aujourd'hui par l'hôtel Hilton – sur l’île de la Giudecca. La famille Stucky s'intègre à la haute société : le Tout-Venise se presse aux fastueuses réceptions du Palazzo Grassi, que Giovanni vient d'acheter. En 1910, il est assassiné par l'un de ses anciens employés, un anarchiste. Sa disparition marque le début du déclin de la famille. Giancarlo, son fils, malgré une éducation européenne et cosmopolite, n'a pas le même sens des affaires. La participation des Stucky à l'effort de guerre entame la fortune familiale et, une fois la paix revenue, les fascistes – nouveaux hommes forts du pays – se mettent en travers des entreprises du jeune héritier.
Saga
Emiland Guillerme et François Rabaté documentent une passionnante saga entrepreneuriale, dont l'apogée puis la chute résonnent avec les principaux épisodes de l'histoire européenne. Le récit, qui mêle des prises de vues contemporaines et d'exceptionnelles archives privées, ressuscite la vie quotidienne dans la Venise de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Des entretiens avec des historiens éclairent les circonstances économiques et sociales qui ont rendu possible cette incroyable aventure familiale.
Woodrow et Aiden préparent l'apocalypse en construisant Medusa, super-voiture équipée d'un double lance-flamme et d'un distributeur à Whisky. Quand Woodrow tombe follement amoureux, lui et Aiden sortent de leur tanière d'atelier et vont à la rencontre du monde. Mais la vraie vie est parfois plus dévastatrice que n'importe quelle hypothétique fin du monde.
La débâcle - Février 1940. Tandis que la Pologne, dépecée, commence seulement à enterrer ses morts, et que l'Allemagne fourbit ses armes pour la prochaine offensive, à Paris et, dans une moindre mesure, à Londres, on se berce encore d'illusions. Le 10 mai, la Wehrmacht envahit la Hollande, le Luxembourg et la Belgique...
L’histoire de ces trois grandes puissances, entraînées dans le maelström d’un conflit qui s’étendra bientôt à la planète entière, est ici racontée uniquement par le biais de leurs actualités cinématographiques. Celles-ci nous révèlent, en ces heures dramatiques, ce que les populations regardaient et ce que les pouvoirs voulaient faire savoir, ou dissimuler.
Derrière les lignes
C’est au décryptage de cette véritable guerre des images que nous convie le film, dans la lignée de Deux cents jours pour refaire le monde, réalisé pour ARTE par Jean-Christophe Rosé en 2005. On y voit la guerre elle-même, évidemment, avec ses épisodes et ses lignes de front, mais aussi ce qui se passe derrière les lignes, d’où émerge l’esprit du moment. Derrière le sens caché des images se révèlent les vrais enjeux en cours.
Charlotte rencontre un chien au pelage étrange. Pourra-t-il rester son ami ?
Charlotte a un ami qui n'est pas comme les autres. C'est un chien au pelage bleu et aux yeux verts brillants comme des pierres précieuses. Il vient la voir tous les soirs. Charlotte aimerait le garder mais sa maman s'y oppose. C'est alors qu'elle se perd dans la forêt.
Dès 5 ans
En une brûlante journée d’été 2013, Fatma et sa fille Nora prennent la route pour la prison de Fleury-Mérogis. Elles vont découvrir les méandres de ce système carcéral oppressant et infernal.
L'attente est longue, très longue pour ces femmes qui rendent visite à leurs proches écroués. Cela est d'autant plus insupportable que la chaleur les étouffe et fait monter la tension...
Le premier film réalisé par l'actrice Rachida Brakni qui dépeint la prison comme une punition pour tous, les détenus et les proches de ces derniers.