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1925, la Prohibition. Cornelius van Zeelinga fait de la contrebande d'alcool aux alentours des côtes américaines. Mais un beau jour, son bateau est coulé par les gardes-côtes et sa cargaison détruite. Cornelius se réfugie au Mexique, où il gagne une grosse somme d'argent au jeu avec laquelle il rachète un bateau. Au cours d'une escale, il va au cinéma et découvre la star de l'époque, Linda Larue dont il va tomber. Il décide de lâcher la contrebande afin de partir à sa recherche à travers les ports bordant le Golfe du Mexique.
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En pleine décolonisation, l’ONU joue les arbitres entre anciennes puissances coloniales et nouveaux États africains. Khrouchtchev est furieux des ingérences belges et américaines au Congo. Pendant ce temps, Louis Armstrong, "Ambassadeur du Jazz", est envoyé par les États-Unis pour détourner l’attention d’un coup d’État soutenu par la CIA. Jazz, politique et décolonisation s’entremêlent dans cet épisode méconnu de la guerre froide.

New York, février 1961. Une soixantaine d’activistes interrompent, aux cris d’"assassins !", "meneurs d’esclaves !", "enfoirés racistes !", une séance du Conseil de sécurité de l’ONU. Aux côtés de la chanteuse Abbey Lincoln, de l’écrivaine Maya Angelou, du batteur Max Roach, ils crient leur révolte devant l’assassinat arbitraire de Patrice Lumumba. Petit retour quelques mois en arrière : alors que ce jeune leader congolais a arraché à la Belgique l’indépendance de son pays, proclamée le 30 juin 1960, les Nations unies, elles, tanguent face à un afflux de nouveaux membres – seize pays africains, fraîchement décolonisés et décidés à se faire entendre. L’équilibre des votes, traditionnellement en faveur des pays occidentaux, menace de basculer à l’avantage de ce que l’on n’appelle pas encore le "Sud global". Les États-Unis et le royaume belge craignent aussi de voir le sous-sol congolais, qui regorge de minerais stratégiques, tomber aux mains des Africains ou, pire en ces temps de guerre froide, de la Russie de Nikita Khrouchtchev. Quelques mois avant le meurtre de Lumumba, le gouvernement d’Eisenhower a "pris commande" de la tournée africaine d’un de ses meilleurs "ambassadeurs du jazz", Louis Armstrong. Celui-ci ignore que sa venue triomphale a pour but de détourner l’attention du coup d’État qui se déroule au Congo, fomenté par la Belgique et la CIA alors que l’ONU ferme les yeux.

Indépendance volée
Multirécompensé, nommé aux Oscars, ce documentaire renferme son propos rageur dans un magnétique écrin visuel et sonore. S’affranchissant de la chronologie, le film opte pour la libre association d’idées et raconte la poignée d’années effervescentes qui virent les anciens pays colonisés s’affirmer et se rapprocher, espoir d’un nouvel ordre mondial vite douché par le cynisme occidental et les barbouzeries de la CIA. D’une grande beauté formelle (citations sur fond noir, élégance des images, ironie du montage alterné), le film enchaîne avec un tempo parfait ses incandescentes archives. Il s’appuie, entre autres, sur les mémoires audio de Khrouchtchev, celles, lues à voix haute, d’Andrée Blouin, l’une des rares femmes africaines de tête de cette histoire, du diplomate irlandais et enfant terrible Conor Cruise O’Brien, sans oublier d’ahurissantes séquences diplomatiques (notamment celle où le roi Baudoin s’étonne que Lumumba fasse un discours le jour de l’indépendance du Congo). Seul interviewé, l’écrivain congolais In Koli Jean Bofane relie le sort actuel de son pays, toujours déchiré par la guerre civile, à cette indépendance volée soixante-cinq ans plus tôt. Cœur battant du film, la bande-son, somptueuse, renoue avec l’époque fiévreuse où jazz et politique était indissociables, de l’explosion du bebop aux explorations du free jazz. La performance chantée d’Abbey Lincoln, le blues ample de Nina Simone, les fulgurances de Max Roach font écho avec éloquence aux iniquités de leur temps. Instrumentalisé par la CIA, le jazz, par nature libre et protestataire, finit par ruer dans les brancards comme l’illustrent les volte-face de Louis Armstrong et de Dizzy Gillespie. Enrôlés dans de manipulatrices tournées en vertu du soft power, ils finirent par envoyer le pouvoir américain "au diable".

