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Tome :
35
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Rayon-de-Miel, l'ourson que Yakari a sauvé des eaux de la Rivière de l'oubli, retrouve son ami le papoose. Sa mère, très possessive, consent à le laisser partir à condition qu'il revienne rapidement sinon elle risque de se laisser dépérir. Rayon-de-Miel tarde cependant à revenir car il a été capturé par Arc-Tendu, le chasseur fou.
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Impitoyable, indiscret et hardi, ce journal brosse une galerie de portraits de ceux qui fréquentèrent le Mercure de France : Vallette, Rachilde, Gourmont, Valéry, Duhamel, Fargue, Giraudoux, etc. et décrit la vie même de l'auteur avec une sincérité inflexible, celle d'un homme égocentrique et désabusé.
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Dans Enfances (septembre 2011), Sempé s'attardait avec douceur et mélancolie sur le bonheur de l'insouciance. Avec son nouvel album Bourrasques et accalmies, il passe à l'âge "adulte" et le grand enfant qu'il est s'amuse à en croquer les contradictions. Entre bourrasques et accalmies donc, on retrouve, éclatante, la poésie de Sempé, ce rire nécessaire qui invite nos esprits (trop) sérieux à poser un regard différent sur le monde, les hommes et soi-même. Une véritable thérapie comme le dit Sempé : "Quand je me suis mis à dessiner, c'était peut-être une sorte de thérapie, j'ai eu envie de dessiner des gens heureux. De faire du dessin humoristique avec des gens heureux. Ce qui est de la folie. Mais c'est mon caractère". Cent-vingt petites scènes savoureuses content ces éclaircies pendant la tempête quand chacun tente de maintenir le cap ou de le garder.@Babelio
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Un album animé pour découvrir les dessous de la ville. A chaque double page, un grand rabat à soulever permet d'examiner ce qui se cache. En surface, des volets révèlent d'amusants détails sur l'intérieur des bâtiments, des boutiques, etc.
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"Ce premier concert offre un programme musical autour des racines de Bach, tout ce carrefour d’influences dont le jeune Jean-Sébastien s’est nourri. On y redécouvre des compositeurs dont la musique est d’une profondeur et d’une vérité extraordinaires ; je pense à par exemple à Philipp Erlebach, Nicolaus Bruhns, Daniel Speer, Johann Christoph Bach… " - Raphaël Pichon.

Avec Sabine Devieilhe, Maïlys de Villoutreys, Perrine Devillers, Lucile Richardot, Paul-Antoine Benos-Djian, Laurence Kilsby, Antonin Rondepierre, Tomáš Král, Christian Immler et Renaud Brès.

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Portrait d’une immense artiste et d’une icône à l’irrésistible espièglerie. 

Depuis près de soixante ans, elle enchante l’Amérique à coups de hits devenus planétaires, de "Jolene", reconverti brûlot indie rock par les White Stripes, à "I Will Always Love You", dont la reprise par Whitney Houston reste la chanson d’une artiste femme la plus vendue de tous les temps. Choucroute peroxydée et combinaisons moulantes à paillettes, la reine absolue de la country a su en outre s’attirer tous les suffrages par ses aphorismes – les "dollismes" – et sa générosité de businesswoman philanthrope. Immense auteure-compositrice-interprète autant que virtuose de l’autodérision – "Ça coûte cher d’avoir l’air bas de gamme !" –, Dolly Parton, née en 1946, grandit en Cendrillon dans un cabanon sans eau ni électricité des Appalaches auprès de onze frères et sœurs, avant d’emporter, à 17 ans, sa voix de soprano, sa guitare et son rêve de devenir star dans un car pour Nashville. Sûre de son talent, celle qui d’emblée prévient "Just because I'm blonde, don't think I'm dumb" ("Juste parce que je suis blonde, ne crois pas que je suis idiote") s’émancipe vite de ses pygmalions pour écrire trois mille chansons et vendre cent millions de disques au cours d’une carrière hors norme. Jouant de sa caricature, l’autoproclamée Backwoods Barbie ("Barbie de la cambrousse"), titre d’un album de 1967, s’honore de servir de modèle aux drag-queens : "Si j’avais été un garçon, j’en aurais été une, c’est sûr"… Plus équitable qu’engagée, mais surtout courageuse et maligne, Dolly, qui a ouvert un parc d’attractions à son nom dans le Tennessee, sait faire entendre la voix de la tolérance. En plein mouvement Black Lives Matter, cette fille du Sud profond rappelle ainsi : "Il n’y a pas que nos petits culs de blancs qui comptent." Taylor Swift, qui se réclame de son héritage, raconte que, lors d’un concert, son aînée pré #MeToo aurait taclé un importun qui lui hurlait sa flamme d’un sobre : "Je t’avais dit de rester dans le camion."
 

