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Retrouvez les albums emblématiques de l’école des loisirs sur vos écrans. Des histoires portées par des lectures captivantes pour découvrir ou redécouvrir les aventures sensibles, drôles et rocambolesques des petits héros de vos enfants !

 

 

Les mots doux

Lola se réveille avec des mots doux dans la bouche. Il faut qu'elle les dise à quelqu'un, mais Papa s'en va déjà et Maman est trop pressée... 

 

Je mangerais bien un enfant

Chaque matin, maman Crocodile apporte à Achille de bonnes bananes pour son petit déjeuner, et chaque matin, elle s'émerveille: «Mon fils, comme tu es grand, comme tu es beau, comme tu as de belles dents!» Mais un matin, Achille ne mange rien. Il ne veut pas de bananes. Ce qu'il veut, c'est manger un enfant. Ses parents s'inquiètent. Ils lui apportent une saucisse grosse comme un camion. Ils lui préparent un énorme gâteau au chocolat. Rien à faire. Ce que veut Achille, c'est manger un ...

 

Dès 3 ans

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L'Afrique de Zigomar

Pipioli le souriceau rêve d'aller en Afrique comme son amie l'hirondelle. Le merle Zigomar accepte de l'y emmener...mais il n'a aucun sens de l'orientation. Un voyage inattendu les attend.

 

Haut les pattes !

Billy ne deviendra pas un supergangster comme moi, se désole son père. Il a trop bon caractère, il est bien trop gentil… Pourtant, Papa décide de fournir à son fils une panoplie complète et de lui donner sa première leçon de bandit. C’est simple : il s’agit de pointer son revolver et de dire : « Haut les pattes ! » Ce que son père ignore, c’est que cet exercice va permettre à Billy de gagner ses galons de héros, mais surtout de se faire toute une bande ...

 

Dès 4 ans

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Dans un village du Périgord, la vie quotidienne des habitants cesse brusquement d'être tranquille. Des femmes sont égorgées. Par qui ? Le boucher, qui a fait les guerres d'Indochine et d'Algerie, semble devenir le suspect numero un aux yeux de la directrice d'école, qui ressentait pour lui de tendres sentiments.

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À l’heure où Donald Trump menace de mettre en oeuvre ses visées expansionnistes, Pierre Haski nous propose une plongée passionnante dans l'épopée militaire de l’Amérique, nation née dans la guerre avant de s’imposer tardivement en "gendarme du monde" – un rôle désormais contesté.

Les États-Unis, qui aiment se dire pacifiques, ont pourtant presque toujours été en guerre en deux cent cinquante ans d’existence, et continuent de déployer des centaines de milliers de soldats sur tous les continents. D’abord ravagés par des conflits intérieurs – la révolution, la guerre de Sécession, les guerres indiennes –, les États-Unis dépassent leurs frontières en combattant l’Espagne aux Philippines à la fin du XIXe siècle. L’Amérique des pères fondateurs, attachés à la conscription, s’est pourtant longtemps méfiée de l’armée de métier, craignant qu’elle ne se retourne contre le peuple. L’envoi de troupes en Europe en 1917 amorce son nouveau rôle de puissance internationale. En 1941, au lendemain de Pearl Harbour, l’engagement des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale impose durablement l’hégémonie du pays grâce à une industrie de l’armement tournant à plein régime, qui dope son économie, et une propagande relayée par le cinéma hollywoodien, qui nourrit le mythe. Car, sûr d’avoir sauvé le monde de la peste brune – sentiment conforté en 1945 par le choix de New York pour le siège des Nations unies –, le "gendarme du monde" ne remet pas même en cause l’horreur d’Hiroshima. Si sa doctrine de dissuasion nucléaire est bientôt mise à mal par des États, comme l’URSS ou la Chine, qui se dotent à leur tour de l’arme atomique, son leadership s’affirme aussi à travers l’Otan et des centaines de bases militaires, notamment dans les territoires des ex-ennemis vaincus (du Japon à l’Allemagne) ou aux Philippines, face aux ambitions de Pékin. Mais le traumatisme du Viêtnam, avec ses millions de morts, abîme son image de justicier du "monde libre", instillant le doute sur sa légitimité. Son impérialisme ne cessera plus dès lors d’être dénoncé, la contestation de sa mission militaire se renforçant encore après le 11-Septembre avec les "guerres sans fin" en Afghanistan et en Irak. Aujourd’hui comme hier, l’Amérique reste traversée par deux courants antagonistes : l’un jugeant son omniprésence militaire nécessaire, l’autre plaidant pour son repli. Alors que resurgissent des conflits "classiques", du Proche-Orient à l’Ukraine, sans qu’elle intervienne, quel rôle son armée va-t-elle jouer dans la vision de Donald Trump ?

