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En 1841, Hans Stucky, un jeune meunier suisse, arrive à Venise pour tenter sa chance dans la cité des Doges. En quelques années, ce qui n'était qu'une modeste entreprise de minoterie se métamorphose en un empire commercial.
En 1880, son fils Giovanni emploie plus de quarante personnes et s’approvisionne en grain sur les rives de la mer Noire. Il achète des terrains marécageux aux alentours de Venise, les assèche et y fait cultiver du blé. Il lance également la construction d’un imposant moulin industriel – occupé aujourd'hui par l'hôtel Hilton – sur l’île de la Giudecca. La famille Stucky s'intègre à la haute société : le Tout-Venise se presse aux fastueuses réceptions du Palazzo Grassi, que Giovanni vient d'acheter. En 1910, il est assassiné par l'un de ses anciens employés, un anarchiste. Sa disparition marque le début du déclin de la famille. Giancarlo, son fils, malgré une éducation européenne et cosmopolite, n'a pas le même sens des affaires. La participation des Stucky à l'effort de guerre entame la fortune familiale et, une fois la paix revenue, les fascistes – nouveaux hommes forts du pays – se mettent en travers des entreprises du jeune héritier.
Saga
Emiland Guillerme et François Rabaté documentent une passionnante saga entrepreneuriale, dont l'apogée puis la chute résonnent avec les principaux épisodes de l'histoire européenne. Le récit, qui mêle des prises de vues contemporaines et d'exceptionnelles archives privées, ressuscite la vie quotidienne dans la Venise de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Des entretiens avec des historiens éclairent les circonstances économiques et sociales qui ont rendu possible cette incroyable aventure familiale.
Première épisode de la trilogie marseillaise de Marcel Pagnol - Marius est un jeune homme que la mer exalte. Il aime son père César, bourru et bonhomme, il aime aussi la petite Fanny qui vend des coquillages devant le bar de César. Depuis son enfance, l’envie de courir le monde l’enflamme. Il lutte contre sa folie. Il ne veut pas abandonner son père qui en mourrait peut-être de chagrin, ni la petite Fanny qui ne pense qu’à lui. Et pourtant la mer est là…