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La débâcle - Février 1940. Tandis que la Pologne, dépecée, commence seulement à enterrer ses morts, et que l'Allemagne fourbit ses armes pour la prochaine offensive, à Paris et, dans une moindre mesure, à Londres, on se berce encore d'illusions. Le 10 mai, la Wehrmacht envahit la Hollande, le Luxembourg et la Belgique...
L’histoire de ces trois grandes puissances, entraînées dans le maelström d’un conflit qui s’étendra bientôt à la planète entière, est ici racontée uniquement par le biais de leurs actualités cinématographiques. Celles-ci nous révèlent, en ces heures dramatiques, ce que les populations regardaient et ce que les pouvoirs voulaient faire savoir, ou dissimuler.
Derrière les lignes
C’est au décryptage de cette véritable guerre des images que nous convie le film, dans la lignée de Deux cents jours pour refaire le monde, réalisé pour ARTE par Jean-Christophe Rosé en 2005. On y voit la guerre elle-même, évidemment, avec ses épisodes et ses lignes de front, mais aussi ce qui se passe derrière les lignes, d’où émerge l’esprit du moment. Derrière le sens caché des images se révèlent les vrais enjeux en cours.
Après une longue cure de désintoxication, Frankie Machine revient à Chicago, où il devient croupier dans une salle de jeu clandestine. Formidable joueur de cartes, Frankie a malheureusement mis le doigt dans l'engrenage infernal de la drogue. Harcelé par sa femme Zosh, paralysée des deux jambes depuis un accident qu'a provoqué Frankie sous l'emprise de stupéfiants, il ne trouve la paix intérieure qu'en abusant des paradis artificiels. Il est pourtant bouleversé lorsqu'il rencontre la jeune Molly, sa voisine, une entraîneuse qui lui redonne peu à peu le goût de vivre... On doit le générique du film à Saul Bass, et la musique originale à Elmer Bernstein. Pour la première fois au cinéma, le jazz est utilisé pour l'intégralité de la bande originale.