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«Au fond, il faudrait s'interdire de commenter un album de Sempé, ce qui ne serait pas pour lui déplaire. Par un mouvement des sourcils conjugué avec un sourire complice à la commissure des lèvres et un léger mouvement de la main mais qui en dirait long, il suffirait d'encourager l'humanité à se le procurer toutes affaires cessantes, pour son édification personnelle et donc notre bonheur à tous. Sans commentaire, voilà ce qu'il y a à dire. Sauf que toutes ces mimiques passent mal même avec le numérique. Sachez donc tout de même que Sentiments distingués contient 80 dessins dont 5 sont en couleurs, qu'ils ont paru dans Paris-Match et The New Yorker (il a déjà signé plus 70 de ses couvertures) ces quatre dernières années, et que, comme d'habitude, il n'y a pas de thème les unifiant. Chacun mène sa vie selon son humeur bien que, cette fois, un certain nombre d'entre eux moquent les travers, us et coutumes du petit monde de l'édition, ainsi que les ridicules de l'art contemporain, la comédie sociale qui se déploie dans les vernissages ; quelques-uns, particulièrement savoureux, font également un gentil sort au monde enchanté de la psychanalyse. Là comme ailleurs, le maître du dessin d'humour se joue du rapport de l'infiniment grand et de l'infiniment petit, avec ses minuscules personnages perdus dans d'immenses décors. Sinon, il s'agit encore et toujours, et on n'est pas près de s'en lasser, de la solitude de l'homme dans la ville, des choses de la vie, de nous, mais tout y est dit par le miniaturiste avec un sens de la litote, une ironie sur le monde et une tendresse pour les défauts de nos contemporains majeurs. Au théâtre, lorsqu'il assiste à une mise en scène dite moderne, il est du genre à se demander par moments s'il s'agit d'une relecture de la pièce ou d'une intervention des intermittents du spectacle. Jean-Jacques Sempé est un homme d'une rectitude, d'une fidélité, d'une attention aux autres, d'une courtoisie, d'un savoir-vivre d'un autre âge. Il a toujours placé au plus haut Chaval et Steinberg. Chacun de ses albums nous prouve d'année en année qu'il est des leurs.» Pierre Assouline, La République des livres@ Babelio
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Florilège de dessins de l'humoriste, qui témoignent de son goût pour le sarcasme, le cynisme, les personnages décalés et déboussolés. Voutch croque le monde des nantis, ses cocasseries et ses absurdités. @electre
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L'important, c'est ce qui n'est pas visible d'emblée, ce qui se cache, ce qu'on imagine : dans le ventre du loup, un Petit Chaperon rouge et sa grand-mère ou alors un gros tas de cailloux, selon le moment où l'on plonge dans le conte.
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Un demi-siècle plus tard, ce documentaire revient sur le tournage épique d’un film dont le succès a métamorphosé l’industrie du cinéma.

Auréolé du succès de Duel, son premier film tourné pour la télévision, Steven Spielberg se voit proposer en 1974 par Dick Zanuck et David Brown, les producteurs du studio Universal avec qui il est sous contrat depuis cinq ans, la réalisation d’un "gros, gros film qui [lui] permettra de faire tous les grands films [qu’il] veut". D’abord réticent, Spielberg accepte. Le tournage, qui se tient dans le Massachusetts sur la petite île de Martha’s Vineyard, ne va pas se dérouler sans encombre. Entachée par de multiples déboires – tensions avec les acteurs, temps épouvantable, requin électronique en carafe… –, l’aventure se solde par un important dépassement de budget, qui fait craindre le pire pour sa carrière au jeune réalisateur de 28 ans. Mais quand il sort sur les écrans à l’été 1975, Les dents de la mer enthousiasme le public. Bousculant une industrie du cinéma un peu endormie, ce blockbuster va ouvrir la voie à la naissance des franchises et à l’essor des multiplex.