"Mae West de Nashville" 
Retraçant la flamboyante carrière de cette légende vivante de la country – vénérée par Beyoncé qui, à son tour, a repris "Jolene" –, ce documentaire montre comment Dolly Parton, icône queer, a su conjuguer extrême artificialité et vraie profondeur. Car derrière ses extravagants costumes et son maquillage outrancier, la "Mae West de Nashville", attachée à ses Appalaches natales, raconte dans ses textes son intimité et sait y insuffler la gravité d’enjeux de société. Avec sa musique, un inébranlable optimisme qui voile sa mélancolie, et son espièglerie, "sainte Dolly" réussit à fédérer une Amérique fracturée, ralliant à sa bannière colorée Blancs et Noirs, progressistes et conservateurs. Féministe par le parcours plus que par le discours, elle s’investit dans de justes causes, pourvoyant en bibliothèques les enfants privés de livres ou participant en 2020 au financement  de la recherche sur le vaccin contre le Covid-19. Au fil de ses apparitions télévisées explosives et en chansons, le réjouissant portrait d’un phénomène attachant qui n'a jamais rendu de comptes qu’à Dieu. 

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Acteur, réalisateur, et plus récemment activiste… : Sean Penn sait tout faire. Élevé dans la contre-culture des sixties par des parents appartenant au milieu du cinéma – son père a été blacklisté sous le maccarthysme –, il y poursuit son chemin "un peu par hasard" une fois devenu jeune adulte. Il va y incarner une phénoménale galerie d’outsiders qui lui collent à la peau. Se tenant souvent à la frontière ténue qui sépare le jeu et la vraie vie, jusqu’à rejoindre la police de Los Angeles durant le tournage de Colors (1988), il choisit une trajectoire aux antipodes des rôles de jeunes premiers que sa belle gueule aurait pu lui offrir, se démarquant d’emblée d’autres acteurs de sa génération, comme Tom Cruise, qu’il croise à ses débuts dans Taps (1981). Profondément rétif au miroir lisse que l’industrie hollywoodienne s’emploie à tendre à l’Amérique, ce contestataire dans l’âme n'y trouve sa place que pour en brouiller l’image, et mettre en lumière les oubliés, les marginaux et les rebelles. Avec à la clé, entre autres, deux Oscars en 2004 et 2009 pour ses rôles de truand endeuillé dans Mystic River, de Clint Eastwood, et de militant pour la cause LGBT devenu maire dans Harvey Milk de Gus Van Sant. 
 