Leçons du passé
Comment la guerre et les engagements militaires de l’Amérique ont-ils façonné sa psyché au fil des générations et imposé sa suprématie depuis 1945 ? À l’heure où celui qui a été (ré)élu comme un "président de la paix" fragilise les alliances et menace les équilibres géopolitiques, ce documentaire, nourri d’analyses d’une trentaine d’experts internationaux – militaires, politiques, historiens –, plonge au cœur de l’histoire des États-Unis pour s’interroger sur les défis qui attendent cette nation fracturée dans un monde devenu multipolaire. À travers les leçons du passé, Pierre Haski éclaire les paradoxes de cette superpuissance militaire et leurs conséquences sur la démocratie et la société civile, en mettant en perspective des choix stratégiques déterminants pour l’avenir du pays et de la planète.

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Grand cinéaste de la parole, Manoel de Oliveira esquisse une sublime tentative de dialogue entre les langues et cultures, malgré les menaces qui pèsent sur l’avenir de l’Europe. Avec Leonor Silveira, John Malkovich, Catherine Deneuve et Irène Papas.

Rosa Maria, professeure d’histoire à l’université de Lisbonne, sillonne la Méditerranée à bord d’un paquebot de croisière en compagnie de sa fille, Maria Joana. Elles ont pour destination Bombay, où elles vont retrouver leur mari et père. Au fil de leur périple, elles visitent différents hauts lieux historiques et conversent avec autant de personnes promptes à compléter leurs connaissances. Un soir, le commandant leur propose de se joindre à sa table, où sont aussi reçues trois femmes illustres.

Au bord de l’extinction
Un film parlé débute littéralement sur un océan de questions – celles posées avec une gourmandise insatiable par la jeune Maria Joana à sa mère, professeure avide de transmettre son savoir. Cette curiosité est le moteur de toutes leurs conversations et du film lui-même, les propulsant à grande vitesse vers des ports chargés d’histoire (Athènes, Naples, Marseille…), où elles s’émerveillent des beautés de civilisations disparues. Dans cet échange ininterrompu, qui fait peu de cas du trivial, se joue la survivance d’un monde au bord de l’extinction. Car, tourné peu de temps après les attentats du 11 septembre 2001, le film fait vite planer, au creux de l’innocence portée par Maria Joana, une menace sourde. Et connaît un tournant décisif dans ce qui semble n’être qu’un simple dîner entre le commandant du navire et trois femmes d’influence, dont Catherine Deneuve et l’actrice grecque Irène Papas, disparue en 2022. Si chacune s’exprime dans sa langue – l’italien, le français, le grec – et si toutes se comprennent malgré tout, elles annoncent sans ambages le naufrage inéluctable de l’Europe face à la suprématie du monde anglophone. Figure emblématique du cinéma d’Oliveira, Leonor Silveira (Rosa Maria) dresse un inventaire enchanté des mythes qui ont façonné l’Ancien Continent, tout autant qu’elle semble préparer les adieux du cinéaste – alors âgé de 95 ans –, gardien d’un siècle entier de souvenirs comme de grands bouleversements.

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Un documentaire pour se plonger dans l'univers des couleurs et comprendre comment notre cerveau les perçoit et même les construit. Du développement de la vision des couleurs chez les nourrissons aux différentes manières de percevoir les couleurs selon les individus, du daltonisme à la synesthésie, le bleu et le jaune n'auront plus de secrets pour vous !

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En pleine décolonisation, l’ONU joue les arbitres entre anciennes puissances coloniales et nouveaux États africains. Khrouchtchev est furieux des ingérences belges et américaines au Congo. Pendant ce temps, Louis Armstrong, "Ambassadeur du Jazz", est envoyé par les États-Unis pour détourner l’attention d’un coup d’État soutenu par la CIA. Jazz, politique et décolonisation s’entremêlent dans cet épisode méconnu de la guerre froide.