De la série B aux Oscars
Adaptée d’un best-seller de Peter Benchley, paru en 1974, l’histoire du squale tueur ne devait être au départ qu’un petit film de série B comme les studios en produisaient alors à la pelle. Récompensé en 1976 par trois Oscars (montage, musique et son), Les dents de la mer marque une rupture dans l’histoire du cinéma américain, au moment où se referme la parenthèse du Nouvel Hollywood. Revenant sur son tournage épique et sur ce qui a contribué à son succès, notamment la mise en scène audacieuse de Spielberg et la bande originale composée par John Williams, Olivier Bonnard et Antoine Coursat ("E.T.", un blockbuster intime) appuient leur démonstration sur de riches archives, ponctuées d’extraits du film, et sur les témoignages, recueillis un demi-siècle après la sortie en salle du film, de plusieurs de ses protagonistes, parmi lesquels la comédienne Lorraine Gary, la veuve de l’auteur Wendy Benchley, le chef décorateur Joe Alves et le scénariste Carl Gottlieb.

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Seul survivant, à 121 ans, de la bataille de Little Big Horn, où il combattit avec les Cheyennes, sa tribu d'adoption, Jack Crabb (Dustin Hoffmann, époustouflant) retrace sa très longue existence de "go-between" entre deux cultures ennemies.

À 121 ans, le vieux Jack Crabb, se prétendant le seul survivant de la bataille de Little Big Horn, qui vit la défaite du général Custer, fait le récit de sa vie tumultueuse dans l'Ouest américain à un journaliste. Recueilli enfant par une tribu de Cheyennes et leur chef qui le surnomme "Little Big Man" ("petit grand homme"), il retrouve à l'adolescence la société blanche et ses valeurs prétendument chrétiennes dans la maison d'un pasteur. Dès lors, son parcours oscille sans cesse entre les deux sociétés…

Entre tragédie et bouffonnerie
Adapté du roman Mémoires d'un visage pâle de Thomas Berger, Little Big Man, devenu culte, marque la première démystification de l'Ouest américain au cinéma. Flash-back historiques, alternance d'épisodes tragiques et de scènes bouffonnes : Arthur Penn, au sommet, signe un western atypique et offre à Dustin Hoffman un de ses premiers grands rôles. Une prouesse, car l'acteur, époustouflant, y incarne tous les visages de l'anti-héros. Un film picaresque qui dénonce la violence américaine envers les Améridiens mais fait aussi écho, à l’époque, au bourbier de la guerre du Viêtnam. Un (grand) classique.

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Cette fiction porte à l’écran avec justesse une réalité tristement banale.

Avocate spécialisée dans les violences sexuelles, Annabelle Martinelli est appelée par une femme qui subit depuis deux ans des violences conjugales. La victime, Doreen Markowitz, s’est déjà retrouvée à l’hôpital suite aux coups de son mari. Craignant ses représailles, elle n’a pas osé dévoiler au personnel médical les circonstances qui l’ont amenée là : officiellement, il s’agissait d’une tentative de suicide. Annabelle demande immédiatement qu’une protection policière soit mise en place pour sa cliente et lui trouve une place dans un foyer pour femmes. Pendant ce temps, les enquêteurs Victory Acheampong et Branko Dragovic découvrent au domicile conjugal des preuves de maltraitance. Mais lorsqu’ils apprennent que Léon, le mari, est lui-même dans la police, les deux agents minimisent les faits et dissimulent la pièce à conviction. Au tribunal, des témoignages obscurcissent davantage l’affaire, notamment le récit d’une amie de Doreen, affirmant que la jeune femme présenterait des comportements autodestructeurs et serait, elle aussi, violente envers son mari. Malgré ses certitudes, Annabelle se sent aculée… Comment obtenir la justice pour sa cliente ?

