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Lorsqu’un mignon petit pug brun fait ses cabrioles dans son jardin, il s’en amuse. Progressivement, les animaux bruns envahissent les foyers des gens autour de Charly et prennent le contrôle de leur vie...

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Réponse en 10 petites madeleines.

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Ce beau portrait fait la chronique d’une trajectoire semée d’embûches autant que porteuse d’espoir.

D’aussi longtemps que remontent ses souvenirs, Sapir Berman a toujours rêvé en secret d’être une fille. C’est en tant que jeune homme, pourtant peu à l’aise dans son corps, qu’elle s’engage dans une carrière de footballeur, puis d’arbitre en Israël. Après son coming-out, en 2021 – une décision mûrie à la faveur du confinement –, elle entame une transition de genre, sociale, puis médicale. Indispensable à sa "deuxième naissance", le protocole de soins menace pourtant de saborder sa carrière montante dans le sport de haut niveau : les bloqueurs de testostérone qu’elle prend pendant un an, dans l’attente des opérations qu’elle s’apprête à subir, transforment son corps et réduisent considérablement ses performances physiques… Malgré les déconvenues, Sapir n’entend pas, pourtant, renoncer à son rêve.

Modèle malgré elle
De jeune arbitre anonyme, Sapir Berman est devenue une icône en Israël, et dans la communauté LGBTQIA+ internationale, en s’imposant à 26 ans comme la première femme trans au monde à arbitrer un match de football professionnel. Au plus près de son sujet, ce beau portrait retrace un itinéraire semé des embûches inhérentes à tout parcours de transition, encore complexifié par les enjeux d’un métier où prévalent de stricts critères de performance et des codes de virilité persistants. Le documentaire de Liran Atzmor montre ce processus sous un angle résolument optimiste, porteur d’espoir : s’affranchissant des quolibets qu’elle peut toujours essuyer, Sapir bénéficie du soutien sans faille d’une famille aimante et d’un entourage professionnel ouvert aux évolutions. Et si sa notoriété nouvelle fait d’elle un modèle, une source d’inspiration pour la communauté qu’elle représente, c’est presque malgré elle : ce qui compte avant tout pour Sapir, c’est de s’épanouir dans son corps et dans son métier.

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L'excellent et hilarant hommage de Tarantino aux films de la Blaxploitation. Avec l'éblouissante Pam Grier, Samuel L. Jackson en psychopathe impérial, le tandem comique formé par Bridget Fonda et Robert De Niro.

Convoyeuse de fonds pour arrondir ses fins de mois, Jackie Brown, officiellement hôtesse de l'air, se fait prendre en flagrant délit par deux policiers. Ceux-ci la relâchent, à condition qu'elle coopère et fasse tomber Ordell, le truand pour lequel elle travaille. Mais celui-ci ne plaisante pas et risque de la tuer avant qu'elle ait fini de se mettre à table. Jackie décide alors de jouer un tour audacieux aux uns comme aux autres, et de toucher le jackpot lors du prochain convoi.

Éblouissant come-back
Près de trente ans après, cet hommage à la Blaxploitation garde sa saveur épicée. En contrepoint de l'éblouissant come-back de Pam Grier (Jackie Brown), l'ex-"Panthère noire de Harlem", et de Samuel L. Jackson, excellent en psychopathe impérial, le tandem bancal formé par Bridget Fonda et Robert De Niro n'a rien perdu de son comique. Comme dans Pulp Fiction, les personnages continuent à clouer le bec de leurs contradicteurs avec leur flingue, mais le film adopte un rythme plus planant qui, loin d'affaiblir l'intrigue, lui confère une langoureuse souveraineté, renforcée par une BO somptueuse et des dialogues ciselés.

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À poil long, dur ou ras, c’est le chien petit mais costaud par excellence. Intelligent et volontaire, le teckel a conquis le monde à grand renfort de regards de biche et de petites pattes trottinant sur le bitume.

