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Dans le métro de Berlin, un homme mystérieux portant un masque en métal distribue des invitations pour la projection d'un film d'horreur au cinéma Métropol. Une vingtaine de personnes se laissent tenter et se retrouvent dans la salle gigantesque. Mais la séance tourne rapidement au cauchemar. Une des spectatrices, blessée dans les toilettes, se transforme en démon. Peu à peu, des effluves maléfiques se propagent dans la salle et d'autres personnes se transforment en monstres affamés de chair fraîche, attaquant leurs voisins. Les spectateurs indemnes tentent de s'enfuir, mais découvrent que toutes les issues sont bloquées...
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Touché par la grâce, "À nos amours" de Maurice Pialat marque en 1983 l'éclosion d'une actrice et la rencontre d'un film d'auteur avec son public.

Cinquième long métrage de Maurice Pialat, À nos amours raconte une époque, celle de la fin la libération sexuelle, et, en filigrane, une rencontre, celle de Sandrine Bonnaire, alors âgée de 15 ans, et du réalisateur, qui joue aussi le rôle de son père. Leur relation, chaste mais très forte, est au centre du film. Encore dans les rondeurs de l'adolescence, l'apprentie comédienne illumine chaque plan et joue d'instinct, ce qui enchante Pialat qui n'aime pas les acteurs "qui pensent".

L'huile sur le feu
Nourri de témoignages denses et de séquences clés, ce documentaire évoque cet éblouissement et un tournage "apaisé", même si le réalisateur continue néanmoins à jeter de l'huile sur le feu quand les choses ronronnent. Exemple : la scène de la réception dans laquelle Pialat – son personnage est censé être mort – fait irruption au milieu des convives, pour mieux capter leur effarement. Le réalisateur David Thompson a retrouvé les principaux protagonistes de cette aventure, à commencer par Sandrine Bonnaire, qui explique avec émotion à quel point la rencontre de Pialat a changé sa vie. Leurs témoignages permettent de mieux saisir les méthodes de travail du réalisateur qui, s'il accueillait favorablement l'imprévu, n'était pas adepte de l'improvisation totale. Tous restent marqués par cette collaboration et ce film qui apportera au réalisateur la reconnaissance qu'il attendait. Parmi eux, citons Arlette Langmann, ancienne compagne de Pialat et scénariste, Florence Quentin, première assistante, le directeur de la photo Jacques Loiseleux, l'acteur et critique Jacques Fieschi, Dominique Besnehard, chargé du casting. Sur l'insistance de Pialat, il s'attribuera l'un des rôles clés, celui du frère, dans lequel il sera remarquable.

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Un croustillant classique signé Marcel Pagnol et servi par l'immense Raimu.

Une matinée d'effervescence au village de Sainte-Cécile, en Provence : Aimable Castanier, le nouveau boulanger, prépare sa toute première fournée et chacun veut donner son avis. Tout le monde remarque aussi la beauté de sa jeune épouse Aurélie, qui tient la caisse. Mais Aurélie ne regarde que Dominique, le berger du marquis Castan de Venelles. Le coup de foudre se concrétise dès la nuit suivante par la fuite des tourtereaux sur un cheval volé. À son réveil, Aimable doit se rendre à l'évidence : il a été trompé, et menace de stopper sa production de pain tant que sa femme ne revient pas. Tout le village se mobilise.

Cuit à point
Aurélie, la femme volage et bien plus jeune que son ours de mari, a beau partir et infailliblement revenir depuis 1938, Pomponnette, la chatte fugueuse, essuyer ad vitam æternam les insultes d'un Raimu revanchard et touchant, rien n'y fait : le film de Pagnol défie le temps et se redécouvre à chaque diffusion. Outre la composition d'un Raimu qui sublime le pathétique de sa condition de cocu amoureux, le film se démarque par la chronique de ce village gaulois où fâcheries antédiluviennes, duels de moralistes (entre le curé et le maître d'école) mais aussi entraide et bonheur de vivre ensemble cohabitent. Dans cette cocasse galerie de portraits, le drame est supplanté par la générosité, laquelle invite chacun à oublier et permet à la vie de continuer son cours. Émouvant.

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