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De plus, il y a 5 animaux magnétiques qui s'ouvrent en laissant apparaître un bébé de la forme géométrique du parent.
Enfin, l'enfant va pouvoir jouer dans le bain : le pingouin peut monter sur chacun des 3 animaux bouées et cracher de l'eau par pression. La tortue chante lorsqu'elle est dans l'eau, et peut s'accrocher comme un train aux 2 autres animaux !
Jérôme, arrivé depuis peu en ville, trouve un sac. Il donne rendez-vous à son propriétaire afin de le lui restituer et fait la connaissance de Jean.
Lors de la rencontre entre les deux individus, une étrange envie, consciente ou non, s'immisce dans la tête de Jerôme, il veut devenir Jean. Il va alors tenter de se rapprocher de la compagne de ce dernier, Laura...
Immersion dans l'univers enchanteur des petits bonshommes et des grandes amitiés.
Dans la banlieue de Tokyo, sous le plancher d’une vieille maison perdue au coeur d’un immense jardin, la minuscule Arrietty vit en secret avec sa famille. Ce sont des Chapardeurs. Arrietty connaît les règles : on n’emprunte que ce dont on a besoin, en tellement petite quantité que les habitants de la maison ne s’en aperçoivent pas. Plus important encore, on se méfie du chat, des rats, et interdiction absolue d’être vus par les humains sous peine d’être obligés de déménager et de perdre cet univers miniature fascinant fait d’objets détournés. Arrietty sait tout cela. Pourtant, lorsqu’un jeune garçon, Sho, arrive à la maison pour se reposer avant une grave opération, elle sent que tout sera différent. Entre la jeune fille et celui qu’elle voit comme un géant, commence une aventure et une amitié que personne ne pourra oublier…
À partir de 6 ans
Le jeune prêtre Fabijan arrive dans une petite île croate pour reprendre les rênes de la paroisse. Préoccupé par le taux de natalité médiocre, il met en œuvre un plan pour inverser la tendance : en complicité avec le vendeur du kiosque local, Petar, très religieux, il se met à percer tous les préservatifs vendus par ce dernier. A ce plan s'associe le pharmacien Marin, qui remplace les pilules contraceptives par des vitamines. Très vite, mariages et naissances se multiplient, un phénomène qui amène vite sur l'île une foule de visiteurs étrangers qui n'arrivent pas à concevoir...
Intelligence, émotion, profondeur : à l’image de l’œuvre sur laquelle ils font retour séparément, Asghar Farhadi et ses acteurs semblent toujours unis par un élan collectif d’une exceptionnelle qualité face à la caméra d’Auberi Edler. Et deux ans après le tournage, leur engagement envers ce film phénomène, qui a raflé la plupart des plus grandes récompenses du cinéma mondial et remporté en Iran un immense succès populaire, reste palpable. Fracture sociale, répression du soulèvement populaire de 2009, libertés conquises de haute lutte par les femmes … : Asghar Farhadi n’élude pas les questions politiques, insistant sur l’importance, pour lui, de continuer à tourner dans son pays, même si cela implique de se plier aux contraintes liées à la censure. En écho, l’un des acteurs souligne combien Une séparation colle étroitement à la réalité iranienne, suggérant que c’est peut-être cet ancrage "local" qui en fait une œuvre universelle. Le documentaire livre également de précieuses indications sur la méthode de travail du cinéaste, notamment sur sa direction d’acteurs. Outre des images tournées dans les rues de Téhéran, des archives du "printemps iranien" et de sa répression, et de nombreux extraits du film ou de son making of, un entretien avec une spécialiste du cinéma iranien, Agnès Devictor, étaie cette passionnante analyse à plusieurs voix.
Mais si justes que soient les mots de chacun des protagonistes, c’est une séquence filmée sur le plateau d’Une séparation, à la fin du tournage, qui transmet avec le plus d’éloquence la vérité du film : la jeune Termeh, seule devant le juge, doit décider avec lequel de ses parents divorcés elle souhaite désormais vivre. Sarina, la fille du cinéaste, alors âgée de 13 ans, qui interprète l’adolescente, demande à jouer la scène sans répétition. Les larmes roulent sur ses joues tandis qu’elle affronte ce choix si douloureux - qui ne sera pas révélé au spectateur. Et face à cette toute jeune fille qui confie s’être alors "sentie actrice pour la première fois", deux hommes se mettent aussi à pleurer : le chef opérateur aux cheveux blancs, qui se précipite hors de la pièce dès que le "Coupez !" du cinéaste retentit ; et Asghar Farhadi lui-même, qui enfouit sa tête dans ses mains pour cacher son émotion. Une séquence que la réalisatrice s’abstient finement de commenter, et qui restitue de façon saisissante la densité humaine de ce grand film.
Capitale du Reich et symbole de la division de l’Allemagne pendant la guerre froide, Berlin porte les traces de ce passé douloureux. Quelle attitude adopter face à ce patrimoine embarrassant ? Ce premier volet se penche sur le lien entre mémoire et urbanisme à travers l’exemple de cette ville.
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, Jimmy Picard, un Indien Blackfoot ayant combattu en France, est admis à l’hôpital militaire de Topeka, au Kansas, un établissement spécialisé dans les maladies du cerveau. Jimmy Picard souffre de nombreux troubles : vertiges, cécité temporaire, perte d’audition... En l’absence de causes physiologiques, le diagnostic qui s’impose est la schizophrénie. La direction de l’hôpital décide toutefois de prendre l’avis d’un ethnologue et psychanalyste français, spécialiste des cultures amérindiennes, Georges Devereux.