Réputé pour ses aptitudes à la chasse, cet ancien favori des familles royales européennes, qui existe en trois tailles et neuf races, remplit aujourd’hui de multiples fonctions. Strolchi, un teckel nain allemand, détecte ainsi avec un instinct sûr les infestations de vers à bois dans les monastères, églises ou bibliothèques. Interrogeant les fans de la "saucisse sur pattes" – dont ont fait partie Napoléon, Picasso et Brigitte Bardot – et suivant la croissance d’une portée de six chiots, ce documentaire amoureux et amusé décline les qualités de ce toutou iconique : flair, courage et loyauté.

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Tiré d'une histoire vraie, ce récit d'émancipation séduit par son habileté à croiser les destins de personnages aventureux sans jamais se départir d'un ton pop et léger.

Épisode 1

Danemark, été 1963. Birthe Windfeld, une jeune agricultrice, a décidé de se faire belle pour la confirmation de son fils Svend. Mais lorsque Frans, l’un des employés du salon de coiffure local, lui annonce le tarif d’une permanente, elle est obligée de renoncer. Axel Byvang, qui a assisté à cette scène embarrassante, se reconnaît en Birthe. Lui aussi vient d’un milieu modeste et a subi les moqueries de camarades d’école plus fortunés. Aujourd’hui patron d’un magasin de radio et télévision, Axel tient à l’écart de ses affaires son épouse, Tove, qui aimerait pourtant s’y impliquer. Animé d’une ambition dévorante, il est à l’affût de l’invention technologique qui pourrait le rendre mondialement célèbre…

Retrouver les autres épisodes de la série en cliquant ici.

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Élevée dans une famille catholique de Bay City (Michigan), une ville proche de la frontière du Canada, la jeune Madonna Louise Ciccone est déterminée à devenir une star : à 20 ans, passionnée par la danse, elle emménage à New York avec 20 dollars en poche et gagne sa vie en posant nue pour des photographes. Lorsqu’elle décide de se tourner vers la musique, sa carrière décolle rapidement.  Son esprit d’entrepreneuse la pousse très tôt à contrôler son image, suprêmement sophistiquée. Adorée par ses fans pour son courage et sa sincérité, la reine de la pop provoque sans modération, aussi bien dans ses clips et ses concerts que dans son livre Sex, paru en 1992. Parallèlement, la star revendique puiser son inspiration dans la scène queer, comme dans son titre "Vogue", et s’attire les foudres du Vatican à de nombreuses reprises – notamment avec le clip de "Like a Prayer", dans lequel elle embrasse un Christ noir, et lors de son concert à Rome en 2006, où elle apparaît "crucifiée" sur scène.
 
Material Girl
À travers des extraits de concerts et d’interviews – menées notamment par la journaliste Christiane Rebmann, qui l’a régulièrement rencontrée sur plusieurs décennies –, Oliver Schwabe retrace la carrière de Madonna, soulignant la cohérence avec laquelle l’artiste a modelé son image. À 66 ans, la chanteuse apparaît toujours aussi déterminée à rester elle-même et désireuse de s’exprimer à travers de nouveaux univers sonores, sans rien trahir de son identité rebelle, ni de son soutien à la communauté LGBTQIA+, au féminisme ou à la lutte contre le racisme.

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À l’occasion de la réouverture de la bastide familiale aixoise où Paul Cézanne créa une grande partie de son oeuvre, ce documentaire revisite la trajectoire du maître, qui puisa dans sa Provence natale son inspiration avant-gardiste.

L’œuvre de Paul Cézanne est indissociable de la cité où il vit le jour, Aix-en-Provence. C’est ici que se trouve la bastide du Jas de Bouffan, propriété de sa famille de 1859 à 1899. Plus qu’un lieu de résidence, cette maison fut pour le peintre, incompris de son vivant, un laboratoire de création où il expérimenta motifs et techniques pour s’imposer comme l’un des pères de la modernité. En marge de la réouverture de la bastide – devenue un musée consacré au maître – après de longs travaux, et de l’exposition "Cézanne au Jas de Bouffan", présentée du 28 juin au 12 octobre 2025 au musée Granet d’Aix-en-Provence, ce documentaire explore le lien qu’entretint l’artiste avec ce refuge familial.

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Signé Walter Salles, un mélo multirécompensé, qui s’arme de tendresse face à la dureté du réel.

