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L. Ypi, professeure de théorie politique à Londres, raconte son enfance en Albanie sous dictature communiste. Elle écrit son amour d'alors pour les pionniers et le leader Enver Hoxha, sa relation avec sa grand-mère ou les files d'attente devant les magasins. En 1990, alors que tout s'apprête à basculer, ses parents s'engagent en politique. ©Electre 2023
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Entre l'établissement de la descendance de l'un des derniers modèles de Van Gogh, la vérification d'une vieille légende familiale, la recherche d'un père dont ne subsiste qu'une photographie ou encore celle d'une mère qui a accouché sous X, la généalogiste retrace dans ce témoignage les dessous d'un métier mal connu. ©Electre 2024
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Mélange audacieux de soul, de psychédélique, de western spaghetti, de disco, de gospel et de hip-hop, Into the blue, le deuxième album solo du multi-instrumentiste Aaron Frazer (de Durand Jones & The Indications) représente l'éventail impressionnant de ses talents sonores. Il y conserve le falsetto inimitable et l'écriture classique qui ont fait sa réputation, mais place Into the blue fermement dans le présent, avec une mentalité hip-hop au coeur de l'album, en tissant différents genres et méthodes de production pour créer quelque chose de nouveau. Into the blue a été conçu, comme tant d'autres disques classiques, à partir d'un véritable chagrin d'amour. Aaron a quitté Brooklyn pour Los Angeles et s'est embarqué dans un voyage qui se reflète dans les thèmes de l'album : le chagrin, la solitude et la recherche de la guérison. Aaron Frazer a écrit sur chaque morceau et a joué plusieurs instruments sur l'album. L'album comporte des moments d'arrangements grandioses, rappelant David Axelrod et Ennio Morricone, contrebalancés par un côté brut, incorporant des enregistrements sur iPhone et des voix en une seule prise. Pour Into the blue, Aaron Frazer a fait appel à Alex Goose, lauréat d'un Grammy, en tant que coproducteur. Ce dernier est connu pour ses recherches et ses collaborations avec des artistes hip-hop tels que Freddie Gibbs, Madlib ou encore Brockhampton. Aaron a également expérimenté les samples pour la première fois sur un disque, en puisant dans des sources inattendues comme le groupe r&b des années 90 Hi-Five. Bien qu'Into the blue soit né d'un chagrin d'amour, Aaron espère qu'il laissera aux auditeurs un sentiment d'optimisme.
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Présentation illustrée des multiples façons d'utiliser le langage et du rôle militant qu'il peut endosser, notamment en s'en servant comme un outil de lutte contre les discriminations, le racisme ou le sexisme. ©Electre 2024
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Voici le portrait émouvant d'une princesse au destin hors du commun : Alice de Battenberg, arrière-petite fille de la reine Victoria, nièce de la dernière tsarine de Russie, sœur de Louis Mountbatten, vice-roi des Indes, belle-fille du roi George Ier de Grèce et mère de Philip d'Édimbourg. Arrière-petite-fille de la reine Victoria, Alice de Battenberg a grandi entre l'Allemagne et l'Angleterre. La jeune fille, malentendante de naissance, se marie en 1903 avec Andréas de Grèce et de Danemark, avec qui elle aura cinq enfants dont Philip, futur duc d'Édimbourg. La Première Guerre mondiale puis la guerre gréco-turque conduisent la Grèce au chaos. Chassée de son pays, une partie de la famille s'installe en France, les deux aînées sont confiées à leur grand-mère en Angleterre. Le couple se déchire. Alice tombe dans une profonde dépression. Diagnostiquée, à tort, schizophrène, elle est internée de force par sa mère et son mari. À son grand désespoir, elle ne verra pas son fils grandir et n'assistera pas aux noces de ses filles. À sa sortie de clinique, elle prend ses distances, s'installe en Allemagne où elle dénonce la montée du nazisme. Au début de la Seconde Guerre mondiale, elle rejoint la Grèce pour secourir les plus démunis et cache chez elle une famille juive. Le 20 novembre 1947, Alice assiste au mariage de son fils avec la future reine Élisabeth. De retour en Grèce, elle fonde un couvent et revêt l'habit de nonne. En 1967, après le coup d'État militaire, de nouveau contrainte à l'exil, Alice est invitée par la reine à résider au palais de Buckingham. Elle vit ses deux dernières années auprès de son fils et noue une relation chaleureuse avec le futur Charles III. Le mémorial de Yad Vashem lui décernera le titre de Juste parmi les Nations. Selon son vœu, la princesse repose à Jérusalem en l'église Marie-Madeleine, à côté de sa tante la grande-duchesse Élisabeth de Russie.
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