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En 1850, la pianiste et compositrice Clara Schumann accompagne son mari Robert et ses enfants à Düsseldorf. Après de longues et éreintantes années de tournée, Robert Schumann – célèbre compositeur et chef d’orchestre – doit y occuper un poste de directeur musical. Cependant, l’homme a du mal à supporter son angoisse face à l’orchestre et subit des crises de plus en plus fréquentes. Clara joue en public les morceaux de son mari avec un immense succès, contribuant ainsi à la popularité de ses oeuvres. Lors de son dernier concert à Hambourg, elle fait la connaissance de Johannes Brahms, 14 ans de moins qu’elle, dont le talent impressionne son mari. Mais ce n’est pas seulement la virtuosité du pianiste qui, chez Brahms, séduit Clara…
Depuis bientôt quinze ans, le problème des déchets à Naples détruit l'une des régions les plus fertiles d'Italie : la Campanie. Il est intimement lié à la politique, l'économie, la santé publique et ne concerne pas seulement la région mais tout le pays. Les auteurs ont tenté de le raconter en partant du célèbre « triangle de la mort », où le taux de tumeurs est le plus élevé d'Italie et en suivant Raffaele del Giudice, un des responsables de l'association environnementale Legambiente.
Un homme a disparu dans la forêt. Quatre histoires partent et reviennent à lui pour mieux croiser les petites ironies de l'existence. Il y a Lucette, la femme de cet homme qui vit dans l'attente de son retour ; Louis, un jeune père de famille qui traverse à distance un passage trouble dans sa relation de couple ; Chantal, une réceptionniste d'hôtel qui rêve d'une vie à deux et Marcel, un ancien joueur compulsif confronté aux aléas de la vieillesse... L'un des grands films québécois de l'année 2008. Meilleur Premier Film Canadien au festival de Toronto et Bayard d'Or au Festival de Namur, il a remporté quatre Jutra (les César canadiens) : Meilleur Film, Meilleure Réalisation et Meilleur scénario pour Stéphane Lafleur et Meilleur Acteur pour Réal Bossé.
Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d'Algérie et Djamilah Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste, et la femme. Puis disparaît huit ans. A son retour, Vergès défend les terroristes de tous horizons (Magdalena Kopp, Anis Naccache, Carlos) et des monstres historiques tels que Barbie. D'affaires sulfureuses en déflagrations terroristes, Barbet Schroeder suit les méandres empruntés par " L'avocat de la terreur ", aux confins du politique et du judiciaire. Le cinéaste explore, questionne l'histoire du " terrorisme aveugle " et met à jour des connexions qui donnent le vertige.
Première partie : On appelait "internationalistes" les combattants cubains engagés sur les fronts de la guérilla en Afrique et en Amérique latine. Dans les années 60, les interventions en Afrique ont été nombreuses, mais restent méconnues. C'est au Congo, peu après l'assassinat du leader indépendantiste Patrice Lumumba, que Che Guevara reprend le maquis pour prêter main-forte aux rebelles. Opérant sous une fausse identité ("Tatu", un prénom swahili), le guérillero, secondé par une centaine de Cubains noirs, tente, en 1965, de faire tomber le pouvoir "néocolonialiste" installé à Kinshasa. Cette première aventure se solde par un fiasco militaire. Mais un an plus tard, La Havane s'attaque au maillon faible de l'empire lusophone, la Guinée, et fournit un soutien technique aux troupes d'Amilcar Cabral, dont la lutte aboutit à l'indépendance du pays en 1974.
Une délégation indienne, dirigée par Kuldip Badhwar, se rend en France pour concrétiser l'achat de quatre réacteurs nucléaires nouvelle génération. Le représentant indien est accueilli à la centrale de Cateneau par Blandine Maurizet, chargée par le ministère de l'Industrie d'organiser la visite du site. Kuldip Badhwar exige des garanties sur la sûreté des installations et demande un test d'arrêt d'urgence du réacteur. Le ministère, sûr de sa technologie, donne son accord. Mais la manœuvre, qui ne devait être qu'une simple opération de routine, vire au cauchemar... Quand la réalité rattrape la fiction : le 30 septembre 2008, le premier ministre indien Manmohan Singh et le président français Nicolas Sarkozy ont signé un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil. Pour la France, les retombées commerciales seraient énormes : on estime que, en contrepartie, les entreprises françaises pourraient rafler 20 milliards d'euros de contrats en Inde dans les quinze prochaines années.