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Nouveauté
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CDDisponible
Depuis ses débuts en 2001, le célèbre DJ et producteur de Brighton Simon Green - aka Bonobo ,a vu sa musique illustrer de nombreuses pubs et émissions en tous genres. Après un 5e album en avril dernier sur le célèbre label de ses débuts Ninja Tune, il apparaissait comme une évidence que son nom soit enfin accolé à celui de la fameuse collection Late Night Tales. Sa sélection toute en douceur fait la part belle au jazz, de Bill Evans aux cuivres du Menehan Street Band ou de l'Hypnotic Brass ensemble en passant par la harpe de la grande Dorothy Ashby. Il s'empare aussi des voix soul de l'incontournable Nina Simone et du plus méconnu Darondo ou des plus récents Eddi Front ou Peter and Kerry pour des ballades en apesanteur. Bien évidemment , de Lapalux à Airhead, l'électro ambient est de rigueur, marque de fabrique de l'oeuvre d'un artiste qui décide ici de reprendre le grand Donovan (Get Thy Bearings) pour l'exercice obligé de la reprise !
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Nouveauté
Tome :
35
Bande dessinéeNon disponible
Rayon-de-Miel, l'ourson que Yakari a sauvé des eaux de la Rivière de l'oubli, retrouve son ami le papoose. Sa mère, très possessive, consent à le laisser partir à condition qu'il revienne rapidement sinon elle risque de se laisser dépérir. Rayon-de-Miel tarde cependant à revenir car il a été capturé par Arc-Tendu, le chasseur fou.
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Nouveauté
LivreDisponible
Impitoyable, indiscret et hardi, ce journal brosse une galerie de portraits de ceux qui fréquentèrent le Mercure de France : Vallette, Rachilde, Gourmont, Valéry, Duhamel, Fargue, Giraudoux, etc. et décrit la vie même de l'auteur avec une sincérité inflexible, celle d'un homme égocentrique et désabusé.
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Bande dessinéeDisponible
Dans Enfances (septembre 2011), Sempé s'attardait avec douceur et mélancolie sur le bonheur de l'insouciance. Avec son nouvel album Bourrasques et accalmies, il passe à l'âge "adulte" et le grand enfant qu'il est s'amuse à en croquer les contradictions. Entre bourrasques et accalmies donc, on retrouve, éclatante, la poésie de Sempé, ce rire nécessaire qui invite nos esprits (trop) sérieux à poser un regard différent sur le monde, les hommes et soi-même. Une véritable thérapie comme le dit Sempé : "Quand je me suis mis à dessiner, c'était peut-être une sorte de thérapie, j'ai eu envie de dessiner des gens heureux. De faire du dessin humoristique avec des gens heureux. Ce qui est de la folie. Mais c'est mon caractère". Cent-vingt petites scènes savoureuses content ces éclaircies pendant la tempête quand chacun tente de maintenir le cap ou de le garder.@Babelio
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Film VODNon disponible

Le parcours d’un journaliste de la presse à sensation dans la jungle romaine, faune bigarrée en agitation constante. Un film sensuel et désarçonnant, une œuvre totale dans laquelle Fellini concentre certaines de ses obsessions.

Marcello, chroniqueur mondain, sillonne Rome à la recherche du scandale et du sensationnel. Toujours entouré d’une nuée de paparazzi, il fréquente avec détachement les lieux où se presse la foule…

L'ambiguité
Comme l’a lui-même raconté Fellini, une image est à l’origine de La dolce vita : celle d’un style de robe qui était à la mode à la fin des années soixante. Un vêtement élégant mais coupé d’une façon qui dissimulait le corps féminin. Quelle créature se trouvait à l’intérieur ? Était-ce un être plein de vie et pur, comme son apparence pouvait le faire penser ? Ou bien un squelette rongé par le vice et la solitude ? Pour filmer la réalité, Fellini en filme l’idée, le rêve. Il le fait avec une ferveur et un investissement proches du sentiment religieux. Mais il ne se revendique d’aucune chapelle. Avec La dolce vita, il rompt les amarres qui l’attachent à l’école néoréaliste. Pour lui, les maîtres sont du côté de Jung et de Buñuel, du décryptage des pulsions contradictoires et de la surréalité qui en dit long sur le monde dans lequel nous vivons. Sans préjuger des mœurs observées, Fellini agit en moraliste. La décadence l’obsède, mais il ne la met pas sur le compte de son époque – et ne propose pas non plus de remède. En dépit d’Anita Ekberg, naïade inattendue de la fontaine de Trévi, et malgré l’agitation mondaine des fêtes qui se succèdent, le film tend à l’immobilité. "Je prends la température d’un monde malade ; mais si le mercure indique 40 °C au début du film, il en indique également 40 à la fin. Rien n’a changé." Les personnages répètent les mêmes actions, s’enferrent dans des modes de fonctionnement. À force d’en avoir trop vu, ils regardent sans voir, tel, à la fin du film, l’atroce poisson échoué sur le rivage qui contemple d’un œil morne l’immensité du ciel.

Palme d'or du Festival de Cannes 1960

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Film VODNon disponible
Sur leur tombe, on a inscrit "Ni avec toi, ni sans toi". Madame Jouve, qui a bien connu Bernard et Mathilde, raconte comment la passion a dévoré le couple. Chacun pourtant avait "refait sa vie" avec succès, mais il y a des sentiments plus forts que tout... Dans la lignée de "La Peau Douce" et "Les Deux Anglaises...", l'avant dernier film de Truffaut et l'un des plus douloureux # Version restaurée et remastérisée HD
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