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Livraisons d’armes de la part de Pyongyang, transfert de technologies russes et présence de soldats nord-coréens sur le front du Donbass : une alliance qui déstabilise l’Europe et l’Asie du Nord-Est. Retour sur une relation née au lendemain de la Seconde guerre mondiale.

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Une œuvre unique où chaque instrument incarne un personnage. Renaud Capuçon dirige l’Orchestre de Chambre de Lausanne tandis que Jean Reno endosse le rôle du récitant.

Pierre mène une vie paisible avec son grand-père et ses amis les animaux : l’oiseau, le canard et le chat. L’oiseau se rit du canard qui ne sait pas voler. Le chat aimerait bien manger l’oiseau. Mais celui-ci est bien trop malin et garde ses distances. Un monde idyllique s’il n’y avait les incursions du grand méchant loup dans le pré côtoyant la maison. Ce conte pédagogique est célèbre pour son utilisation de thèmes musicaux. À chaque personnage est associé un instrument ou un groupe d’instruments. Les violons représentent Pierre, la flûte traversière symbolise l’oiseau, le hautbois incarne le canard et la clarinette le chat. Quant au loup, il est annoncé par trois cors d’harmonie, couverts par les timbales et la grosse caisse symbolisant les chasseurs qui lui tirent dessus. Heureusement, sans le tuer. Capturé par les protagonistes, il est emmené au jardin zoologique dans une marche triomphale tandis que le canard qu’il a avalé continue de cancaner dans son ventre.

Filmé le 9 janvier 2025 dans la Salle Métropole à Lausanne, Suisse.

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Auprès de malades, de psychiatres et de spécialistes de l’IA, un aperçu des recherches menées sur le sujet, mais aussi des interrogations qu’il soulève.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, un milliard d’individus souffriraient de troubles psychiques à travers la planète. "Les besoins ont explosé et nous n’avons pas les ressources humaines pour y faire face", constate le professeur Nikolaos Koutsouleris. La technologie, dès lors, pourrait-elle pallier le manque d’accès aux praticiens ? Parce qu’elle a la capacité d’analyser d’immenses volumes de données, l’intelligence artificielle est déjà utilisée dans le cadre de nombreuses études psychiatriques, qu’il s’agisse de déterminer l’origine d’une maladie ou de fournir des indications sur l’efficacité d’un traitement. La technologie sait par ailleurs reconnaître les émotions humaines, y compris feintes, et les imiter. Si des chercheurs s’en servent pour améliorer la relation entre patients et médecins, cette avancée pourrait ouvrir la voie à une IA thérapeutique. Aux États-Unis, des robots conversationnels ad hoc existent déjà, à l’instar de l’application Woebot, mise au point par la psychologue Alison Darcy pour permettre aux utilisateurs de prolonger leur thérapie au quotidien.

Des psys androïdes ?
Les machines font-elles de meilleurs thérapeutes que les humains ? Plébiscitée par les jeunes – comme l’attestent les résultats d’une étude de l’université d’Oslo –, l’IA présente l’avantage d’être disponible à tout moment et de libérer de la peur du jugement. Saskia, qui se débat avec les séquelles d’une enfance "remplie de peurs et d’insécurité", s’est ainsi dotée d’un compagnon virtuel qui l’accompagne au jour le jour et l’aide à surmonter ses instants de détresse. Mais n’y a-t-il pas un risque à confier notre bien-être psychologique à des robots – d’autant plus quand ils n’ont pas été "entraînés" par des spécialistes ? Aux côtés de chercheurs, d’entrepreneurs et de personnes en proie à la dépression, ce documentaire met en lumière les potentialités et les dangers de l’IA dans le domaine de la santé mentale.

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La scène de sexe est-elle en voie d’extinction, ou de réinvention ? En compagnie de professionnels du cinéma et de chercheurs, décryptage d’une tendance qui en dit long sur l’évolution du secteur et de nos sociétés.