New York, février 1961. Une soixantaine d’activistes interrompent, aux cris d’"assassins !", "meneurs d’esclaves !", "enfoirés racistes !", une séance du Conseil de sécurité de l’ONU. Aux côtés de la chanteuse Abbey Lincoln, de l’écrivaine Maya Angelou, du batteur Max Roach, ils crient leur révolte devant l’assassinat arbitraire de Patrice Lumumba. Petit retour quelques mois en arrière : alors que ce jeune leader congolais a arraché à la Belgique l’indépendance de son pays, proclamée le 30 juin 1960, les Nations unies, elles, tanguent face à un afflux de nouveaux membres – seize pays africains, fraîchement décolonisés et décidés à se faire entendre. L’équilibre des votes, traditionnellement en faveur des pays occidentaux, menace de basculer à l’avantage de ce que l’on n’appelle pas encore le "Sud global". Les États-Unis et le royaume belge craignent aussi de voir le sous-sol congolais, qui regorge de minerais stratégiques, tomber aux mains des Africains ou, pire en ces temps de guerre froide, de la Russie de Nikita Khrouchtchev. Quelques mois avant le meurtre de Lumumba, le gouvernement d’Eisenhower a "pris commande" de la tournée africaine d’un de ses meilleurs "ambassadeurs du jazz", Louis Armstrong. Celui-ci ignore que sa venue triomphale a pour but de détourner l’attention du coup d’État qui se déroule au Congo, fomenté par la Belgique et la CIA alors que l’ONU ferme les yeux.

Indépendance volée
Multirécompensé, nommé aux Oscars, ce documentaire renferme son propos rageur dans un magnétique écrin visuel et sonore. S’affranchissant de la chronologie, le film opte pour la libre association d’idées et raconte la poignée d’années effervescentes qui virent les anciens pays colonisés s’affirmer et se rapprocher, espoir d’un nouvel ordre mondial vite douché par le cynisme occidental et les barbouzeries de la CIA. D’une grande beauté formelle (citations sur fond noir, élégance des images, ironie du montage alterné), le film enchaîne avec un tempo parfait ses incandescentes archives. Il s’appuie, entre autres, sur les mémoires audio de Khrouchtchev, celles, lues à voix haute, d’Andrée Blouin, l’une des rares femmes africaines de tête de cette histoire, du diplomate irlandais et enfant terrible Conor Cruise O’Brien, sans oublier d’ahurissantes séquences diplomatiques (notamment celle où le roi Baudoin s’étonne que Lumumba fasse un discours le jour de l’indépendance du Congo). Seul interviewé, l’écrivain congolais In Koli Jean Bofane relie le sort actuel de son pays, toujours déchiré par la guerre civile, à cette indépendance volée soixante-cinq ans plus tôt. Cœur battant du film, la bande-son, somptueuse, renoue avec l’époque fiévreuse où jazz et politique était indissociables, de l’explosion du bebop aux explorations du free jazz. La performance chantée d’Abbey Lincoln, le blues ample de Nina Simone, les fulgurances de Max Roach font écho avec éloquence aux iniquités de leur temps. Instrumentalisé par la CIA, le jazz, par nature libre et protestataire, finit par ruer dans les brancards comme l’illustrent les volte-face de Louis Armstrong et de Dizzy Gillespie. Enrôlés dans de manipulatrices tournées en vertu du soft power, ils finirent par envoyer le pouvoir américain "au diable".

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Livraisons d’armes de la part de Pyongyang, transfert de technologies russes et présence de soldats nord-coréens sur le front du Donbass : une alliance qui déstabilise l’Europe et l’Asie du Nord-Est. Retour sur une relation née au lendemain de la Seconde guerre mondiale.

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Une œuvre unique où chaque instrument incarne un personnage. Renaud Capuçon dirige l’Orchestre de Chambre de Lausanne tandis que Jean Reno endosse le rôle du récitant.

Pierre mène une vie paisible avec son grand-père et ses amis les animaux : l’oiseau, le canard et le chat. L’oiseau se rit du canard qui ne sait pas voler. Le chat aimerait bien manger l’oiseau. Mais celui-ci est bien trop malin et garde ses distances. Un monde idyllique s’il n’y avait les incursions du grand méchant loup dans le pré côtoyant la maison. Ce conte pédagogique est célèbre pour son utilisation de thèmes musicaux. À chaque personnage est associé un instrument ou un groupe d’instruments. Les violons représentent Pierre, la flûte traversière symbolise l’oiseau, le hautbois incarne le canard et la clarinette le chat. Quant au loup, il est annoncé par trois cors d’harmonie, couverts par les timbales et la grosse caisse symbolisant les chasseurs qui lui tirent dessus. Heureusement, sans le tuer. Capturé par les protagonistes, il est emmené au jardin zoologique dans une marche triomphale tandis que le canard qu’il a avalé continue de cancaner dans son ventre.

Filmé le 9 janvier 2025 dans la Salle Métropole à Lausanne, Suisse.

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