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Après le formidable succès en 2011 de son album Kuniko Plays Reich, et quelques enregistrements subséquents consacrés à ce compositeur pionnier, la percussionniste Kuniko s'est forgée une réputation d'interprète majeure de Steve Reich. Ici, elle propose Kuniko Plays Reich II, une sélection d'oeuvres novatrices couvrant la carrière artistique de Reich et présentant certaines de ses techniques les plus révolutionnaires. Composé au début de sa trentaine, Piano Phase est présenté dans l'arrangement fascinant de Kuniko pour deux vibraphones ; comme à son habitude, Kuniko joue les deux parties. Si Nagoya Marimbas use certains des procédés compositionnels que Reich popularisa dans Piano Phase, Four Organs tire son inspiration du Moyen Âge. En conclusion de ce récital captivant, Mallet Quartet laisse entrevoir un Reich d'humeur davantage mélodique, bien qu'avec un dynamisme rythmique des textures en canon qui lui sont propres.
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"Mes raisons pour écrire des pièces sont souvent très étonnantes...Two Pages, vous vous souvenez est un unisson. Quelqu'un m'a demandé si j'essayais de suivre l'évolution de l'histoire de la musique et si, alors ma pièce suivante suivrait cette logique et serait des quintes. Alors, j'ai écrit Music In Fifths. Tout le mouvement est parallèle, alors, je me devais d'en faire une avec des mouvements contraires. Après Music In Contrary Motion arriva encore son opposé, Music In Similar Motion. Tout a été très simple. En 1969, personne ne me connaissait et ne se souciait vraiment de ce que je pouvais écrire, alors j'ai pu faire toutes les plaisanteries dont j'avais envie". Philip Glass (lors d'un entretien avec Keith Potter et Dave Smith en 1975). "Voici la plaisanterie poussée à huit sonneurs : quatre cornemuses, quatre bombardes. Ces " first classics " sont les prémisses qui amèneront Einstein on the Beach. Philip Glass les a composées après un voyage en Afrique du Nord et en Inde. Peut-être est-ce pour cela que ces pièces sont modales et parfaitement adaptées aux cornemuses ? Étonnamment, elles semblent être écrites pour nos instruments". Erwan Keravec, mars 2024
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Le septième album de Tiganá Santana, enregistré à Serpa, au Portugal, avec les musiciens et amis Leonardo Mendes et Ldson Galter, est, à la base, un album ancré dans les instruments à cordes, c'est-à-dire les guitares et les différentes modalités de la basse, réalisant ainsi un projet visant principalement à présenter les chansons auxquelles Tiganá aspirait depuis un certain temps. Le seul morceau enregistré au Brésil, plus précisément à São Paulo, à l'Estúdio Arsis, 'O véu' (Le voile), bénéficie de la participation spéciale de la chanteuse Fabiana Cozza et du musicien Henrique Araújo, invité à jouer du cavaco. Les sept titres qui composent ce septième album de la carrière de l'artiste sont pour la plupart des thèmes musicaux inédits, dont un seul n'a pas été composé par Tiganá. Il s'agit du titre 'Das matas' (Des forêts), qui ouvre l'album et qui, composé par le musicien Fabrício Mota, rend hommage à la divinité de la chasse Oxóssi. Dans ce même morceau, Tiganá récite un texte de son cru qui dialogue avec l'hommage évoqué par la chanson. D'ailleurs, un deuxième hommage à la divinité de la chasse (ou de la recherche au sens large), à laquelle Tiganá est initié dans la religion du candomblé de lignée congolo-angolaise, apparaît dans sa propre composition en langue africaine kikongo, 'Nkongo' ('chasseur' en portugais), qui a été enregistrée par le chanteur Jurema Paes sur l'album 'Mestiça' (Mixte). Il convient de noter que le titre de l'oeuvre, 'Caçada Noturna' (Chasse nocturne), provient du poème homonyme du poète Paulo Colina (l'un des poètes préférés de Tiganá Santana) et s'aligne sur les hommages à la divinité de la chasse, ainsi que sur la poétique, les tons et les sujets qui touchent au nocturne, au lunaire, aux sentiments profonds et au mystère. Il n'y a qu'un seul thème instrumental, 'Estrelas pernoitadas' (Étoiles nocturnes), ce qui en fait un album plus axé sur les chansons, avec des approches et des sujets divers. On y trouve ainsi les chansons 'O amor simples' (L'amour simple), 'Partes de mim' (Les parties de moi) et 'Coração ao largo' (Le coeur large). L'artiste visuel Ani Ganzala est responsable de la peinture de la pochette de l'album, qui sera distribué sur les plateformes de streaming, sur CD et sur vinyle dans le monde entier. L'album est produit par Leonardo Mendes, Ldson Galter et Tiganá Santana ; il a été mixé et masterisé par André Magalhães ; la production exécutive est assurée par Mônica Cosas ; et il est distribué dans le monde entier par le label suédois ajabu ! qui collabore avec Tiganá depuis plus de dix ans. Il convient également de souligner le soutien du centre culturel portugais Musibéria, où le projet a été réalisé dans la ville de Serpa, dans l'Alentejo, en juillet 2023.
