215 résultat(s) trouvé(s)
Vous souhaitez nous faire une suggestion d’achat ? Remplissez le formulaire !
Au village des Sylvanian, tout le monde attend avec impatience la Fête des Étoiles. Mais Freya, la petite fille Lapin, s’inquiète : elle est chargée d’en préparer l’événement principal, trouver « l’Arbre de l’année ». Et c’est aussi l’anniversaire de sa mère, pour qui elle cherche le bon cadeau… Qu’est-ce que Freya va bien pouvoir inventer pour faire plaisir à sa mère et à ses amis ?
À partir de 3 ans
Une variation sur le motif des "Mille et une nuits", avec Nahuel Pérez Biscayart et Lars Eidinger.
1942. Arrêté par les nazis alors qu’il tente de gagner la Suisse, Gilles, un jeune Belge fils de rabbin, échappe de justesse à une exécution sommaire en prétendant n’être pas juif mais d’origine persane – l’idée lui est venue d’un livre en farsi qu’un camarade, moins chanceux que lui, venait de lui confier. Le jeune homme se trouve alors affecté de force à la cuisine d’un camp de concentration, et mis au service de Klaus Koch, capitaine désireux, par une incroyable coïncidence, d’apprendre le farsi. Pour ne pas être démasqué, le malheureux prisonnier s’évertue à inventer les mots et la grammaire d’une langue imaginaire, qu’il enseigne avec patience et fébrilité à l’officier nazi, de plus en plus investi dans ses leçons…
Mystifier pour survivre
Inventer, jour après jour, mystifier son bourreau pour ne pas être tué : c’est une audacieuse variation sur le motif des Mille et une nuits qui se dessine dans ce film au scénario adapté d’une pièce de théâtre radiophonique de l’auteur allemand Wolfgang Kohlhaase. Face à Lars Eidinger, l’épatant – et polyglotte – Nahuel Pérez Biscayart (120 battements par minute) habite de son regard inquiet ce drame tout en tension psychologique, où la barbarie nazie, bien qu’omniprésente, reste en grande partie hors champ.
Alors que l'extrême droite progresse et que la question migratoire divise la population, il doit remilitariser le pays et gérer une économie défaillante. Comment maintenir la stabilité de l'Allemagne et affronter les défis qui redéfinissent le rôle du pays dans une Europe en pleine évolution ?
Dirigé en 1978 par Philip Kaufman ("L’étoffe des héros"), Donald Sutherland mène l’enquête dans un remake sous haute tension du film de Don Siegel (1956).
Elizabeth ne reconnaît plus Geoffrey, son compagnon : physiquement, il est le même, mais lui, si prévenant et amoureux, ne manifeste plus depuis le réveil aucune sorte d’affect ou d’émotion. Persuadée qu’il se passe quelque chose d’inhabituel, elle convainc Matthew, son collègue du service de l’hygiène de San Francisco, de mener l’enquête avec elle…
Envahisseurs
En ville, de mystérieuses graines arrivées de l’espace prospèrent. D’abord fleurs odorantes, elles mutent bientôt en cosses génitrices qui produisent une réplique de chaque habitant, remplacé un à un par un double placide après avoir succombé au sommeil. Se distinguant davantage par ses créations sonores que par ses effets spéciaux, L’invasion des profanateurs trouve sa haute tension dans la course contre la montre du groupe d’amis qui tente de comprendre l’inexplicable phénomène et surtout d’empêcher le grand remplacement de notre espèce par des envahisseurs venus d’ailleurs. Deuxième des quatre adaptations – après celle en noir et blanc de Don Siegel (1956) et avant celles d’Abel Ferrara (1993) et d’Oliver Hirschbiegel (2007) – du roman de SF L’invasion des profanateurs (1955) de Jack Finney, le film de Philip Kaufman (L’étoffe des héros) offre un rôle en or à Donald Sutherland et à ses personnages féminins, campés par Brooke Adams (Dead Zone) et Veronica Cartwright (Alien, le huitième passager). Les extraterrestres sont là. Pourront-ils les arrêter ?