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Charlotte rencontre un chien au pelage étrange. Pourra-t-il rester son ami ?
Charlotte a un ami qui n'est pas comme les autres. C'est un chien au pelage bleu et aux yeux verts brillants comme des pierres précieuses. Il vient la voir tous les soirs. Charlotte aimerait le garder mais sa maman s'y oppose. C'est alors qu'elle se perd dans la forêt.
Dès 5 ans
En une brûlante journée d’été 2013, Fatma et sa fille Nora prennent la route pour la prison de Fleury-Mérogis. Elles vont découvrir les méandres de ce système carcéral oppressant et infernal.
L'attente est longue, très longue pour ces femmes qui rendent visite à leurs proches écroués. Cela est d'autant plus insupportable que la chaleur les étouffe et fait monter la tension...
Le premier film réalisé par l'actrice Rachida Brakni qui dépeint la prison comme une punition pour tous, les détenus et les proches de ces derniers.
Une plongée dans les coulisses de L’Opéra de Paris, alors que le directeur Stéphane Lissner ouvre sa première saison en 2015. Des hautes sphères du pouvoir aux petites mains de la création, de la danse au chant lyrique, "l’Opéra" met en scène des passions humaines et raconte des tranches de vie au coeur d’une des plus prestigieuses institutions lyriques du monde.
Le dessous des cartes étudie les causes structurelles portant en germe le premier conflit mondial : transformations de l’économie européenne, montée en puissance du pétrole par rapport au charbon, présence commerciale grandissante de l’Allemagne, hégémonie coloniale de la France et du Royaume Uni.
Tout le monde a le droit de migrer. Pourtant, les drames se multiplient pour ceux qui tentent de rejoindre l’Europe par la Méditerranée. Le dessous des cartes s’interroge sur les politiques d’asile et d’immigration de l’Union européenne et sur le rôle de l’agence Frontex, chargée de surveiller et de protéger les frontières extérieures de l’espace européen.
Des photos oubliées, quelques textes recopiés… C’est en retrouvant, dans une vieille valise, les traces fugaces d’un oncle mort en France en 1915 que Don Kent entreprend son voyage à travers l’Europe d’avant-guerre, à la découverte du Monde d’hier merveilleusement décrit par Stefan Zweig. À quoi ressemblait-elle, cette Belle Époque qui s’engouffrait, faussement confiante, dans la modernité, faisant mine d’ignorer les démons qui allaient précipiter sa chute ?
Archives rares, partitions musicales, extraits littéraires ou cinématographiques… : au fil de rencontres et d’étapes, de Vienne à Paris en passant par Saint-Pétersbourg, le réalisateur croise les regards d’intellectuels singuliers pour recomposer ce passé d’il y a tout juste cent ans.
Le roman foisonnant d’une époque dont émerge un continent triomphant, suspendu inconsciemment au bord de l’abîme, et dont les contradictions nourrissent de profondes tensions. Au-delà des débats d’historiens sur les multiples origines du chaos, de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, le 28 juin 1914, à l’instabilité chronique des Balkans, le film sonde avec acuité l’âme torturée d’une Europe à son apogée, avant l’inexorable déclin.
Deux jeunes soldats, Guglielmo et Ferrando, fiancés à deux sœurs, Fiordigili et Dorabella, sont mis au défi par le cynique Don Alfonso, célibataire d’âge mûr. Il parie cent sequins avec les deux amoureux qu’il parviendra à leur prouver l’infidélité de leurs belles, inhérente à leur sexe. Guglielmo et Ferrando, acceptant de se prêter à son jeu, feignent donc de partir au régiment pour revenir, déguisés, courtiser chacun la fiancée de l’autre. Soubrette des deux sœurs dans l’œuvre originale, mais ici compagne de Don Alfonso, Despina accepte de jouer les entremetteuses, sans deviner la véritable identité des galants… L’AMOUR MEURTRI Le soir où le Teatro Real applaudissait à tout rompre la première de ce Così fan tutte, Michael Haneke recevait à Los Angeles l’Oscar du meilleur film étranger pour Amour, déjà couronné d’une Palme d’or et de cinq Césars. Pour sa deuxième mise en scène d’opéra, c’est aussi une vision de l’amour, cruelle et désenchantée, qu’il propose au public, dans une mise en scène d’un glaçant réalisme. Il dirige brillamment ses trois couples d’interprètes - puisque Alfonso et Despina, meneurs de jeu aussi meurtris que leurs victimes, ne sont plus de simples complices mais de vieux amants -, faisant ressortir tout ce que les personnages recèlent de blessures. Dans un très beau décor, mêlant les éléments d’une villa XVIIIe à un intérieur contemporain bourgeois, il joue aussi entre les deux époques grâce à une réception costumée qui permet de recourir au déguisement, l’un des ressorts dramatiques de l’œuvre. Si elle retire au dramma giocoso de Mozart sa dimension comique, la précision de sa mise en scène met superbement en valeur la mélancolie pleine de tendresse de la partition.
En 1841, Hans Stucky, un jeune meunier suisse, arrive à Venise pour tenter sa chance dans la cité des Doges. En quelques années, ce qui n'était qu'une modeste entreprise de minoterie se métamorphose en un empire commercial.
En 1880, son fils Giovanni emploie plus de quarante personnes et s’approvisionne en grain sur les rives de la mer Noire. Il achète des terrains marécageux aux alentours de Venise, les assèche et y fait cultiver du blé. Il lance également la construction d’un imposant moulin industriel – occupé aujourd'hui par l'hôtel Hilton – sur l’île de la Giudecca. La famille Stucky s'intègre à la haute société : le Tout-Venise se presse aux fastueuses réceptions du Palazzo Grassi, que Giovanni vient d'acheter. En 1910, il est assassiné par l'un de ses anciens employés, un anarchiste. Sa disparition marque le début du déclin de la famille. Giancarlo, son fils, malgré une éducation européenne et cosmopolite, n'a pas le même sens des affaires. La participation des Stucky à l'effort de guerre entame la fortune familiale et, une fois la paix revenue, les fascistes – nouveaux hommes forts du pays – se mettent en travers des entreprises du jeune héritier.
Saga
Emiland Guillerme et François Rabaté documentent une passionnante saga entrepreneuriale, dont l'apogée puis la chute résonnent avec les principaux épisodes de l'histoire européenne. Le récit, qui mêle des prises de vues contemporaines et d'exceptionnelles archives privées, ressuscite la vie quotidienne dans la Venise de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Des entretiens avec des historiens éclairent les circonstances économiques et sociales qui ont rendu possible cette incroyable aventure familiale.