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LINKIN PARK est de retour en 2024, après 7 ans d'absence, avec la sortie d'un nouvel album `From Zero', précédé par un nouveau single `The Emptiness Machine', puissant catalyseur de l'ADN inimitable du groupe ! Mike Shinoda, Brad Delson, Phoenix, Joe Hahn, ainsi que les nouveaux membres Emily Armstrong [du groupe Dead Sara] en tant que co-vocaliste et le batteur Colin Brittain, exploitent l'énergie la plus pure de leur passé, de leur présent et de leur futur et lancent officiellement une nouvelle ère pour le groupe mythique aux 2 GRAMMY awards et aux plus de 100 millions d'albums vendus dans le monde.
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#puzzled est le premier disque que le pianiste Pierre-François Blanchard signe sous son nom, avec le clarinettiste Thomas Savy comme frère d'armes - et même frère d'âme. C'est à la fois une source et un delta : un lieu où tout converge sans se réduire, se dénoue pour mieux commencer, se solde pour mieux être ressaisi, recomposé. Gommant toute césure entre écriture et improvisation, Pierre-François Blanchard arpente depuis vingt ans un paysage qui l'a conduit du classique au jazz, de la composition pour le théâtre à la chanson. Mais c'est sa carte du Tendre qu'il déplie ici, éclairée par le faisceau d'expériences et de rencontres qui ont jalonné sa route. Quatre rencontres, comme des points cardinaux. D'abord Pierre Barouh, capitaine au libre cours du label Saravah, figure hors ligne de la chanson dont Pierre-François et son piano, cinq années durant, portent l'inspiration et les appétits. Ensuite Archie Shepp, qui l'intègre dans son quartette en 2017, et Raphaël Imbert, qui en fait l'un des piliers porteurs de son jazz chercheur : deux saxophonistes dont le souffle porte une brûlure à la fois ancestrale et toujours neuve. Enfin Marion Rampal, l'amie essentielle, avec la quelle Pierre-François tamise notamment l'or du Secret, entrelaçant Fauré, Legrand, Brigitte Fontaine, Debussy... ou Barouh. De ce désir d'humanités musicales, #puzzled tire sa substance profonde. Celle d'un promeneur qui flâne entre les mondes pour mieux les raccorder - des miroitements de la musique française du début du XXe à l'art coloriste d'un Duke Ellington, des beautés du contrepoint aux combinaisons harmoniques d'un Brad Meldhau. Et ce n'est pas un hasard si ce journal intime sans paroles a fini par surgir de la parenthèse imposée par le confinement. "Je n'ai pas peur de dire que ça a été une période de jubilation artistique. Pendant trois semaines, j'ai écrit une pièce par jour. Ça a marqué pour moi un retour à l'intériorité, mais aussi à la capacité de la transcender et de la partager." #puzzled se nourrit de cette circulation vitale entre ce qu'Henri Michaux appelait l'espace du dedans et l'espace du dehors. Souffle continu que l'introspection modèle, que la fièvre par endroits hérisse, et auquel Thomas Savy prête la justesse névralgique de sa clarinette. "Thomas, rencontré il y a dix ans, a tout de suite exprimé un intérêt très sensible pour ce que j'écrivais : je n'ai pas oublié ce signal. Je savais qu'il ferait honneur à ces musiques tout en les bousculant, en renversant la table quand il le faudrait." Tissant les fils de la mémoire, de la sensation pure et du langage, Pierre-François Blanchard active entre eux tout un jeu de correspondances et d'échos, privilégiant la justesse de touche(s) aux effets de manche, l'acuité de l'expression à tout impératif de performance. C'est un battement singulier qui guide l'auditeur, la pulsation propre à ceux qui ont gardé leur coeur d'amateur, loin des académies et des compétitions. Battement qui mène jusqu'à la pièce #puzzled, dont le titre résonne comme un sésame, puisqu'il dit en anglais l'état de trouble et de perplexité face aux émotions dont la nature nous échappe, nous déconcerte et nous hante. Battement qui poudroie et devient lumière dans Lullaby for Freedom, conclue sur un dernier dégagement, une dernière tangente vers l'infini. Vers la suite de l'histoire, peut-être ?. Richard Robert
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