Parcours de la combattante
Dépeignant avec réalisme le calvaire que subit au quotidien une victime de violences conjugales et l’éreintant parcours qui l’attend après avoir porté plainte, cette fiction de l’Allemand Lars Becker plonge dans le travail d’une avocate à poigne, incarné par l’éblouissante Natalia Wörner (lauréate d’un prix Romy pour la série Les piliers de la terre). Il dévoile les rouages psychologiques complexes qui entrent en jeu dans ces affaires, véritables pièges judiciaires où se multiplient les zones grises et la logique du “parole contre parole”.

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Grâce à sa position géographique stratégique, sa croissance économique impressionnante, son rôle clé dans la défense du continent face à la Russie et le volontarisme de son Premier ministre Donald Tusk. Des défis demeurent, notamment sa démographie en déclin et les tensions politiques internes.

Depuis son entrée dans l'UE en 2004, la Pologne a transformé son économie, réduisant drastiquement le chômage et attirant des investissements grâce aux aides européennes. Aujourd'hui, elle joue un rôle militaire majeur, augmentant considérablement ses dépenses de défense et renforçant sa position face à la menace russe. Des défis demeurent, notamment sa démographie en déclin et les tensions politiques internes, mais la Pologne semble bien décidée à occuper une place centrale dans l’Europe de demain.

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Au fil de ce concert filmé, un retour sur la carrière et sur l’engagement puissant de cette reine du jazz et de la soul.  

En 1965, en plein mouvement des droits civiques aux États-Unis, Nina Simone s’envole pour l’Europe. Le 25 décembre, à Loenersloot, près d’Amsterdam, lors d’un concert retransmis à la télévision, l’icône du jazz à la voix déchirante interprète, derrière son piano, ses chansons infusées de révolte, à commencer par "Mississippi Goddam". Composé après l’attentat commis par le Ku Klux Klan en 1963 dans une église de Birmingham (Alabama), ce cri de rage marque un tournant pour Nina Simone qui utilise dès lors sa musique comme un instrument de lutte contre les discriminations. Avec "Brown Baby", l’artiste appelle sa communauté à la résistance en relevant la tête, alors que "Go Limp", portrait d’une jeune manifestante mise en garde par sa mère, contient une critique voilée de la non-violence prônée par Martin Luther King. Coiffure afro et robe d’été, l’altière Nina Simone happe le public, plus renversé encore par sa sublime reprise de "Tomorrow Is My Turn" de Charles Aznavour. Une heure intense qui vibre du pouvoir libérateur de la musique, à un moment charnière de la vie de la pianiste, privée d’une carrière de concertiste à cause de sa couleur de peau. Alors que, dans ces années 1960, ses textes protestataires dérangent une Amérique qui la menace, la musicienne trouve en Europe, avec ces concerts filmés, l'opportunité de s'exprimer sans entraves et de dénoncer, devant des millions de spectateurs, l'oppression des Noirs dans son pays.

Arme de dénonciation massive
"Tomorrow is my turn, no more doubts, no more fears"... Au fil de ce concert d’une Nina Simone au sommet de sa gloire, filmé en noir et blanc, ce documentaire retrace le parcours de la musicienne, du classique – sa grande passion déçue – au jazz, et montre comment l’indocile a mis son art au service d’un combat implacable pour l'égalité des droits et la liberté. Influencées par elle, la pianiste Gabriela Montero et les chanteuses Angélique Kidjo et Lizz Wright expliquent comment sa musique s’est révélée une arme efficace de mobilisation. La soprano Victoria Randem, quant à elle, rappelle que la diva a inspiré des générations d’artistes par son talent et son activisme, mais aussi par son authenticité et l'émotion unique qu’elle transmettait sur scène. Un hommage à la géniale auteure de "Little Girl Blue", à l'immense héritage.

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Bien qu'enfermée à double tour, Aya laisse éclore sa joie de vivre. L'enfant espiègle, intelligente et drôle… refait surface au quotidien. Elle trouve du réconfort auprès de sa voisine, une amie et une complice. La fête de l'Aïd approche et Aya n'a qu'un seul rêve : rentrer chez elle !

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