Après trois décennies régies par le code de censure Hays (1934-1966) – que certains réalisateurs contournèrent avec beaucoup d’inventivité –, le cinéma américain renoue avec la nudité et la sexualité à la fin des années 1960, qui voit la mise en place d’un système de classification des films par âge. Tandis qu’à l’étranger des créateurs vont explorer nos tabous dans des œuvres radicales (Salo ou les 120 journées de Sodome de Pier Paolo Pasolini, L’empire des sens de Nagisa Oshima, Romance de Catherine Breillat…), Hollywood réduit le plus souvent les femmes à des objets de désir, cédant aux assauts des hommes. Dans les années 1990, les scènes de sexe deviennent l’élément central d’un nouveau genre : le thriller érotique, imprégné du sentiment d’angoisse provoqué par l’épidémie de sida, qui alimente le jeune marché des VHS tout en cartonnant dans les salles, à l’instar de Basic Instinct. Mais le tournage des séquences charnelles s’accompagne fréquemment de comportements déplacés. Après l’émergence de #MeToo, certains pays imposent une coordination d’intimité quand le scénario comporte une dimension érotique. Alors que certains cinéastes dénoncent une entrave à leur liberté, les productions hollywoodiennes, de leur côté, se détournent de la sensualité... Comment expliquer ce vent de pudeur ?

Double mouvement
En quête de rentabilité, les studios cherchent à toucher un public familial mais aussi international, en façonnant des œuvres adaptables à tous les marchés. Mais si l’érotisme se fait plus rare, il n’a pas disparu pour autant des écrans. Répondant aux aspirations de la jeune génération, des séries produites pour les plates-formes de streaming et des films indépendants s’écartent des normes dominantes et du lissage numérique pour montrer des corps et des sexualités dans toute leur diversité. Remontant aux origines du septième art, ce documentaire retrace l’évolution de son rapport à la volupté et éclaire le double mouvement à l’œuvre aujourd’hui en donnant la parole à des chercheurs et des professionnels : les cinéastes Ben Lewin et Catherine Breillat, la productrice Judi Levine ou encore la coordinatrice d’intimité Ita O’Brien et le réalisateur Dominic Leclerc, qui ont travaillé ensemble sur la série plébiscitée Sex Education.

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Mais des fragilités économiques, sociales et démographiques accentuent les tensions locales et les inégalités avec l'Hexagone. Retour sur des territoires divers et complexes aux défis multiples.

Rassemblant plus de 2,8 millions d’habitants, ces territoires sont riches en ressources naturelles et constituent un atout de taille pour l’influence française dans le monde. Les départements et collectivités d’Outre-mer sont confrontés à des défis multiples : chômage élevé, dépendance économique à l'Hexagone, inflation. Si la Guyane est marquée par une explosion démographique liée à l’immigration, la Martinique et la Guadeloupe subissent quant à elles un vieillissement accéléré de leur population. Des territoires divers et complexes, à explorer avec nos cartes.

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Réalisé par Wolfgang Staudte en 1946, un grand classique du cinéma allemand d’après-guerre et l'une des premières productions de la Defa.

Berlin, 1945. Susanne Wallner, une jeune photographe rescapée des camps de concentration, rentre chez elle. Son appartement est occupé par Hans Mertens, un ancien soldat qui noie ses souvenirs dans l’alcool. Susanne s’installe avec lui et l’aide à se reconstruire. Un jour, l’ancien commandant de Mertens, qui, en 1942, a fait assassiner des civils sur le front russe, réapparaît. Il dirige désormais une entreprise prospère qui recycle les vieux casques. Mertens décide que Brückner doit expier ses péchés…

Réalisme froid
Premier film allemand de l’après-guerre, Les assassins sont parmi nous est projeté le 15 octobre 1946 à Berlin. Il répond parfaitement aux visées didactiques et critiques de la Deutsche Film AG (Defa), le studio de la RDA créé la même année, pour lequel il représente une production majeure. La Defa lance à cette occasion sa première star, Hildegard Knef. Le cinéaste Wolfgang Staudte y affirme son style, cultivant un réalisme sobre et froid, ponctué de séquences brèves et de contrastes qui font apparaître le monde comme totalement désorienté. Traitant en profondeur la question des crimes de guerre, de la culpabilité et de la conscience, Staudte a obtenu un succès extraordinaire avec ce film.

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Elle devient accro à son téléphone et addict à un homme toxique. Va-t-elle finir comme un produit en promotion au rayon frais d'un petit supermarché ?

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