Un tome bonus qui revient sur les façons, parfois créatives, dont certains Faucheurs ont donné la mort. Avec une nouvelle qui clôture l'épilogue du dernier tome Le Glas.

Le thème de cet ouvrage est le deuil d'enfants. L'intention est d'aider les parents Shicoulim (notion en hébreu qui identifie le groupe de parents ayant perdu un ou des enfants) à retrouver du sens, à redevenir vivants, mais aussi d'éclairer tout un chacun sur ce que ces épreuves ont d'indicible et comment elles nous transforment. Il s'agit aussi de témoigner que la mort d'enfants, le suicide en particulier, est un sujet tabou en France, mal accompagné. Après le long chemin de l'acceptation, Jeanne Cousin s'efforce d'être disponible aux petits bonheurs de la vie, comme l'a chanté Léo Ferré, « le bonheur ce n'est pas grand-chose, c'est du chagrin qui se repose ».

Timide et mal dans sa peau, Angèle, interne en 4e, partage sa chambre avec Loélie, une fille au tempérament bien différent du sien. Pourtant, à mesure qu'elle apprend à la connaître, Angèle prend conscience que sous ses airs de fille sûre d'elle-même se cachent de nombreuses blessures.

Alors qu'Alice et Tom enquêtent sur d'étranges apparitions, ils croisent la route d'un ancien ennemi. Pendant ce temps, Wulf et Tilda portent secours au géant Hrothgar, qui vient d'être emporté par des forces maléfiques.