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Aujourd'hui, Nathalie veut assister au spectacle de sa fille. Elle veut aussi sentir que son mari l'aime encore, que ses enfants la voient toujours comme leur mère. Cette journée est celle d'une femme qui cherche à se reconstruire. Mais pour cela, elle ne dispose que de quelques heures.
À la tête du régime turc depuis 2002, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a défini la démocratie comme "un autobus dont ont descend une fois le terminus atteint". C'est pourtant son gouvernement qui a ouvert le procès des généraux putschistes de 1980. Une nouvelle constitution devrait d'ailleurs remplacer le texte écrit par ces mêmes militaires à la fin de l'année. Garantira-t-elle une véritable démocratie ou renforcera-t-elle les ambitions du Premier ministre ? Au moment où les révolutions arabes se cherchent un futur et où l'Europe traverse une crise, la Turquie se présente comme un modèle conjuguant islam et laïcité, démocratie et croissance. Faut-il s'y fier ? Liberté de la presse en berne
Ce road movie nous entraine de Gaziantep, vitrine du parti de Recep Tayyip Erdogan et symbole du boom économique du pays, à la prestigieuse université ODTU d'Ankara où voisinent des étudiants rebelles, kémalistes et islamistes. Il fait aussi étape près de la frontière, à Kilis, où des réfugiés syriens rêvent d'un futur bâti sur le modèle turc et à Diyarbakir, la capitale du Kurdistan turc, où les discussions s'enflamment sur le combat pour la liberté de la presse. Le pays compte 106 journalistes emprisonnés, dont une majorité de Kurdes.
Sur Istiklal, les Champs-Élysées d'Istanbul, les manifestations se succèdent. Les féministes dénoncent la dégradation des droits des femmes. Les lycéens demandent la libération de plusieurs des leurs et les islamistes manifestent leur soutien aux Palestiniens et aux Syriens.Comme dans chaque numéro de I love democracy, Daniel Leconte prolonge la réflexion en compagnie du ministre des Affaires européennes Egemen Bagis, de l'historien Ahmet Insel et de la romancière féministe Elif Shafak, analysant avec eux les paradoxes de cette "démocratie turque" qui fait rêver une partie du monde arabe.
Alors qu'elle joue à un jeu innocent, la petite Agnieszka assiste à une rupture familiale qui la pousse peu à peu à se renfermer sur elle-même. Ce film au souffle poétique, réalisé avec de la peinture sur verre et du papier découpé peint laisse une grande place à la musique.
La mort d'un adolescent provoque une émeute dans une cité de banlieue. Slimane, 27 ans, enfant illégitime, est envoyé par sa mère à la recherche de son jeune frère. Slimane croise Omar, ferrailleur de 50 ans, qui l'accompagne dans sa traversée de la nuit.
Alfred J... ou l'histoire du syndicalisme au Canada français. Voici de nouveau les ouvriers qu'il nous a été donné de connaître au cours du premier épisode. Nous sommes maintenant en 1939, Alfred J. et ses camarades déclenchent une grève pour protester contre des congédiements. Mais leur geste a été un peu précipité... et les ouvriers apprennent l'importance de la force dans les relations patronales-ouvrières. La situation provoquée par la guerre aidant, ces relations s'assouplissent et le président du syndicat, Alfred J., se voit offrir un poste administratif dans l'entreprise. Il refusera et expliquera pourquoi...
L'occupation et la libération de la France, de 1940 à 1944, vues à travers les films et les clichés amateurs de Français et d'Allemands, témoins de ces années de guerre.Racontée à hauteur d'homme par ceux qui l'on vécue - en dépassant les regards stéréotypés que chaque camp a longtemps porté sur l'autre -, cette histoire sera racontée par les films et photos de famille retrouvés de part et d'autre de la frontière et commentés par les protagonistes eux-mêmes.
Comment les français, la population française (et non l'Etat français) se sont-ils comportés avec l'occupant ? Comment les soldats allemands ont-ils vécu ces 4 années au contact des français ?
Un travail inédit mené sous le double regard des conseillers historiques Pierre Laborie et Stefan Martens.