Une jeune sociologue vivant à proximité du zoo de Barcelone recherche un père de fortune afin de tomber enceinte. Refusant le statut salarial, elle abandonne son travail universitaire et s'enfonce progressivement dans la précarité. Bientôt, elle quitte la métropole pour s'installer seule dans un mas isolé, dans un village catalan. Mais ce retour à la terre ne se fait pas sans difficultés.

Depuis qu'elle s'est enfuie avec un bébé dans les bras, une jeune fille cherche une solution pour rejoindre une île où elle pourrait l'élever dans la joie. Outre le prêtre local qui a engagé un braconnier afin de les retrouver, elle doit faire face aux éléments de la nature sauvage, à la faim et aux hommes qu'elle croise en chemin.

Paru en 1922, ce dialogue paradoxal, à la fois logique et absurde, conformiste et subversif, met en avant la volonté de provocation d'un personnage à la lucidité naïve. Lors d'un banquet réunissant un banquier et l'un de ses amis, ce dernier s'interroge sur ses prétendues convictions anarchistes. Il livre alors un pamphlet contre les révolutionnaires et les intellectuels.

Jeune poétesse punk, Michelle vit à San Francisco où son quotidien est rythmé par les histoires d'amour compliquées, les rencontres amicales et les soirées underground des années 1990.

En partant de son expérience personnelle quand son chat âgé de 11 ans a été condamné par sa maladie, l'autrice relate le deuil causé par la perte d'un animal ayant eu un impact important dans la vie de quelqu'un. En se réfugiant dans la littérature, la musique ou le cinéma, la narratrice relate un cheminement intime dans le parcours de deuil.

Lorsqu'elle vient reconnaître le corps sans vie de son père, qu'elle n'a pas revu depuis dix ans, l'autrice tombe sur des photos de son grand-père paternel, d'origine tchèque, portant des insignes nazis. Elle entame alors une enquête sur son histoire familiale où se mêlent légendes, versions alternatives et littérature, entre un père toxique et mythomane et un aïeul réfugié au nom d'emprunt.