Wild Sean 
À la fois viscéralement américain et en rupture avec certaines valeurs de son pays, Sean Penn a embrassé la dégaine et le way of life du mauvais garçon pour mettre en lumière l’autre Amérique, celle qui prend la tangente, quitte à se perdre – à l’image du brillant diplômé Christopher McCandless, qui plaque tout pour partir seul sur la route, et dont il adapte l’histoire en 2007 dans Into the Wild. Dans sa vie, ses films et ses rôles, son choix résolu de la marge lui a permis de sillonner différentes strates de la société pour incarner tour à tour le vagabond et le dandy, le migrant et l’officier déviant, le libre-penseur et des créateurs de toutes sortes, mais toujours des fortes têtes. Brassant un riche matériau constitué d’extraits de films et d’entretiens d’archives, ce documentaire explore le profond désir de liberté de cet acteur et son rêve d’habiter une terre vierge, au sens propre comme au figuré.  

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Aventures rocambolesques et humour noir : une comédie "british" trépidante, emmenée par un casting haut en couleur : Oliver Reed, Diana Rigg, Telly Savalas, Curt Jurgens et Philippe Noiret.

Londres, début du XXe siècle. Une journaliste débutante, Sonya Winter, décide d’enquêter sur une mystérieuse organisation criminelle, le Bureau des assassinats. Son dirigeant, Ivan Dragomiloff, se targue d’agir pour le bien commun, n’acceptant que des missions dûment motivées sur le plan moral. La jeune femme le défie en lui commandant, en échange d’une forte somme d’argent, de se faire assassiner lui-même pour avoir péché par orgueil et cupidité. Dragomiloff, joueur, en profite pour mettre à l’épreuve les tueurs qui travaillent pour lui. Mais son associé, qui est également le commanditaire de l’enquête de Sonya, nourrit d’autres projets pour le Bureau…

Aventures à l’anglaise
Libre adaptation d’un roman inachevé de Jack London, remanié par l'auteur de polars Robert Lloyd Fish, cette comédie d’aventures au point de départ aussi tordu qu’original embarque le spectateur dans l’Europe de la Belle Époque, pour un voyage semé de morts loufoques et de surprises. Située à l’aube de la Première Guerre mondiale, l’intrigue tourne en dérision les organisations interétatiques et leurs luttes intestines à travers un joyeux jeu de massacre, sur un rythme et dans des décors qui évoquent les James Bond de l’époque. Deux des vedettes du film, Diana Rigg (la fameuse Emma Peel de Chapeau melon et bottes de cuir) et Telly Savalas, figurent d’ailleurs au casting d’Au service de sa Majesté, également sorti en 1969. Ils sont ici secondés par une troupe d’acteurs hauts en couleur – parmi lesquels Philippe Noiret –, qui s’en donnent à cœur joie dans la parodie. 

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Depuis la révolution de l’échographie, mise au point à Glasgow dans les années 1950, imagerie et tests de dépistage prénatals n’ont cessé de se perfectionner. Si ces avancées permettent de sauver des vies, elles suscitent également des interrogations profondes. Certains futurs parents se trouvent ainsi placés devant des choix déchirants, dont celui de garder ou non un enfant viable mais porteur d’un handicap, comme la trisomie 21, désormais détectée dès le premier trimestre de grossesse par une simple prise de sang. La situation s'avère plus complexe encore, pour le corps médical comme pour les futurs parents, si l’anomalie est décelée à la deuxième échographie, soit au-delà du délai légal pour pratiquer une intervention volontaire de grossesse. 
 
L’ombre de l’eugénisme 
Autour de médecins, de bioéthiciens et de parents douloureusement concernés par cette question, le film dresse un panorama des progrès fulgurants réalisés par la science en l’espace de moins d’un siècle, et de la panoplie d’outils aujourd’hui disponibles pour donner toutes ses chances à l’enfant à naître – de la chirurgie laser réalisée in utero aux échographies fœtales assistées par l’intelligence artificielle en passant par la fécondation in vitro avec diagnostic génétique préimplantatoire. Mais derrière ces techniques de pointe plane parfois l’ombre dangereuse de l’eugénisme. Face à la tentation de créer des bébés parfaits, voire "sur mesure", le défi majeur, aujourd’hui, n’est plus technique ni scientifique, mais bel et bien éthique… 

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