217 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Ils avaient entre 20 et 30 ans. Originaires de Rome, Bari, ou Reggio Emilia, ils travaillaient pour la plupart en usine, mais certains étaient étudiants. Ils formaient les Brigades rouges (BR), organisation révolutionnaire née à Milan en 1970 et prônant la lutte armée. À Rome, le 16 mars 1978, certains ont participé à l’enlèvement d’Aldo Moro, dirigeant de la Démocratie chrétienne (DC) et symbole de l’État italien, avant de l’enfermer pendant cinquante-cinq jours dans une “prison du peuple”. Les BR exigent, en échange de sa libération, celle de treize militants prisonniers. Mais à l’époque du compromis historique entre la DC et le Parti communiste, le gouvernement ne cède pas. L’otage est exécuté. Cet événement traumatique pour toute l’Italie sonne le glas d’un mouvement qui voulait imposer la révolution par les armes.Engagement Quarante années ont passé depuis et les ex-brigadistes ont pour la plupart purgé leurs peines de prison. Aujourd’hui, ils ont repris une activité professionnelle et ont accepté de raconter leur expérience au documentariste Mosco Levi Boucault. Alors qu’une militante de gauche anonyme resitue leurs témoignages dans le contexte de l’époque, ils se souviennent... De leur enfance à leurs années d’apprentissage, de leurs luttes syndicales à leur engagement corps et âme dans les Brigades rouges, quatre parcours personnels dessinent une histoire collective. “Ce ne sont ni des fous ni des martiens”, explique le réalisateur, mais des Italiens ordinaires, fils de paysans ou d’ouvriers, qui avaient 20 ans dans les années 1970 et se sont engagés dans un combat meurtrier contre l’État. Un film captivant sur l’histoire complexe des “années de cuivre” (selon le mot de l’écrivain Erri De Luca) en Italie.
Deniz est le cadet d’une famille turque qui vit dans une maisonnette abandonnée à la périphérie de Paris. Son père est maître-chien dans une zone industrielle proche. Deniz est confronté à un quotidien à la violence sourde, au sein de sa famille et de son quartier. Dans une "alimentation générale" où traînent des jeunes du quartier, il est pris à partie dans une bagarre qui tourne en sa défaveur. Il décide de se venger et va pour cela chercher le chien de son père. Mais les règlements de comptes s’enchaînent et tout bascule le temps d’une nuit d’hiver.
Créé à l'origine pour extraire du gravier, puis abandonné, ce petit lac est le théâtre d'un véritable miracle écologique : à l'insu des hommes, c'est tout un biotope qui y renaît et forme un véritable refuge pour des espèces rares et menacées. Sur une année, nous observons la vie des poissons, des oiseaux et des mammifères qui peuplent ce point d’eau et ses alentours. Des images tournées "près de chez nous", mais si saisissantes qu'elles semblent tout droit venues d'Amazonie !
Dès 10 ans
République islamique, discours nationaliste, ressources pétrolières, seuil nucléaire, l’Iran est l’objet de discours passionnels. À l’opposé, les cartes offrent une vision plus rationnelle du pays et permettent de mieux comprendre son contexte politique, économique et stratégique. Le Dessous des Cartes propose donc d’explorer une nouvelle fois cet État complexe, situé au carrefour du Moyen-Orient.
Clara mène une vie bien tranquille et solitaire, au grand dam de sa famille qui souhaiterait la voir s'épanouir au bras de quelqu'un. Suite au décès subit de sa tante, Clara hérite de son animal de compagnie et les ennuis commence. Une rencontre va changer les choses..
Un soir de réveillon, en compagnie d'une bouteille de champagne, Emilie, 35 ans, va sur Internet et s'inscrit sur un site de rencontres. Elle a une bonne résolution pour la nouvelle année : trouver l'amour. Et, en effet, le choix est vaste : des cyniques, des comiques, quelques loustiques et même de grands romantiques. Emilie est loin d'imaginer ce qui l'attend pourtant dans la "vraie vie".
Au Pays basque, Arnaud Daguin a établi sa maison d’hôtes Hegia dans une superbe bâtisse du XVIIIe siècle. Il pourrait se contenter d’y recevoir ses pensionnaires venus du monde entier, mais il s’engage de tout son être dans la promotion de l’agriculture biologique et de l’alimentation raisonnable. Il entretient le lien avec un réseau d’amis producteurs bio et artisanaux, et soutient aussi le projet Garroa, une initiative municipale organisée autour d’un château du XIIe siècle dont les terres sont consacrées à la production bio. Devant nous, Arnaud Daguin prépare leurs produits et nous révèle tout l’art de vivre d’une région.