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Paris, 1913, Coco Chanel est toute dévouée à son travail et vit une grande histoire d'amour avec le fortuné Boy Capel.
Au Théâtre des Champs-Élysées, Igor Stravinsky présente le Sacre du Printemps. Coco est subjuguée. Mais l'oeuvre, jugée anticonformiste, est conspuée par une salle au bord de l'émeute.
7 ans plus tard, Coco, couronnée de succès, est dévastée par la mort de Boy. Igor, réfugié à Paris suite à la révolution russe, fait alors sa connaissance. La rencontre est électrique.
Coco propose à Igor de l'héberger dans sa villa à Garches, pour qu'il puisse travailler. Igor s'y installe, avec ses enfants et sa femme.
Commence alors une liaison passionnée entre les deux créateurs...
Constantinople 1910. Trop de chiens errants dans les rues de la ville. Le gouvernement nouvellement en place, influencé par un modèle de société occidentale, cherche auprès d'experts européens les moyens de s'en débarrasser avant de décider, seul, de déporter 30 000 chiens sur une île déserte, au large de la ville. A travers le double regard d'une chienne qui vient de mettre bas et du gendarme qui l'encage, on suit l'exil forcé de ces chiens dont la plupart mourra de faim et de soif.
Paul est un paysan fruste qui ne chérit que ses bêtes. Emprisonné dans son incapacité à transmettre la tendresse, il rudoie ses proches. Dans son ombre, sa femme souffre d’un mal qu’il refuse d’admettre. Elle arrête de travailler à ses côtés et soudain tout s’effondre pour Paul. Il se résout à engager un ouvrier. Cette rencontre va bouleverser sa vie, l’engageant pour la première fois à s’interroger sur son rapport aux femmes.
Après douze ans d'absence, le jeune cinéaste revient auprès de ses parents dans un petit hameau de Haute-Savoie. Quand leur pavillon avait été vendu aux enchères suite à la faillite de son père, il les avait littéralement fuis. Eux sont restés là à vivoter dans des logements de fortune, sans eau courante, avec pour seul bien sauvé de la déroute, un jardin qu’ils cultivent amoureusement. Comment revenir, renouer les liens après tant d'années de relation en pointillé ? L'ART DE LA DISTANCE Délicate partition à quatre temps qui, de l’automne à l’hiver, conte la reconquête d’un amour perdu, Hors saison tire toute sa force et sa qualité d’un dispositif qui travaille avec soin la distance : partant des cadres essentiellement fixes, observant d'abord le trio qu'il forme avec ses parents par les yeux d'un cadreur extérieur, le cinéaste s’empare de la caméra pour renouer directement avec ses parents, s’approcher de plus en plus près. Jusqu’à cet instant fragile où sa main effleure celle de son père. Jusqu’à ce que la caméra caresse le visage de sa mère… Une rare émotion cinématographique qui se conclut par un bain de lumière aveuglant qui absorbe l’image fragile d’un père.