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Bande dessinéeNon disponible
Ceux qui aiment ses personnages longilignes au grand nez et à l'humour cynique ont de quoi se réjouir, le Voutch nouveau est arrivé. On y retrouve ses thèmes chers : le couple toujours mis à mal - cet homme au restaurant, disant à sa compagne : «Vraiment, Chloé, votre réaction me surprend beaucoup : d'après maman, je suis l'homme idéal.» -, notre société de consommation, mais aussi l'art qui se prend au sérieux - cette femme horrifiée disant à sa femme de ménage : «Surtout, ne me dites pas, Teresa, que vous avez nettoyé le four avec ma sublime éponge postmoderne numérotée Stefanini De Lorca !»... Album après album, le succès de Voutch ne se dément pas. On peut même parler aujourd'hui de Voutchmania. Voutch, qui a débuté dans le dessin d'humour après une carrière de créatif dans la pub, a imposé rapidement son style incisif et élégant, sa vision grinçante de notre monde. Chacune de ses nouveautés est un événement. Voutch a déjà publié, au cherche midi, Le Grand Tourbillon de la vie (1998), Le Pire n'est même pas certain (1999), L'Amour triomphe toujours (2000) Personne n'est tout blanc (2002) et Chaque jour est une fête (2004). H a également publié cette année un agenda 2007 Les envoûtants mystères de l'amour. Ses dessins paraissent dans Psychologies, Le Point, Madame Figaro.@ Babelio
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À leur remontée d'une plongée sous-marine dans les eaux de Porto Rico, Harold, sa femme Evelyn et Martin, leur avocat, découvrent que l'air a momentanément été irrespirable. De retour à San Juan, les trois vacanciers réalisent qu'ils sont peut-être les seuls survivants d'une terrible catastrophe... Les relations entre les deux hommes se dégradent, à mesure que s'amplifie l'attirance d'Evelyn pour l'avocat et la jalousie d'Harold.
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Serge July rencontre les principaux artisans de Tess, dont Roman Polanski, Nastassja Kinski et Claude Berri. Récit d’une aventure cinématographique.

En 1978, Roman Polanski décide de tourner un mélodrame en costumes adapté du roman de Thomas Hardy Tess d’Urberville, qui était l’un des préférés de Sharon Tate, la première femme du cinéaste, assassinée en 1969 (Tess lui est dédié). Avec Tess, qui décrit un monde agricole encore largement traditionnel, Polanski renoue aussi avec son enfance en Pologne : pendant la guerre, ses parents ayant été déportés, il fut recueilli par des paysans chez qui il apprit les travaux des champs. Longuement interrogé par Serge July, Polanski explique en quoi le tournage fut une expérience cathartique. Tess fut d'ailleurs un moment marquant pour tous ceux qui y participèrent. Nastassja Kinski, 17 ans à l’époque, explique en quoi le film constitua une étape essentielle vers sa vie d’adulte. Le producteur Claude Berri y mit toute sa passion et, faute de financements extérieurs, hypothéqua ses biens pour le boucler. Si le tournage fut une fête, le montage fut un calvaire, Polanski et Berri se déchirant notamment sur la longueur du film (Berri avait compté sur 2h30mn mais la première version faisait plus de 3h06mn !).

Outre Roman Polanski, Nastassja Kinski et Claude Berri, Serge July a notamment rencontré Philippe Sarde (qui a composé la musique), Pierre Grunstein (producteur exécutif), Anthony Powell (chef costumier), Leigh Lawson (l’acteur qui joue Alec d’Urberville). Le documentaire mêle leurs témoignages à des extraits du film et des photos noir et blanc du tournage, ainsi qu’à des montages d’images d’actualité qui servent à remettre Tess dans le contexte de l’époque. Défilent ainsi, à l’arrière-plan du tournage, les luttes sociales et les bouleversements politiques de la fin des années 1970.

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