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La Belle Époque a la passion du style. Des villes comme Paris s’ouvrent à la flânerie et au commerce, dont les grands magasins sont le triomphe. Les lieux de villégiature, que l’on rallie désormais en train, en paquebot ou même en automobile, inventent le tourisme. Des produits de beauté industriels font leur apparition. De nouvelles marques partent à la conquête de marchés internationaux : L'Oréal, Guerlain, Nivéa… La haute couture, elle, s’internationalise, communique par la publicité, se représente au théâtre, dans la littérature, la peinture, le cinéma… Personne ne se doute du gouffre à venir. Films amateurs, actualités, photos, documents, trésors d’archives, ce film nous plonge dans l’extraordinaire inventivité de ces années 1910.

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Pour Charles Trenet, tout semblait si facile, tout était léger, fugace, rêvé… "La mer", griffonnée en quelques minutes dans un train entre Narbonne et Carcassonne, fit le tour du monde et le transforma en milliardaire. Mais derrière l’insolente réussite, derrière le chapeau cloche et les yeux qui riboulent, derrière le génie poétique se cachait un autre Charles : un petit pensionnaire abandonné par sa mère, un homme secret, un "pédéraste" à une époque où l'homosexualité n’était pas tolérée. Alors, il se réfugiait dans le monde des rêves, avant d’être durement ramené à la réalité. C’est ce Charles Trenet-là que le film raconte, ce Trenet blessé, mystérieux, solitaire. Celui qui traversa le siècle sans jamais vouloir se livrer, par élégance, par désinvolture, par horreur d’avoir à se justifier. Car, sa vie durant, l'homme a été poursuivi par les ragots. Collabo pour les uns, pédophile pour les autres, Trenet n’a jamais daigné répondre. Il a souffert en silence et chanté sans relâche pour faire taire les grincheux. Karl Zéro et Daisy d’Errata font revivre ce vieux galopin sulfureux, poète dont le masque joyeux cachait mal les désespoirs, artiste solaire qui dédaignait toute forme de conventions, à travers des archives inédites et oubliées, et les témoignages de ses amis proches, parmi lesquels Charles Aznavour, Jean-Jacques Debout et Georges El Assidi.

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Intelligence, émotion, profondeur : à l’image de l’œuvre sur laquelle ils font retour séparément, Asghar Farhadi et ses acteurs semblent toujours unis par un élan collectif d’une exceptionnelle qualité face à la caméra d’Auberi Edler. Et deux ans après le tournage, leur engagement envers ce film phénomène, qui a raflé la plupart des plus grandes récompenses du cinéma mondial et remporté en Iran un immense succès populaire, reste palpable. Fracture sociale, répression du soulèvement populaire de 2009, libertés conquises de haute lutte par les femmes … : Asghar Farhadi n’élude pas les questions politiques, insistant sur l’importance, pour lui, de continuer à tourner dans son pays, même si cela implique de se plier aux contraintes liées à la censure. En écho, l’un des acteurs souligne combien Une séparation colle étroitement à la réalité iranienne, suggérant que c’est peut-être cet ancrage "local" qui en fait une œuvre universelle. Le documentaire livre également de précieuses indications sur la méthode de travail du cinéaste, notamment sur sa direction d’acteurs. Outre des images tournées dans les rues de Téhéran, des archives du "printemps iranien" et de sa répression, et de nombreux extraits du film ou de son making of, un entretien avec une spécialiste du cinéma iranien, Agnès Devictor, étaie cette passionnante analyse à plusieurs voix.