Dans la gare centrale de Rio, Mme Dora, enseignante retraitée, tient une échoppe d’écrivain public. Son cœur desséché n’a que mépris pour les âmes simples qui viennent se confier à sa plume, et elle regarde avec indifférence les tragédies apportées par le fracas de la mégalopole. Josué, 9 ans, n’a jamais connu son père, mais sa mère espère toujours son retour et lui envoie des lettres que transcrit Dora. Quand la jeune mère est fauchée sous les yeux de son fils par un autobus, l’enfant, brutalement devenu seul au monde, se tourne vers la seule personne qu’il connaisse... 

Cœur battant  
Avant de saisir à bras-le-corps un mythe latino-américain planétaire, en s’emparant de la jeunesse du "Che" (Carnets de voyage, 2004), Walter Salles, dont le dernier film Je suis toujours là revient sur les heures noires de la dictature au Brésil, faisait résonner le cœur battant de son peuple avec ce premier succès international en forme de road-movie. L’effervescente et éreintante gare centrale du titre, où se croisent des millions de visages et d’histoires, constitue la métaphore du pays tout entier, dans sa diversité, sa splendeur et sa misère, sa foi vibrante aussi, et, au-delà, tend un miroir à l’humanité. Les séquences haletantes qui ouvrent le film, avant l’échappée de Josué et de Dora vers le nord, disent avec concision toute la brutalité de la grande ville contemporaine, où les pauvres et les faibles, tentés par ses mirages, sont broyés dans l’indifférence générale. Comme pour tout mélo digne du genre, c’est parce qu’il touche juste que Walter Salles arrache des larmes, amères puis reconnaissantes. Restauré en 2018 à l'occasion de ses 20 ans, Central do Brasil s’appuie aussi sur l’alchimie de ses deux interprètes, Vinícius de Oliveira, enfant des rues dont le réalisateur a d’abord croisé dans une gare de Rio l'irrésistible regard grave, et Fernanda Montenegro, qui insuffle ce qu’il faut d’humour caustique au miracle de sa renaissance morale pour la rendre crédible.

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Mêlant historiographie récente, archives et animation, ce documentaire remarquable les replace au coeur des événements, en retraçant les parcours de plusieurs d’entre elles, telles Pauline Léon, Olympe de Gouges ou encore Théroigne de Méricourt.

Danton, Robespierre, Marat, Mirabeau… La Révolution a ses héros, et tous sont des hommes. Des femmes de tous horizons ont pourtant pris part aux événements, en première ligne des insurrections comme des débats politiques qui ont jalonné cette période de basculement. La très populaire marchande de la Halle Reine Audu, la dramaturge humaniste Olympe de Gouges, l’amazone belge Théroigne de Méricourt, la journaliste républicaine Louise-Félicité de Keralio, la soldate émérite Catherine Pochetat ou la chocolatière militante Pauline Léon, fondatrice d’un club féminin avec sa comparse comédienne Claire Lacombe, se sont ainsi illustrées, chacune à leur manière, pendant ces temps agités, avant d’être impitoyablement rayées de l’histoire.

Invisibilisation
Aujourd’hui, ces figures longtemps oubliées reprennent peu à peu leur place dans le grand récit national grâce au travail d’une nouvelle génération d’historiens. Nourri de leurs découvertes et de précieuses archives (iconographie, documents officiels, coupures de presse…), ce documentaire au souffle épique fait revivre leurs destins en animation, et les inscrit dans la chronologie tumultueuse des premières années de la Révolution. De l’Assemblée au champ de bataille, des marchés aux clubs et salons, cette fresque met en lumière le rôle essentiel des femmes dans ce moment fondateur, mais aussi le processus d’effacement dont elles ont été victimes. Car si la Révolution leur offre de nouveaux droits – notamment celui de divorcer –, les femmes qui occupent le terrain politique vont faire l’objet d’attaques misogynes d’une violence inouïe, avant d’être implacablement bâillonnées à partir de 1793. Quelques années plus tard, le Code Napoléon (1804) inscrira dans le marbre juridique la sujétion civique de leur sexe, étouffant les revendications féministes des pionnières pendant plus d’un siècle et demi. Racontée par Romane Bohringer, une vibrante page d’histoire au féminin, tissée d’idéaux, de faits d’armes et de tragédies. 

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