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Une bouleversante histoire d’amour et d’amitié dans le Japon des années 1960.
Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer. Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
À partir de 8 ans
Damien est en vacances chez Élise, sa petite amie, dans la maison familiale. Le grand frère d'Élise les rejoint pour le week-end. Il se montre très possessif et intrusif. L'amour fraternel flirte avec les limites. Damien s'en tiendra-t-il au rang de spectateur ?
Le jeune prêtre Fabijan arrive dans une petite île croate pour reprendre les rênes de la paroisse. Préoccupé par le taux de natalité médiocre, il met en œuvre un plan pour inverser la tendance : en complicité avec le vendeur du kiosque local, Petar, très religieux, il se met à percer tous les préservatifs vendus par ce dernier. A ce plan s'associe le pharmacien Marin, qui remplace les pilules contraceptives par des vitamines. Très vite, mariages et naissances se multiplient, un phénomène qui amène vite sur l'île une foule de visiteurs étrangers qui n'arrivent pas à concevoir...
En juillet 1035, Guillaume "le Bâtard", fils illégitime du duc de Normandie, succède à son père, décédé lors d'un pèlerinage à Jérusalem. Après une décennie de troubles, le jeune duc parvient à asseoir son autorité et fait de la cour de Normandie l'une des plus puissantes et les plus fastueuses d'Europe. Guillaume accueille de nombreux rois en exil, parmi lesquels Édouard "le Confesseur", prétendant sans descendance au trône d'Angleterre. Lorsque ce dernier revient au pouvoir, il fait de Guillaume son héritier, avant de le désavouer sur son lit de mort au profit de son beau-frère Harold, qui avait pourtant juré fidélité à Guillaume.
Pour récupérer le royaume qui lui était promis, le duc arme une flotte de plusieurs milliers de navires et débarque avec quinze mille hommes sur le sol anglais. Le 14 octobre 1066, les deux armées se font face à Hastings. La bataille qui s'ensuivra fera basculer à jamais le sort du royaume d'Angleterre.
Face sombre
Mêlant récits d'hagiographes de l'époque, scènes de reconstitution spectaculaires - tournées pour certaines sur les lieux des événements qu'elles relatent - et témoignages de spécialistes de l'histoire médiévale de part et d'autre de la Manche, ce documentaire retrace le règne de celui qui déclencha l’une des plus célèbres batailles de l'histoire d'Angleterre. On y dévoile la face sombre de ce guerrier intrépide, fin stratège et politicien, grand bâtisseur qui ordonna l'édification des abbayes aux Hommes et aux Dames de Caen - chefs-d'œuvre de l'art roman - ou de la Tour de Londres, et mari fidèle follement épris de son épouse Mathilde… Il fut aussi un seigneur de guerre impitoyable qui se livra dès la prise de Londres à de nombreux massacres et pillages pour consolider le joug normand sur l'Angleterre. Des exactions qu'il prendra soin d'effacer de la tapisserie de Bayeux, véritable outil de propagande à sa gloire, qui relate en détail sa conquête de l’Angleterre. Fondateur d'une nouvelle dynastie, Guillaume s'éteint à 60 ans après avoir fait de l'Angleterre l'un des royaumes les plus puissants d'Europe, alors qu'il ne parlait pas un mot d'anglais, et sème ainsi les germes de la future Guerre de Cent ans, qui éclatera plus de deux siècles après.
Un père emmène son jeune fils au stade de Gerland voir un match de l'Olympique Lyonnais. Cependant, le prix des places est exorbitant. Le père n'a pas les moyens d'acheter des billets pour le match. Comment va-t-il faire pour faire face à cette humiliation ?
1842–1844, L’histoire de la famille Simon. Johann le père forgeron, Margret la mère, Lena la fille ainée, Gustav et Jakob les fils, Jettchen et Florinchen leurs futures épouses. Les coups du destin risquent de détruire cette famille mais c’est une histoire de courage et de foi en l’avenir. Des dizaines de milliers d’Allemands, accablés par les famines, la pauvreté et l’arbitraire des gouvernants, émigrent en Amérique du Sud. « Un sort meilleur que la mort, ça peut se trouver partout ». Jakob Simon le cadet, lit tous les livres qu’il peut se procurer, il étudie les langues des Indiens d’Amazonie. Il rêve d’un monde meilleur, d’aventure, de dépaysement et de liberté. Il décide d’émigrer. Le retour de son frère Gustav du service militaire dans l’armée prussienne déclenche une série d’évènements qui met à rude épreuve l’amour de Jakob et bouleverse son existence.