 

Mais si justes que soient les mots de chacun des protagonistes, c’est une séquence filmée sur le plateau d’Une séparation, à la fin du tournage, qui transmet avec le plus d’éloquence la vérité du film : la jeune Termeh, seule devant le juge, doit décider avec lequel de ses parents divorcés elle souhaite désormais vivre. Sarina, la fille du cinéaste, alors âgée de 13 ans, qui interprète l’adolescente, demande à jouer la scène sans répétition. Les larmes roulent sur ses joues tandis qu’elle affronte ce choix si douloureux - qui ne sera pas révélé au spectateur. Et face à cette toute jeune fille qui confie s’être alors "sentie actrice pour la première fois", deux hommes se mettent aussi à pleurer : le chef opérateur aux cheveux blancs, qui se précipite hors de la pièce dès que le "Coupez !" du cinéaste retentit ; et Asghar Farhadi lui-même, qui enfouit sa tête dans ses mains pour cacher son émotion. Une séquence que la réalisatrice s’abstient finement de commenter, et qui restitue de façon saisissante la densité humaine de ce grand film.

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Capitale du Reich et symbole de la division de l’Allemagne pendant la guerre froide, Berlin porte les traces de ce passé douloureux. Quelle attitude adopter face à ce patrimoine embarrassant ? Ce premier volet se penche sur le lien entre mémoire et urbanisme à travers l’exemple de cette ville.

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Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, Jimmy Picard, un Indien Blackfoot ayant combattu en France, est admis à l’hôpital militaire de Topeka, au Kansas, un établissement spécialisé dans les maladies du cerveau. Jimmy Picard souffre de nombreux troubles : vertiges, cécité temporaire, perte d’audition... En l’absence de causes physiologiques, le diagnostic qui s’impose est la schizophrénie. La direction de l’hôpital décide toutefois de prendre l’avis d’un ethnologue et psychanalyste français, spécialiste des cultures amérindiennes, Georges Devereux.

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Le grand-père de Kirikou nous accueille dans sa grotte bleue, pour de nouvelles confidences. Il restait encore de beaux souvenirs de l’enfance de Kirikou à évoquer : les moments où il a aidé les hommes et les femmes de son village et d’ailleurs… Il nous raconte alors comment Kirikou, grâce à sa bravoure et son intelligence, est venu au secours de la femme forte, dont le toit de la case avait été détruit par Karaba. Il nous apprend par quelle astuce le petit héros a retrouvé le vieux grincheux, qui s’était égaré dans la savane, puis comment une griotte menacée par la sorcière a finalement pu transmettre son savoir aux habitants du village. On découvre aussi le secret d’un mystérieux monstre bleu, et enfin, grâce à une flûte liée à la famille de notre héros petit et vaillant, le pouvoir magique de la musique.
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Paris, Gare du Nord, tout peut y arriver, même des trains. On aimerait y rester, mais il faut se dépêcher... Comme des milliers de vies qui s’y croisent, Ismaël, Mathilde, Sacha et Joan vont s’y rencontrer. Chaque jour, Ismaël est ébloui, fasciné, épuisé par ce lieu. C’est sur le quai du RER qu’il voit Mathilde pour la première fois. Peu à peu, ils tombent amoureux. Ils croisent Sacha et Joan. Sacha est à la recherche de sa fille disparue, Joan passe sa vie dans cette gare entre Lille, Londres et Paris. La gare est comme une bulle que tous traversent, Français, immigrés, émigrés, voyageurs, fantômes... C’est un carrefour où chaque vie passe vite et disparait.

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Le Dessous des cartes s’intéresse aux facteurs conjoncturels qui ont entraîné la déflagration : l’affirmation des nationalismes, les guerres balkaniques en 1911, l’affaiblissement de l’Empire ottoman jusqu’à l’attentat de Sarajevo, les systèmes d'alliances "deux par deux" et la crise diplomatique de l’été 1914.

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6 mai 2012, deuxième tour des élections présidentielles. Lætitia, journaliste télé, doit couvrir l’événement au cœur de la foule, rue de Solférino. C’est également le jour où Vincent, son ex, débarque, sûr de son droit de visite, pour revoir ses deux petites filles. C'est parti pour la bataille !
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Le dessous des cartes étudie les causes structurelles portant en germe le premier conflit mondial : transformations de l’économie européenne, montée en puissance du pétrole par rapport au charbon, présence commerciale grandissante de l’Allemagne, hégémonie coloniale de la France et du Royaume Uni.

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