Les Misérables est une adaptation cinématographique française du roman éponyme de Victor Hugo par Raymond Bernard, en trois films1 réalisés en 1933 et sortis en 1934.

 

Première partie : Une tempête sous un crâne

Deuxième partie : Les Thénardier

Troisième partie : Liberté, liberté chérie

A peine sortis de l'adolescence et tout juste propulsés sur scène, les quatre musiciens de Téléphone, groupe formé en 1976, deviennent en l'espace de quelques concerts et titres accrocheurs la référence en matière de rock hexagonal. De scène en scène, le public hurle quand Jean-Louis Aubert s'enroule autour de son micro, quand Louis Bertignac arrache des cris à sa guitare, quand Richard Kolinka écrase sa batterie ou quand Corine Marienneau martyrise les amplis. Entre deux titres, dont les classiques "La Bombe humaine" et "Crache ton venin", les musiciens livrent leur vision du monde, de la musique ou de la politique. Des extraits de concerts et d'interviews font découvrir l'univers de ces musiciens qui tentaient alors de vivre avec leurs angoisses et de comprendre ce succès naissant...

Trois années se sont écoulées depuis l'attaque de la Légion. Ayana, une jeune écolière, découvre un oeuf caché au fin fond d'une caverne. La petite fille ne sait pas qu'il contient une créature maléfique qui, une fois née, se nourrira de la haine qu'Ayana éprouve pour le monstre Gamera, qui a tué ses parents. La créature, baptisée Iris par la petite fille, ne tarde pas à devenir gigantesque, jusqu'au jour où elle absorbe Ayana. Alors que les Gyaos attaquent la ville, Gamera et Iris vont se livrer une bataille sans merci dans les rues de Tokyo...