1842–1844, L’histoire de la famille Simon. Johann le père forgeron, Margret la mère, Lena la fille ainée, Gustav et Jakob les fils, Jettchen et Florinchen leurs futures épouses. Les coups du destin risquent de détruire cette famille mais c’est une histoire de courage et de foi en l’avenir. Des dizaines de milliers d’Allemands, accablés par les famines, la pauvreté et l’arbitraire des gouvernants, émigrent en Amérique du Sud. « Un sort meilleur que la mort, ça peut se trouver partout ». Jakob Simon le cadet, lit tous les livres qu’il peut se procurer, il étudie les langues des Indiens d’Amazonie. Il rêve d’un monde meilleur, d’aventure, de dépaysement et de liberté. Il décide d’émigrer.
La Belle Époque a la passion du style. Des villes comme Paris s’ouvrent à la flânerie et au commerce, dont les grands magasins sont le triomphe. Les lieux de villégiature, que l’on rallie désormais en train, en paquebot ou même en automobile, inventent le tourisme. Des produits de beauté industriels font leur apparition. De nouvelles marques partent à la conquête de marchés internationaux : L'Oréal, Guerlain, Nivéa… La haute couture, elle, s’internationalise, communique par la publicité, se représente au théâtre, dans la littérature, la peinture, le cinéma… Personne ne se doute du gouffre à venir. Films amateurs, actualités, photos, documents, trésors d’archives, ce film nous plonge dans l’extraordinaire inventivité de ces années 1910.
Intelligence, émotion, profondeur : à l’image de l’œuvre sur laquelle ils font retour séparément, Asghar Farhadi et ses acteurs semblent toujours unis par un élan collectif d’une exceptionnelle qualité face à la caméra d’Auberi Edler. Et deux ans après le tournage, leur engagement envers ce film phénomène, qui a raflé la plupart des plus grandes récompenses du cinéma mondial et remporté en Iran un immense succès populaire, reste palpable. Fracture sociale, répression du soulèvement populaire de 2009, libertés conquises de haute lutte par les femmes … : Asghar Farhadi n’élude pas les questions politiques, insistant sur l’importance, pour lui, de continuer à tourner dans son pays, même si cela implique de se plier aux contraintes liées à la censure. En écho, l’un des acteurs souligne combien Une séparation colle étroitement à la réalité iranienne, suggérant que c’est peut-être cet ancrage "local" qui en fait une œuvre universelle. Le documentaire livre également de précieuses indications sur la méthode de travail du cinéaste, notamment sur sa direction d’acteurs. Outre des images tournées dans les rues de Téhéran, des archives du "printemps iranien" et de sa répression, et de nombreux extraits du film ou de son making of, un entretien avec une spécialiste du cinéma iranien, Agnès Devictor, étaie cette passionnante analyse à plusieurs voix.
Mais si justes que soient les mots de chacun des protagonistes, c’est une séquence filmée sur le plateau d’Une séparation, à la fin du tournage, qui transmet avec le plus d’éloquence la vérité du film : la jeune Termeh, seule devant le juge, doit décider avec lequel de ses parents divorcés elle souhaite désormais vivre. Sarina, la fille du cinéaste, alors âgée de 13 ans, qui interprète l’adolescente, demande à jouer la scène sans répétition. Les larmes roulent sur ses joues tandis qu’elle affronte ce choix si douloureux - qui ne sera pas révélé au spectateur. Et face à cette toute jeune fille qui confie s’être alors "sentie actrice pour la première fois", deux hommes se mettent aussi à pleurer : le chef opérateur aux cheveux blancs, qui se précipite hors de la pièce dès que le "Coupez !" du cinéaste retentit ; et Asghar Farhadi lui-même, qui enfouit sa tête dans ses mains pour cacher son émotion. Une séquence que la réalisatrice s’abstient finement de commenter, et qui restitue de façon saisissante la densité humaine de ce grand film.